Près des deux tiers des Argentins ont des origines italiennes. Le pays a en effet connu une immigration massive (plus de 2 400 000 Italiens) à partir des années 1880, et en 1939, environ 30% de la population parlait l'italien. Lionel Messi et le pape François sont issus de cette immigration.
Tous les commentaires (52)
Je te savais être d'origine Italienne et m'attendais hier à une réactivité de ta part, d'ailleurs.
Perso, tu es, a mes yeux, @Nico, le déconneur de SCMB qu'il me plaît de lire ici.
C'est aussi le @Nico cultivé, intelligent que je valorise, pas tes origines Ritales.
(Ce n'est pas péjoratif, hein ! )
La France fourmille de diasporas: l'Italienne, la Portugaise, l'Espagnole, la Polonaise, Marocaine, Asiatique et Algérienne...
Ce n'est pourtant pas celà qui définit une personne.
... Et pourtant, il y a des personnes prêtes à faire usage de ces raccourcis, pour alimenter leur recherche de Pouvoir.
Une certaine extrême... qui cherche à nous monter les uns contre les autres, à nous mettre dans des cases, pour mieux diviser et régner.
Elle est vraiment superbe, celle-là.
OUI son prénom est Mario, mais il est pas plombier, il était chef d'équipe dans une entreprise de climatisation... des tuyaux des tuyaux, toujours des tuyaux ^^ c'est marrant
"Tanos" est un diminutif de "Napolitanos" (Napolitains), car une partie de cette Immigration Italienne, provenait de la Région de Naples.
Les Espagnols ont le surnom de "Gallegos" (Galiciens, de la province de Galice, au nord-ouest de l'Espagne).
Quant aux Français, cette fois-ci en Espagne, on nous appelle les "Gabachos".
À son origine (qui provient de l'Occitan) il désigne une personne vivant dans la montagne, et qui parle mal, car il a un goitre.
fr.m.wikipedia.org/wiki/Goitre
... Et Luigi ?
Il est où, Luigi ?
Il y a à aussi beaucoup d'allemand du au 'azis qui fuir leur pays pendant voir après la guerre pour pas se faire rattraper pour exemple les communauté mormone sont issu de cette descendance
Parait il bueno aires ressemblera un peux comme Paris du à cette émigration de masse
On peux dire que l'argentine est la plus occidentale des pays d'Amérique du Sud et après il y as aussi l'Uruguay et le Chili ou il y as beaucoup d'émigrés européen d'après guerre
Sans oublié au usa aussi à son lot d'émigrés italien il me semble que al capone est issu de parents italien
Donc compare pas l'incomparable
Durant toute la première moitié du 20ėme siècle, tout ce qui se rapportait à la France, dans bien des domaines, trouvait écho dans la capitale Argentine.
L'Immigration Française en Argentine, n'a pas atteint les sommets de l'Italienne et l'Espagnole, mais à néanmoins été plus qu'anecdotique.
Surtout originaires du grand Sud-Ouest (Aquitaine et Occitanie) la chance et la fortune n'a pas souri à tout le monde. Seul un 40% s'y est établi de forme définitive.
L'immigration Allemande (mot impropre qui devrait d'ailleurs être "Germanique" )
Cette immigration, comme depuis toutes les autres nations Européennes, débute autour de 1870-80.
Leur nombre n'a pas été plus important que celui de l'immigration Française.
Fait à signaler: si cette émigration vers l'Argentine eut lieu durant l'Entre-deux-Guerres, c'est principalement car les États-Unis et le Brésil, avaient réduits leurs quotas d'immigration. L'Argentine n'était donc, qu'une destination de substitution.
C'est à partir de 1933 (arrivée des Nazis au Pouvoir) que l'Immigration Allemande augmente. Elle est composée de Juifs Allemands, mais aussi de personnes opposée (passivement et activement) au nouveau Régime. La population Argentine d'origine Germanique, sera d'ailleurs "plutôt" opposée au Régime Nazi.
L'arrivée d'Allemands, suite à la Seconde Guerre Mondiale, ne sera pas aussi importante que l'on pourrait penser: il y a eu, dans l'Argentine postérieure au Conflit Mondial, une certaine Germanophobie. Le peu d'immigrants provenant d'Allemagne, a d'ailleurs du s'auto-assimiler à la Culture Argentine, pour être acceptés.
Il est difficile de savoir qu'elle a été l'ampleur des criminels Nazis ayant trouvé refuge en Argentine, ou à travers elle.
Publier une estimation répond plus à une spéculation, bien qu'elle n'a probablement pas dépassé les quelques milliers, entre ceux qui ont reçu l'aide officieuse de Perón, et ceux qui sont entrés par leurs propres moyens.
Il y avait tout un éventail de Compagnies Maritimes qui se dédiaient à cette activité, dont la principale ressource financière était surtout celle liée à l'émigration.
L'activité de voyage Transatlantique de croisière (Loisirs ou Négoce) n'était que subalterne.
L'un de ces bateaux, le Sofia, avait une capacité de 30 passagers de Première classe, 50 de Seconde... Et 1550 de Troisième (celle des Immigrants).
Le voyage (qui durait quelques semaines) se déroulait dans des conditions sommaires mais acceptables, à un prix raisonnable.
Tant est-il que, comme je l'ai écrit dans un commentaire antérieur, des dizaines de milliers d'immigrants, appelés "hirondelles", effectuaient un aller-retour annuel, en fonction des récoltes décalées des deux hémisphères.
Le bateau Belgengand, (1914-36), plus moderne, se dédiait aux deux activités (Loisirs et Immigration): 1000 passagers de 1ère et 2ème Classe, et 1500 de Troisième Classe.
Il faut attendre 1948, pour voir apparaître ce qui est le premier vol commercial de passagers, entre l'Europe et l'Argentine.
Lui, oui, il coûtait un bras.
Néanmoins, la richesse et niveau de vie Argentin, attira une clientèle de plus en plus nombreuse, pour commencer à développer une activité rentable.