La température de l'atmosphère n'est pas du tout linéaire avec l'altitude. A 12 km d'altitude (altitude de croisière des avions), il fait -56°C. Dans la thermosphère, dernière couche de l'atmosphère qui s'étend jusqu'à une altitude d'environ 500 km, la température remonte à plus de 1200°C.
Commentaires préférés (3)
La température varie de 300°c à 1200°c mais la densité est tellement faible que pour un être humain, la température ressentie avoisinerait les 25°c ..
Sympa pour y passer des vacances, avec une crème solaire en plomb :-)
youtu.be/8bUNGLlp048
A haute altitude, l'air est très peu dense. Du coup chaque particule est fortement chargée en énergie thermique (chaleur), mais leur faible nombre explique qu'elles ne nous en transmettent que très peu au cumulé. Soit une température ressentie agréable.
La chaleur ressentie correspond à la quantité d’énergie captée par le corps. À haute altitude, vu qu’il y a peu de molécules, même si elles sont très très chaudes, on reçoit peu d’énergie et au final il on ne brûle pas.
C’est comme des étincelles sur les gâteaux d’anniversaires : l’étincelle est à plus de 1 000 degrés Celsius, mais comme c’est une toute petite poussière incandescente, elle ne transporte que peu d’énergie et ça ne brûle pas.
À l’inverse, un verre d’eau chaude à 90 °C, est donc bien moins chaude, mais si vous mettez la main dedans, vous vous ferez très mal (ne le faites pas).
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La température varie de 300°c à 1200°c mais la densité est tellement faible que pour un être humain, la température ressentie avoisinerait les 25°c ..
Sympa pour y passer des vacances, avec une crème solaire en plomb :-)
Entre Tybs et vous, je me coucherai moins bête.
Qu’il y ait quelques degrés de différence en fonction du vent, de l’humidité, etc, je veux bien. Mais je comprends pas comment on peut obtenir un tel écart, la température étant censé être un transfert de chaleur et une agitation de molécules.
youtu.be/8bUNGLlp048
A haute altitude, l'air est très peu dense. Du coup chaque particule est fortement chargée en énergie thermique (chaleur), mais leur faible nombre explique qu'elles ne nous en transmettent que très peu au cumulé. Soit une température ressentie agréable.
La chaleur ressentie correspond à la quantité d’énergie captée par le corps. À haute altitude, vu qu’il y a peu de molécules, même si elles sont très très chaudes, on reçoit peu d’énergie et au final il on ne brûle pas.
C’est comme des étincelles sur les gâteaux d’anniversaires : l’étincelle est à plus de 1 000 degrés Celsius, mais comme c’est une toute petite poussière incandescente, elle ne transporte que peu d’énergie et ça ne brûle pas.
À l’inverse, un verre d’eau chaude à 90 °C, est donc bien moins chaude, mais si vous mettez la main dedans, vous vous ferez très mal (ne le faites pas).
Les molécules a 1200° de la thermosphère sont bien plus rares là haut que sur le plancher des vaches.
L’échange thermique entre la surface de la peau et les rares molécules devrait nous faire ressentir une chaleur ambiante de 25°.
Par contre, quid des molécules de notre corps qui seront excitées de la même façon ??
Je pense que pendant 3 secondes nous serions agréablement surpris par cette douceur du climat, et après, on devrait gentiment cuire avec une vue magnifique sur notre planète.
Ca vous dis d’essayer Mr. Bezos? Juste pour savoir..
Tout comme la couronne solaire est d'un million de degrés qui s'étend sur près de dix millions de kilomètres.
La température de l'atmosphère terrestre n'est pas linéaire. Ok. En est-il différent de sa pression ?
Édit. Il y a eu 10 commentaires précédents qui "n'existaient" pas avant le mien.
En dessous de 44 on craint rien. Attention un enfant ça brûle plus vite : c est genre dix minutes pour un adulte et une minute pour un bébé.
Alors 90 degré faut vraiment pas rester longtemps...mais c est faisable (moins d'une seconde ).
Pas cap?! ^^
(Un peu d'humour noir le samedi soir...rien trouvé ce weekend pour mettre une chanson en tête...je con-pense. Hormis la..'allumez le feu ?! )
Le métal va chauffer l’eau sur votre main et ça va produire un coussin de vapeur isolant de la chaleur du métal. C’est l’effet Leidenfrost : www.reddit.com/r/Damnthatsinteresting/comments/i8pcl5/this_is_the_leidenfrost_effect_there_is_a_layer/?utm_source=share&utm_medium=web2x&context=3
Même chose avec de l’azote liquide : la main dans l’azote liquide ne craint pas grand chose si on le fait seulement quelques secondes, grâce à cette fine couche de gaz isolante.
Ainsi à basse altitude, en atmosphère type on considère que l'on perd 2°C à chaque fois que l'on s'élève de 300m et ce jusqu'à la tropopause où s'opère une inversion de la courbe des températures.
La connaissance de cette notion est requise pour l'obtention d'un brevet de pilote aéronautique.
Tout comme la couronne solaire qui est à 2 millions de Kelvins minimum alors que la surface du soleil est à 6000 K…
Le sucre demande d'être à 121°C pour une crème au beurre par exemple, avec l'expérience nul besoin de thermomètre.
Un passage rapide des doigts dans l'eau glacée, on attrape une petite quantité de sucre entre ses doigts, et si on arrive à former une boule de sucre molle (mais pas trop molle, 'faut qu'elle se tienne toute seule quoi.) Alors c'est vers les 121°C !
Je ne sais pas si cela porte le même nom mais le principe est proche, non ? ^^