En France, l'usage médical du cannabis fut autorisé jusqu’en 1953. Il était utilisé entre autres comme analgésique et sédatif. Au XIXe siècle, on en trouvait même dans des sirops pour enfants !
Parmi tous ces médicaments disponibles sur le marché à la fin du 19ème siècle, la majorité était administrée par voie orale sous forme de dilutions (extraits de cannabis dans un solvant d’alcool éthylique).
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On a une élite politique complètement déconnectée dans notre beau pays, je me souviens, quand dans les années 90, des petits malins ont trouvé comment faire fonctionner les moteurs diesel avec de l'huile végétale, ils ont pondu une loi pour intégrer l'huile de tournesol dans la Taxe Intérieure sur les Produits Pétroliers (faut qu'on m'explique le rapport entre le tournesol qui pousse chez nous et le pétrole importé du Venezuela) et maintenant, ce n'est pas le THC qu'ils veulent interdire, c'est la plante toute entière.
Franchement je n'y crois plus. J'espère que je me trompe.
Ca faisait 15 ans que je fumais plus mais j'étais son dernier espoir, la morphine ne faisant plus effet.
Je lui en ai trouvé (ca a pas été facile^^)... arrêtez moi! Passez moi les menottes, Je mérite la peine de mort, comme mon ex toubib.
A chaque fois que ce sujet est abordé, je m'imagine les sales cons qui nous dirigent, en phase terminale de cancer généralisé qui supplient leur médecin de leur donner un truc plus efficace que la morphine médicale et que le toubib leur sort que c'est pas possible parce que vous avez voté une loi qui interdit de consommer cette plante, j'espère que l'un d'entre eux lira ce commentaire et payera quelqu'un pour aller dans une cité lui acheter une barrette de shit... car quand on a plus rien, on est prêt a tout, même à renier son idéal.
Et BIM!
J'espère que le monde évoluera vers la liberté de choisir...
Je veux juste alerter sur le fait de reprendre une taf par ci par là de temps en temps. Je dis attention car j'ai replongé 2 fois comme ça. L'unique solution, c'est d'arrêter TOTALEMENT.
Cette personne, avec qui je travaillais (et partageais le logement de fonction), n'avait plus le contrôle de soi-même, une fois un joint fumé. Rajoutes-y de l'alcool et le "cocktail" est servi.
Il devenait insultant, perdait la notion de l'heure (musique à fort volume à hautes heures de la nuit dans l'appart) et d'autres...
Son manque de sommeil ne le rendait pas professionnelement compétent au lendemain... Et celui provoqué chez moi , commençait aussi à se ressentir.
"L'écarter de ma vie", a consisté de ma part, à prendre la décision de démissionner de mon emploi, et donc, de perdre mon logement de fonction...
En parler avec le couple propriétaire de l'entreprise, pour solutionner le problème ? Oui, par force, et même deux fois !
Leur intervention n'a pas mené à une amélioration de sa part.
Voici donc pourquoi j'ai donné mon préavis.
Les patrons m'ont dit que "ça les faisait chier que je m'en aille", mais ils ne voulaient pas devoir rompre le contrat (un CDD) de travail avec ce type, car l'indemnité était salée.
Donc, aucune "raison morale ou esthétique" de ma part, mais pratique.