Quelle différence entre sur place ou à emporter ?

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le

Vous êtes-vous déjà demandé si répondre "sur place" ou "à emporter" a une influence sur le prix de la nourriture ? La réponse est oui, car cela change le taux de TVA applicable : taux normal sur place (10%) et taux réduit (5,5%) pour la version à emporter. Cependant, la différence est rarement répercutée sur le prix final par le restaurateur.

Le restaurateur fait alors une marge plus importante si le client choisit à emporter.


Tous les commentaires (70)

a écrit : Où ça ?...

(Visiblement, j'ai écrit une "coquille"..)
Dans la dernière phrase : "ni je me lève du lit...". Quand on emploie, ni, il faut un deuxième "ni". Par exemple : "ni je me lève du lit, ni je réponds au téléphone".

Ce n’est pas tout à fait vrai…cela l’était avant, mais ne l’est plus.
Aujourd’hui, et pour faire simple, la TVA s’applique à 5,5% sur les produits alimentaires vendus dans des emballages permettant la conservation sans altération du produit, et 10% si la consommation doit être immédiate. Peut importe que la consommation se fasse sur place ou à l’extérieur…
Il y a bien sûr quelques exceptions à ce principe, mais qui n’apportent rien à cette anecdote.
Un menu Big mac aura donc de la TVA à 10% quelque soit le lieu de consommation (vérifiez sur les tickets de caisse!). En effet, j’vous avez déjà essayé de consommer un Big Mac 2 jours après son achat? Je vous le déconseille…!

a écrit : Ce n’est pas tout à fait vrai…cela l’était avant, mais ne l’est plus.
Aujourd’hui, et pour faire simple, la TVA s’applique à 5,5% sur les produits alimentaires vendus dans des emballages permettant la conservation sans altération du produit, et 10% si la consommation doit être immédiate. Peut importe que la cons
ommation se fasse sur place ou à l’extérieur…
Il y a bien sûr quelques exceptions à ce principe, mais qui n’apportent rien à cette anecdote.
Un menu Big mac aura donc de la TVA à 10% quelque soit le lieu de consommation (vérifiez sur les tickets de caisse!). En effet, j’vous avez déjà essayé de consommer un Big Mac 2 jours après son achat? Je vous le déconseille…!
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Pourquoi tu le déconseilles ? Toi, tu as essayé ? Jusqu'à preuve du contraire, je croirais plutôt que les Big Macs (et les McDos en général) sont pratiquement inaltérables. Même les moisissures n'en veulent pas tellement c'est bourré de conservateurs et autres additifs...

a écrit : En réalité, la marge est souvent plus faible à emporter, en raison des coûts des emballages, eux aussi non répercutés.
Tout dépend évidemment du type de nourriture et d’emballage, mais un fast food a une marge supérieure sur place.
Ha bon
Pourtant la boîte de mon bigmac est la même sur place ou à emporter, celle de mes potatoes aussi et pareil pour ma boisson
Tout ce qu'il ya c'est un support boisson et un sac en carton qui doivent pas être si cher au vu des quantités qu'ils doivent acheter (je dirais 0.50€ max par client et encore je suis sur que je suis large )
Édit
Après une recherche rapide sur internet le porte Goblet et le sac vaudrait 0.47€ par client (et ça c'est sans le prix que peut avoir un groupe ou des professionnels)
Comme quoi a 10€ le menu ils perdent pas d'argent sauf si tout le monde fait une commande solo et encore c'est même pas dit

a écrit : "surprotection sociale" ? Sur de toi ?

youtu.be/rnu9e1ft5qw
Oui.
Depuis 40 ans, a été privilégié le revenu de l'électeur par ces 11 systèmes de Droits... Au détriment de celui qui crée les emplois: les entreprises.

Ce ne sont pas les entreprises qui doivent se mettre au diapason des travailleurs, mais le contraire.
Il est fini le temps - ça, c'est mon prof de Français qui le disait... à la fin des années 70 - où tout le monde pouvait prétendre à un "emploi pour la vie, dans la commune". Les temps ont bien changé : mobilité et formation professionnelle continue, sont (entre autres), des priorités à avoir bien présentes, pour avoir un Revenu issu de la chose la plus importante dans une vie d'actif: un emploi.

