Samantha Futerman est une actrice américaine d'origine coréenne qui a notamment tourné dans le film "Mémoires d'une geisha" et dont l'histoire est digne d'un film. En 2013, elle fut contactée sur internet par une inconnue, Anaïs Bordier, une étudiante française très intriguée par leur ressemblance physique. Après divers échanges, elles se rendirent alors compte qu'elles étaient sœurs jumelles, séparées à la naissance.
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J'ai plusieurs fois emprunté dans les années 80, les vols internationaux entre Paris et le Japon et la Corée du Sud.
Il était fréquent que des bébés et enfants Coréens soient passagers sur ces vols, surtout confiés aux soins de femmes Scandinaves, travaillant pour une agence d'adoption.
Au tout début des années 80, j'avais lu dans la Presse Française, ces histoires d'adoption de bébés Coréens, où il ne se cachait pas trop l'intérêt financier de ce "marché".
Le bébé Coréen était conçu par ses parents biologiques, dans l'unique but d'être vendu à l'adoption internationale, pour une somme importante. Cet argent était principalement destiné à payer l'entrée d'un appartement neuf.
La Corée du Sud a toujours été pourvoyeuse de bébés à l'adoption, car sa structure sociale n'accepte pas les enfants nés hors mariage.
Si, de plus, l'accès aux contraceptifs et à l'avortement sont interdits (l'avortement n'a été Légalisé qu'en 2019), toute conception non désirée, devient un véritable fardeau pour la mère.
La solution pour beaucoup de ces filles-mères, étaient donc de se déplacer vers une autre province de Corée du Sud, le temps de la grossesse, puis d'accoucher et signer l'Acte d'abandon. Ensuite, qu'advenait-il du bébé ? Ce n'était déjà plus leur "affaire".
Ne croyez pas que de telles situations étaient d'un autre monde.... Des situations similaires avaient encore lieu en France, dans les années 70 du siècle passé.
L'adoption contre monnaie sonnante et trébuchante relève, pour moi, du traffic d'humains. Même si ça peut s'expliquer (pas excuser), acheter un bébé, ou le concevoir dans un but financier, je trouve ça sordide.
Par contre, je n'ai rien à redire sur le paiement des frais inhérents à une adoption.
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Déjà vu !
J'ai plusieurs fois emprunté dans les années 80, les vols internationaux entre Paris et le Japon et la Corée du Sud.
Il était fréquent que des bébés et enfants Coréens soient passagers sur ces vols, surtout confiés aux soins de femmes Scandinaves, travaillant pour une agence d'adoption.
Au tout début des années 80, j'avais lu dans la Presse Française, ces histoires d'adoption de bébés Coréens, où il ne se cachait pas trop l'intérêt financier de ce "marché".
Le bébé Coréen était conçu par ses parents biologiques, dans l'unique but d'être vendu à l'adoption internationale, pour une somme importante. Cet argent était principalement destiné à payer l'entrée d'un appartement neuf.
La Corée du Sud a toujours été pourvoyeuse de bébés à l'adoption, car sa structure sociale n'accepte pas les enfants nés hors mariage.
Si, de plus, l'accès aux contraceptifs et à l'avortement sont interdits (l'avortement n'a été Légalisé qu'en 2019), toute conception non désirée, devient un véritable fardeau pour la mère.
La solution pour beaucoup de ces filles-mères, étaient donc de se déplacer vers une autre province de Corée du Sud, le temps de la grossesse, puis d'accoucher et signer l'Acte d'abandon. Ensuite, qu'advenait-il du bébé ? Ce n'était déjà plus leur "affaire".
Ne croyez pas que de telles situations étaient d'un autre monde.... Des situations similaires avaient encore lieu en France, dans les années 70 du siècle passé.
L'adoption contre monnaie sonnante et trébuchante relève, pour moi, du traffic d'humains. Même si ça peut s'expliquer (pas excuser), acheter un bébé, ou le concevoir dans un but financier, je trouve ça sordide.
Par contre, je n'ai rien à redire sur le paiement des frais inhérents à une adoption.
Tout est bien qui finit bien, longue vue à elles ;)
Une ressemblance frappante en effet
elle racontent leurs histoire dans un podcast de « transfert ». Les details sont fous.