En 1922, Alaska P. Davidson devint la première femme agente spéciale du FBI. Sa carrière fut de courte durée, car le directeur J. Edgar Hoover lui demanda de démissionner en 1924, au motif qu'il n'y avait pas de travail pour les femmes au FBI. Entre 1929 et 1972, le FBI ne comptait aucune femme dans ses rangs.
Tous les commentaires (35)
Merci pour l'éclaircissement ;)
Certes je ne suis qu'un contre exemple, mais je ne comprends pas trop tes généralités fondées sur peut-être ton ressenti ou des lieux communs.
OK, on doit lutter pour qu'il y ait plus d'égalités entre les femmes et les hommes, mais de là à dire des bêtises comme "on ne ressent pas la douleur" ou "on donne la vie, on a des pouvoirs qui les dépassent"...ça n'est pas du tout comme ça qu'on va obtenir une certaine égalité.
(bon, c'est vrai que quand je vois mon mari hurler de douleur, se rouler par terre, à la limite d'appeler les urgences...quand il se cogne un pied contre un meuble...je trouve ça très mignon de ridicule !)
Je peux t'assurer que, quand madame l'utilise, elle invente une nouvelle danse, tout comme moi, ton mari et tant d'autres ^^
La douleur est perçue différemment selon chacun. On peut même la contrôler (je connais pas mal de femmes très doudouilles).
Par exemple, je suis capable de me faire dépulper (dévitaliser) une dent sans anesthésie. Combien de personnes, femmes comprises, en sont capable ?
Bah moi depuis que je me suis brûlée au 3ème degré au niveau de la cuisse, et qu'on a dû changer les pansements de tulle gras alors que j'avais les nerfs à vif, bah je peux te dire qu'un accouchement sans péridurale, c'est ridicule en comparaison ! Il y a quelques années aussi, un ORL m'a retiré un truc du genre papillum au niveau du palais...et l'anesthésie n'avait pas encore fait son effet. J'ai tout senti, mais pas eu vraiment mal. Mais c'est bête, je pleure de douleur régulièrement depuis la rupture et la suture d'un ligament du pouce...
Tout est relatif en effet.
En tout cas, c'est pas le sexe qui fait qu'on a une plus grosse tolérance à la douleur que les autres. Surtout quand je vois le comportement des parents avec leurs enfants...
Dès qu'une petite fille tombe, on la chouchoute, on la dorlote...elle en rajoute des caisses etc. Par contre souvent quand c'est un garçon qui tombe, on lui interdit presque de pleurer. Boys don't cry...
Avec mes 3 garçons, si l'un tombe, j'analyse s'il y a vraiment potentiellement une douleur ou une blessure, je ne réagis pas de suite. Si le fils hurle de douleur, c'est qu'il doit vraiment avoir mal, s'il se relève tranquillement, c'est que tout va bien. Et j'aurais eu 3 filles, j'aurais fait pareil.
Excellent comportement. C'est par ses erreurs qu'on retient le mieux ;)
Je me souviens, quand j'étais pré-ados, j'étais hypersensible (j'ai compris beaucoup plus tard pourquoi) et pleurais pour n'importe quoi.
Un jour, en vacances dans une maison en location dans le massif central, assis sur le sol, je me suis levé rapidement juste sous la fenêtre ouverte. Je me suis violemment pris l'angle du vantail ouvert dans le dos à à peine 1 cm de la colonne vertébrale. J'ai hurlé et pleuré aussitôt ... jusqu'à ce que je me demande pourquoi.
C'est la peur qui effraie, jusqu'à ce qu'on s'interroge sur cette peur.