Il y a actuellement des centaines de milliers d'emploi qui ne sont pas pourvus en France... Alors que les chômeurs sont par millions.
N'y a t'il pas un problème de fond dans le pays ?...

Un extrême certes: l'Agriculture est désespérée pour rencontrer des personnes, pour récolter les fruits et légumes (ou encore faire les vendanges), vu que les Roumains, Bulgares et Portugais ne viennent pas, raison COVID.
Ce n'est certes pas commode de travailler sous la canicule, la pluie ou dans le froid... Mais ne sommes-nous pas, justement, trop... Commode, dans nos exigences ?...

a écrit : Ha bon
Pourtant la boîte de mon bigmac est la même sur place ou à emporter, celle de mes potatoes aussi et pareil pour ma boisson
Tout ce qu'il ya c'est un support boisson et un sac en carton qui doivent pas être si cher au vu des quantités qu'ils doivent acheter (je dirais 0.50€ max par cl
ient et encore je suis sur que je suis large )
Édit
Après une recherche rapide sur internet le porte Goblet et le sac vaudrait 0.47€ par client (et ça c'est sans le prix que peut avoir un groupe ou des professionnels)
Comme quoi a 10€ le menu ils perdent pas d'argent sauf si tout le monde fait une commande solo et encore c'est même pas dit
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Difficile a dire, d'autant que sur place, le macdo doit gérer (et payer) pour les montagnes d'ordures, nettoyer les tables, les chiottes, le sol et payer les impôts pour la surface construite, à mon avis c'est tout bénef de vendre à emporter mais je n'ai pas les chiffres réels, ca m'étonnerait que ce soit public mais peut être qu'un manager de macdo anonyme pourra nous renseigner, anonymement? ;)

@Lflfelf, si, ca pourrit la bouffe de macdo, pas très vite, mais ca pourrit. Par contre, réchauffer un burger au micro-ondes, certains s'y prêtent de manière relativement acceptablement comestible et d'autres moins, voir pas du tout à moins d'aimer le caoutchouc^^

a écrit : Difficile a dire, d'autant que sur place, le macdo doit gérer (et payer) pour les montagnes d'ordures, nettoyer les tables, les chiottes, le sol et payer les impôts pour la surface construite, à mon avis c'est tout bénef de vendre à emporter mais je n'ai pas les chiffres réels, ca m'étonnerait que ce soit public mais peut être qu'un manager de macdo anonyme pourra nous renseigner, anonymement? ;)

@Lflfelf, si, ca pourrit la bouffe de macdo, pas très vite, mais ca pourrit. Par contre, réchauffer un burger au micro-ondes, certains s'y prêtent de manière relativement acceptablement comestible et d'autres moins, voir pas du tout à moins d'aimer le caoutchouc^^
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Evidemment ça finit par pourrir et peut-être même moisir un peu. Mais sûrement pas en deux jours. D'où ma réponse à celui qui déconseille de manger un Mc Do après 2 jours et qui demande si on a essayé. A mon avis un Mc Do est toujours aussi bon (ou aussi mauvais, ça dépend des goûts) après deux jours, et celui qui le déconseille n'a pas lui-même essayé et affirme sans preuves.

a écrit : Oui.
Depuis 40 ans, a été privilégié le revenu de l'électeur par ces 11 systèmes de Droits... Au détriment de celui qui crée les emplois: les entreprises.

Ce ne sont pas les entreprises qui doivent se mettre au diapason des travailleurs, mais le contraire.
Il est fini le temps - ça, c
'est mon prof de Français qui le disait... à la fin des années 70 - où tout le monde pouvait prétendre à un "emploi pour la vie, dans la commune". Les temps ont bien changé : mobilité et formation professionnelle continue, sont (entre autres), des priorités à avoir bien présentes, pour avoir un Revenu issu de la chose la plus importante dans une vie d'actif: un emploi.

Il y a actuellement des centaines de milliers d'emploi qui ne sont pas pourvus en France... Alors que les chômeurs sont par millions.
N'y a t'il pas un problème de fond dans le pays ?...

Un extrême certes: l'Agriculture est désespérée pour rencontrer des personnes, pour récolter les fruits et légumes (ou encore faire les vendanges), vu que les Roumains, Bulgares et Portugais ne viennent pas, raison COVID.
Ce n'est certes pas commode de travailler sous la canicule, la pluie ou dans le froid... Mais ne sommes-nous pas, justement, trop... Commode, dans nos exigences ?...
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Évidemment que l'allocation chômage qui parfois est plus élevée que l'ancien salaire peut pousser certains à ne pas vouloir travailler. J'ai moi-même plusieurs connaissances dans l'informatique qui passe 6 mois à travailler, 6 mois au chômage et qui font ça depuis plusieurs années sans problème.
Toutefois ce n'est pas du tout la seule raison et pas non plus la raison majoritaire.
- les entreprises ne trouvent pas de personnes qualifiées pour les postes demandés;
- des secteurs dits "aspirateurs" qui recrutent la majorité des jeunes sortis de formation et d'école sans en "laisser" aux autres (notamment l'informatique et les médias);
- des formations techniques sous-cotées depuis des années et délaissées par les jeunes et l'éducation nationale (et pourtant un couvreur, un carrossier ou un plombier aujourd'hui qui se met à son compte peut gagner bien plus que certains CSP+);
- des métiers difficiles (infirmières, agriculteurs, agent d'entretien, etc.) qui sont très faiblement rémunérés aujourd'hui et qui pourtant sont indispensables (certains les applaudissaient même à 20h tous les soirs ... ça leur faisait une belle jambe tiens, des applaudissements, ça ne remplit pas le frigo).
Pour moi, il faudrait :
- que les entreprises prennent des risques, embaucher un jeune sans compétence, ce n’est pas grave. Un jeune, c'est motivé pour apprendre. (l'entreprise qui veut un junior de moins de 30 ans avec 15 ans d'expérience sur un truc qui a 5 ans d'existence, ça va 5 min....)
- que les formations techniques soient revalorisées avec un budget plus conséquent
- que les métiers considérés comme essentiels soient mieux rémunérés;
- éventuellement que les conditions d'accès au chômage soient plus encadrées, mais je ne crois vraiment pas que ce soit le coeur du problème.

Enfin, il faudrait dire à nos ados que non, "influenceur" n'est pas un vrai métier.

a écrit : Pourquoi tu le déconseilles ? Toi, tu as essayé ? Jusqu'à preuve du contraire, je croirais plutôt que les Big Macs (et les McDos en général) sont pratiquement inaltérables. Même les moisissures n'en veulent pas tellement c'est bourré de conservateurs et autres additifs... Bien sûr que j’ai essayé!!!

Cette question peut parfois être déconcertante en anglais, on peut vous demander par exemple "To take or to have ?" ce qui peut sembler la même chose. Mais d'une manière générale, "To have" c'est forcément sur place (le "in" est sous-entendu), donc si vous voulez qu'on vous mette votre repas dans un sachet plutôt que sur un plateau, il faut répondre par l'autre proposition. Donc si on vous demande "To take or to have ?" ou "To have or to go ?" ou simplement "To have ?", il faut répondre "To take", ou "To go" ou "No (to take out)" ! Mais ils se peut aussi que vous ayez de la chance et qu'on vous demande "To take away ?" comme vous avez appris à l'école ! (mais dans ce cas, c'est si vous voulez manger sur place qu'il faut savoir répondre "No, to have" !).

a écrit : Évidemment que l'allocation chômage qui parfois est plus élevée que l'ancien salaire peut pousser certains à ne pas vouloir travailler. J'ai moi-même plusieurs connaissances dans l'informatique qui passe 6 mois à travailler, 6 mois au chômage et qui font ça depuis plusieurs années sans problème.
/> Toutefois ce n'est pas du tout la seule raison et pas non plus la raison majoritaire.
- les entreprises ne trouvent pas de personnes qualifiées pour les postes demandés;
- des secteurs dits "aspirateurs" qui recrutent la majorité des jeunes sortis de formation et d'école sans en "laisser" aux autres (notamment l'informatique et les médias);
- des formations techniques sous-cotées depuis des années et délaissées par les jeunes et l'éducation nationale (et pourtant un couvreur, un carrossier ou un plombier aujourd'hui qui se met à son compte peut gagner bien plus que certains CSP+);
- des métiers difficiles (infirmières, agriculteurs, agent d'entretien, etc.) qui sont très faiblement rémunérés aujourd'hui et qui pourtant sont indispensables (certains les applaudissaient même à 20h tous les soirs ... ça leur faisait une belle jambe tiens, des applaudissements, ça ne remplit pas le frigo).
Pour moi, il faudrait :
- que les entreprises prennent des risques, embaucher un jeune sans compétence, ce n’est pas grave. Un jeune, c'est motivé pour apprendre. (l'entreprise qui veut un junior de moins de 30 ans avec 15 ans d'expérience sur un truc qui a 5 ans d'existence, ça va 5 min....)
- que les formations techniques soient revalorisées avec un budget plus conséquent
- que les métiers considérés comme essentiels soient mieux rémunérés;
- éventuellement que les conditions d'accès au chômage soient plus encadrées, mais je ne crois vraiment pas que ce soit le coeur du problème.

Enfin, il faudrait dire à nos ados que non, "influenceur" n'est pas un vrai métier.
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Je te rejoins en grande partie, des entreprises qui considèrent leurs employés comme du bétail et qui s'étonnent de ne pas trouver, il faut arrêter de prendre les gens pour des cons au bout d'un moment.

Je raconte un peu ma vie, j'ai quitté quelques boulots parce que je considérais les conditions inacceptables (je vous passe les détails) et à chaque fois, on me disais: T'as pas le droit de faire ça (de les planter)

Ben... si, regardez, je me casse. Démerdez vous, trouvez un autre pigeon.

Le must (pour rester dans la restauration) c'est le parton qui est venu -->chez moi<--, et qui m'a dit:
-Tu viens travailler (ce n'était pas une question)
-Non.
-Pourquoi?
-Parce que j'ai pas envie, à moins que vous me payez immédiatement mes heures supplémentaires?
-Je te les payerai...
-C'est ça, ben en attendant, vous ferez la plonge vous-même.
(MOUAHAHAH)

Voila à quoi beaucoup sont confrontés, comment voulez vous qu'on réagisse? Au bout d'un moment, y'en a marre de tout accepter et de fermer sa gueule! Si on me payais toutes ces foutues heures supplémentaires depuis 20 ans que je suis sur le marché, je pourrais presque me payer une Zoé neuve! ^^ grrrr

désolé pour le H.S

a écrit : Évidemment que l'allocation chômage qui parfois est plus élevée que l'ancien salaire peut pousser certains à ne pas vouloir travailler. J'ai moi-même plusieurs connaissances dans l'informatique qui passe 6 mois à travailler, 6 mois au chômage et qui font ça depuis plusieurs années sans problème.
/> Toutefois ce n'est pas du tout la seule raison et pas non plus la raison majoritaire.
- les entreprises ne trouvent pas de personnes qualifiées pour les postes demandés;
- des secteurs dits "aspirateurs" qui recrutent la majorité des jeunes sortis de formation et d'école sans en "laisser" aux autres (notamment l'informatique et les médias);
- des formations techniques sous-cotées depuis des années et délaissées par les jeunes et l'éducation nationale (et pourtant un couvreur, un carrossier ou un plombier aujourd'hui qui se met à son compte peut gagner bien plus que certains CSP+);
- des métiers difficiles (infirmières, agriculteurs, agent d'entretien, etc.) qui sont très faiblement rémunérés aujourd'hui et qui pourtant sont indispensables (certains les applaudissaient même à 20h tous les soirs ... ça leur faisait une belle jambe tiens, des applaudissements, ça ne remplit pas le frigo).
Pour moi, il faudrait :
- que les entreprises prennent des risques, embaucher un jeune sans compétence, ce n’est pas grave. Un jeune, c'est motivé pour apprendre. (l'entreprise qui veut un junior de moins de 30 ans avec 15 ans d'expérience sur un truc qui a 5 ans d'existence, ça va 5 min....)
- que les formations techniques soient revalorisées avec un budget plus conséquent
- que les métiers considérés comme essentiels soient mieux rémunérés;
- éventuellement que les conditions d'accès au chômage soient plus encadrées, mais je ne crois vraiment pas que ce soit le coeur du problème.

Enfin, il faudrait dire à nos ados que non, "influenceur" n'est pas un vrai métier.
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Voilà, ça c'est la réalité bien terre-à-terre.

Tu le dis toi-même : "j'ai des potes qui... 6 mois boulot, 6 mois chômage", alors qu'ils travaillent dans un secteur "aspirateur".
Fais-moi rigoler...
Ça c'est un des nombreux exemples pernicieux du système de "surprotection" à la Française.

Le système des Allocations familiales est également montré du doigt (je sais, le sujet est sensible )
Il y a un pays de l'OCDE qui l'a supprimé, avec un préavis de trois ans.
Non seulement son taux de natalité n'a pas chuté... Mais son "pôle emploi" a vu arriver tout un cortège de personnes qui "vivotaient" d'allocs et de petits boulots au black.
Vu que leurs revenus aller chuter drastiquement... Ils sont venus demander de la formation professionnelle ou de l'emploi ne demandant pas, ou peu de qualification professionnelle.

Je te félicite pour toutes les connaissances que tu décris dans ton commentaire.
Je réitère ma demande (joke). Tu ne veux vraiment pas présenter ta candidature de président ?
Je ne suis pas le seul à la réclamer...
(Et basta de l'excuse "je ne suis pas domicilié en France" )

a écrit : Voilà, ça c'est la réalité bien terre-à-terre.

Tu le dis toi-même : "j'ai des potes qui... 6 mois boulot, 6 mois chômage", alors qu'ils travaillent dans un secteur "aspirateur".
Fais-moi rigoler...
Ça c'est un des nombreux exemples pernicieux du sys
tème de "surprotection" à la Française.

Le système des Allocations familiales est également montré du doigt (je sais, le sujet est sensible )
Il y a un pays de l'OCDE qui l'a supprimé, avec un préavis de trois ans.
Non seulement son taux de natalité n'a pas chuté... Mais son "pôle emploi" a vu arriver tout un cortège de personnes qui "vivotaient" d'allocs et de petits boulots au black.
Vu que leurs revenus aller chuter drastiquement... Ils sont venus demander de la formation professionnelle ou de l'emploi ne demandant pas, ou peu de qualification professionnelle.

Je te félicite pour toutes les connaissances que tu décris dans ton commentaire.
Je réitère ma demande (joke). Tu ne veux vraiment pas présenter ta candidature de président ?
Je ne suis pas le seul à la réclamer...
(Et basta de l'excuse "je ne suis pas domicilié en France" )
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Cela reste un sujet très complexe. Je vois la nation comme une grosse centrale avec des milliards de bouton et le moindre ajustements peut tout faire passer en zone rouge.

La surprotection sociale comme tu le décris nous protège aussi de la « surpauvreté » si je peux me permettre. Cette situation existe au USA et la sous protection sociale est également catastrophique et coûte très cher.

C’est toujours compliqué le social. Regarde la Finlande qui gagne de l’argent en relogeant gratuitement tous les sans papiers depuis quelques années.

Bref c’est un problème très complexe. Après réduire les charges patronales pourrait être une aide à l’embauche si tant est que les entreprises embauchent vraiment au lieu d’augmenter leurs marges. Regarde le sujet de l’anecdote et la TVA, c’est pareil, les entreprises s’aligneront toujours sur le prix le plus rentables.

a écrit : En fait ce n’est pas vraiment ça. La TVA est à 5,5% si le produit vendu est à consommation différée et donc conservable. Les pizzas, glaces, sushi et burgers qui ,même si vendu à emporter, sont par nature à consommation immédiate ont une TVA à 10%. Ces produits composent la majorité des commandes à emporter d’un restaurant. Afficher tout C’est tout à fait ça!
Il y n’y a que deux taux de TVA applicable en restauration:
- 10% pour la vente de nourriture et boissons non alcoolisées sur place et à emporter.
- 20% sur les boissons alcoolisées.

a écrit : C’est tout à fait ça!
Il y n’y a que deux taux de TVA applicable en restauration:
- 10% pour la vente de nourriture et boissons non alcoolisées sur place et à emporter.
- 20% sur les boissons alcoolisées.
Tu dis "c'est tout à fait ça" mais tu dis autre chose. Il y a bien un taux de TVA réduit à 5.5%.

Cette anecdote n'est plus à jour, elle est confirmée seulement par la première source qui date de 2008 !!! La deuxième source qui est à jour ne confirme pas cette anecdote.

Le taux de TVA ne dépend pas si on mange sur place ou si on emporte mais seulement du type de nourriture qui est destiné à être consommé immédiatement ou plus tard. Un sandwich (ou un burger) sera toujours vendu avec une TVA à 10%, que ce soit sur place ou à emporter, alors qu'une barquette de raviolis vendue par un traiteur (sans les couverts pour la manger tout de suite) sera vendue avec une TVA réduite à 5.5%, comme une boite de conserve de ravioli qu'on aurait achetée au supermarché.

De même un verre de Coca sera vendu avec une TVA à 10% car c'est pour consommer tout de suite mais une bouteille de Coca sera vendue avec une TVA à 5.5% même si on s'assoit pour la boire tout de suite, car on n'est pas obligé de l'ouvrir et la boire tout de suite. Sauf si le commerçant la vend avec un sandwich et n'applique pas différents taux de TVA sur le même ticket, dans ce cas c'est le taux le plus élevé (10%) qui sera appliqué au sandwich et à la bouteille de Coca.

Les boissons alcoolisées ont un taux de TVA de 20% et si le commerçant ne ventille pas les montants pour leur appliquer différents taux de TVA, il devra appliquer une TVA de 20% à la bière et au sandwich qu'il vend en même temps (mais si sa caisse enregistreuse est capable d'appliquer différents taux de TVA, il peut appliquer 20% à la bière et 10% au sandwich).

En effet ça faisait une différence dans le temps, et c'est pourquoi l'un des commentateurs se souvient qu'on pouvait payer moins cher en déclarant que c'était à emporter, même si on mangeait en douce sur place ensuite. Mais ce n'est plus valable et cette anecdote est devenue fausse depuis que la règle a changé.

a écrit : Cela reste un sujet très complexe. Je vois la nation comme une grosse centrale avec des milliards de bouton et le moindre ajustements peut tout faire passer en zone rouge.

La surprotection sociale comme tu le décris nous protège aussi de la « surpauvreté » si je peux me permettre. Cette situation existe
au USA et la sous protection sociale est également catastrophique et coûte très cher.

C’est toujours compliqué le social. Regarde la Finlande qui gagne de l’argent en relogeant gratuitement tous les sans papiers depuis quelques années.

Bref c’est un problème très complexe. Après réduire les charges patronales pourrait être une aide à l’embauche si tant est que les entreprises embauchent vraiment au lieu d’augmenter leurs marges. Regarde le sujet de l’anecdote et la TVA, c’est pareil, les entreprises s’aligneront toujours sur le prix le plus rentables.
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Il est difficile voire impossible, d'effectuer une comparaison de la pauvreté, entre la France et les États-Unis.
Déjà, ces deux pays n'utilisent pas les mêmes critères de définition.

Bref, je crois que le mieux à faire, vue la complexité du sujet, c'est que nous en restions là.

Ah pardon. "Influencer" n'est pas un métier d'avenir. Je te le confirme.
Ceci va pour mon neveu...

Quant à joueur de football professionnel ou chanteur de Rap...
Beaucoup de prétendants et très peu d'élus.
Ce n'est pas de la passion qu'il faut, mais un "don", pour être au Zénith.

a écrit : Le poids du Tourisme dans l'Economie Francaise, est loin d'être négligeable.
Les Hôteliers-Restaurateurs se sont tout de même fait "taper sur les doigts" dernièrement, de par leur politique de bas salaires.
De toute manière, de gré ou de force, les salaires du secteur augmentent actu
ellement. Le manque de vocations et de personnel saisonnier... Conduit à une catastrophe (manque réelle de personnel) dans les stations de sport d'hiver.
... Et le problème est encore loin de se résorber. L'été 2022 sera tout autant catastrophique pour trouver du personnel.
La première cause de cette défection est un peu surprenante... Mais réelle.
Le manque de logements pour ce personnel temporaire.
Où les municipalités, départements et régions prennent LE problème à bras le corps, où ceci ne s'améliorera pas.
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Euh... Ne serait-ce pas aux principaux concernés de prendre le problème à bras le corps ??? Ça ne relève pas d'une forme de dumping social cette idée de demander aux autres (Région, Département, autrement dit tous les imposables) de régler financièrement ce problème ???

a écrit : Attention !
Le secteur Touristique Français, montre des signes d'essoufflement, car il n'est plus compétitif en matière de prix.
Augmenter les salaires du personnel, va irrémédiablement se répercuter sur les prix de vente... que se soit pour le touriste étranger ou le client local. La valse de
s étiquettes (qui existe déjà sur les matières premières alimentaires) va inévitablement se répercuter dans l'inflation... Et donc le pouvoir d'achat de tout un chacun.

Tant que le Gouvernement (celui-ci ou le suivant, peu importe) ne s'attelera pas à casser le Modèle de surprotection Sociale existant en France, le résolution du problème est chimérique.
Nous avons encore une politique qui favorise l'inactivité du travailleur actif, conduisant au mode de pensée "à ce salaire là (en net, pas en brut) ni je me lève du lit".
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C'est une bonne idée, mais, dans ce cas, il faut accepter la fluidité de l'emploi, un peu à la mode anglo-,saxonne. A savoir accepter se faire virer du jour au lendemain du côté employé, mais aussi perdre son employé du jour au lendemain pour le patron. Pas sûr que le MEDEF approuvé ce genre de chose...
Au fait, tu connais le principe (ou le jeu) de l'ultimatum ???

a écrit : Oui.
Depuis 40 ans, a été privilégié le revenu de l'électeur par ces 11 systèmes de Droits... Au détriment de celui qui crée les emplois: les entreprises.

Ce ne sont pas les entreprises qui doivent se mettre au diapason des travailleurs, mais le contraire.
Il est fini le temps - ça, c
'est mon prof de Français qui le disait... à la fin des années 70 - où tout le monde pouvait prétendre à un "emploi pour la vie, dans la commune". Les temps ont bien changé : mobilité et formation professionnelle continue, sont (entre autres), des priorités à avoir bien présentes, pour avoir un Revenu issu de la chose la plus importante dans une vie d'actif: un emploi.

Il y a actuellement des centaines de milliers d'emploi qui ne sont pas pourvus en France... Alors que les chômeurs sont par millions.
N'y a t'il pas un problème de fond dans le pays ?...

Un extrême certes: l'Agriculture est désespérée pour rencontrer des personnes, pour récolter les fruits et légumes (ou encore faire les vendanges), vu que les Roumains, Bulgares et Portugais ne viennent pas, raison COVID.
Ce n'est certes pas commode de travailler sous la canicule, la pluie ou dans le froid... Mais ne sommes-nous pas, justement, trop... Commode, dans nos exigences ?...
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Si la chose la plus importante pour toi est le boulot, c'est bien triste. Je pense que tu passes à côté de choses plus essentielles à mes yeux.
Dans le service depuis trente ans, j'en ai fait des clients et je peux te dire une chose commune à tous leurs employés que j'ai croisé (et continue de croiser), c'est qu'à force de leur bouffer le gras, ils n'ont plus envie de s'investir dans un poste qu'ils peuvent perdre du jour au lendemain parce que leur boîte n'est "pas assez rentable"...

a écrit : Tu as raison pour la TVA. Mais il faut pas oublier qu ils doivent payer le RSI. Je ne connais pas le taux mais je sais que cette taxe leurs coûtes chers.
Cette baisse de TVA a sûrement compensé le RSI
Le rsi (régime social des indépendants) n'existe plus, il a fusionné avec l'urssaf. Il s'agit des charges sociales sur la rémunération du dirigeant de SARL, et pour être précise il y a même moins de charges sur sa rémunération s'il est en SARL que s'il est en SAS ou SA.
Le rsi n'a donc aucun lien avec la tva et n'est pas une taxe. La baisse de la tva devait permettre des embauches, des augmentations de salaires et des investissements mais les embauches n'ont pas vraiment eu lieu...