Faire flotter une enclume, c'est facile

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a écrit : Haha, le plomb et l’or…
La pierre philosophale ne répondra peut-être pas à ta question mais elle te rendra riche ^^

Pourquoi je ne me brule pas quand je prends une feuille d’alu dans un four à 200 °C du coup ?
Si tu ne te brule pas en touchant du papier alu chauffé a 250 degrés, c'est parce qu'il est si fin qu' il a très peu d'énergie thermique emmagasinée, beaucoup d'air entre les pliages, mais je te garantis que si tu saisis un boulon en alu (ca n'existe pas, je sais) chauffé a 250° c'est brulure au troisième degré instantanée car la masse de métal est plus grande dans un plus petit volume. (ne fais pas ça hein, crois moi sur parole... s'il te plait...je t'en supplie...)

a écrit : Merci Nico, il semble que tu as raison :

Définition Wikipédia :

En chimie, les métaux sont des matériaux dont les atomes sont unis par des liaisons métalliques. Il s'agit de corps simples ou d'alliages le plus souvent durs, opaques, brillants, bons conducteurs de la chaleur et de l&
#039;électricité. Ils sont généralement malléables, c'est-à-dire qu'ils peuvent être martelés ou pressés pour leur faire changer de forme sans les fissurer, ni les briser. De nombreuses substances qui ne sont pas classées comme métalliques à pression atmosphérique peuvent acquérir des propriétés métalliques lorsqu'elles sont soumises à des pressions élevées. Les métaux possèdent de nombreuses applications courantes, et leur consommation s'est très fortement accrue depuis les années 1980, au point que certains d'entre eux sont devenus des matières premières minérales critiques.

J’aurais dû regarder avant mais “le plus souvent durs” ne m’aurais pas plus éclairer que ça je pense… :-)
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Trop bien cette définition de wikipédia ! Quel incroyable outil !

Une des propriétés des métaux, c'est de pouvoir faire des molécules virtuellement infinies. Par exemple, une barre d'acier.

"Quoi ?! Mais c'est pas infini une barre d'acier"

Non, mais en fait, comparativement à la taille d'un atome ou d'un électron, ça l'est quasiment. D'ailleurs, quand on decrit mathématiquement le comportement d'un métal, on fait l'hypothèse d'infinité. L'électron qui se balade dans un métal voit des milliards et des milliards d'atomes avant de, peut être un jour mais sans doute jamais, arriver au bord du métal.

Ce n'est pas le cas avec l'eau, les polymères, ou n'importe quelle molécule. Le glucose par exemple, C6H12O6 a une taille bien définie avec un formule chimique bien définie.

C'est quoi la formule chimique de ma barre d'acier ? Il y en a pas vraiment ... Enfin, si, souvent on donne a formule d'une "maille élémentaire", un ensemble de 4/5/6/... atomes qui se répète à l'infini dans toutes les directions. On parle de cristal.

Les métaux ne sont cependant pas les seuls à être virtuellement infinis. Les céramiques, par exemple, sont aussi "infinis". Par contre, les liaisons sont covalentes, et pas métalliques. Ça veut dire, notamment, que les électrons des atomes liés sont bien liés, ils forment la liaison et ne bougent pas. Les céramiques sont isolantes.

Les métaux par contre ont des électrons "flottants". Les atomes sont bien liés, mais ils ont des électrons en rab qui nagent entre tous les atomes du matériau. Dans un métal, les électrons ne sont pas liés à un atome en particulier, ils "flottent" autour de l'ensemble. On parle de "nuage électronique", dont la description est plus ou moins complexe en fonction des matériaux.

En fait on peut voir un métal comme un matrice énooooorme dans lequel évoluent un très très grand nombre d'électrons. Les électrons sont rapides et légers et évoluent autour des noyaux qui sont lents et lourds.

Le déplacement de ces électrons forment les courant électriques. Ils peuvent aussi participer a la propagation de chaleur, mais l'effet est plutôt dominé par les vibrations des atomes.
Et alors fun fact : les électrons qui participent au courant électrique sont en fait très très minoritaires dans un métal. J'ai plus le chiffre, mais c'est moins du %. Les autres en ont rien a foutre de la tension au bornes de la barre d'acier, et continuent a flotter autour des noyaux comme des menfoutistes.

a écrit : Trop bien cette définition de wikipédia ! Quel incroyable outil !

Une des propriétés des métaux, c'est de pouvoir faire des molécules virtuellement infinies. Par exemple, une barre d'acier.

"Quoi ?! Mais c'est pas infini une barre d'acier"

Non, mais
en fait, comparativement à la taille d'un atome ou d'un électron, ça l'est quasiment. D'ailleurs, quand on decrit mathématiquement le comportement d'un métal, on fait l'hypothèse d'infinité. L'électron qui se balade dans un métal voit des milliards et des milliards d'atomes avant de, peut être un jour mais sans doute jamais, arriver au bord du métal.

Ce n'est pas le cas avec l'eau, les polymères, ou n'importe quelle molécule. Le glucose par exemple, C6H12O6 a une taille bien définie avec un formule chimique bien définie.

C'est quoi la formule chimique de ma barre d'acier ? Il y en a pas vraiment ... Enfin, si, souvent on donne a formule d'une "maille élémentaire", un ensemble de 4/5/6/... atomes qui se répète à l'infini dans toutes les directions. On parle de cristal.

Les métaux ne sont cependant pas les seuls à être virtuellement infinis. Les céramiques, par exemple, sont aussi "infinis". Par contre, les liaisons sont covalentes, et pas métalliques. Ça veut dire, notamment, que les électrons des atomes liés sont bien liés, ils forment la liaison et ne bougent pas. Les céramiques sont isolantes.

Les métaux par contre ont des électrons "flottants". Les atomes sont bien liés, mais ils ont des électrons en rab qui nagent entre tous les atomes du matériau. Dans un métal, les électrons ne sont pas liés à un atome en particulier, ils "flottent" autour de l'ensemble. On parle de "nuage électronique", dont la description est plus ou moins complexe en fonction des matériaux.

En fait on peut voir un métal comme un matrice énooooorme dans lequel évoluent un très très grand nombre d'électrons. Les électrons sont rapides et légers et évoluent autour des noyaux qui sont lents et lourds.

Le déplacement de ces électrons forment les courant électriques. Ils peuvent aussi participer a la propagation de chaleur, mais l'effet est plutôt dominé par les vibrations des atomes.
Et alors fun fact : les électrons qui participent au courant électrique sont en fait très très minoritaires dans un métal. J'ai plus le chiffre, mais c'est moins du %. Les autres en ont rien a foutre de la tension au bornes de la barre d'acier, et continuent a flotter autour des noyaux comme des menfoutistes.
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et les cristaux de sel? c'est très conducteur aussi, ca a toutes les caractéristiques du métal, mais c'est pas du métal... c'est même translucide cette saleté...

Comment ça, je suis chiant? Je pose juste des questions...chiantes! ^^

Non vraiment je suis perdu...

Je crois qu'on a encore beaucoup à apprendre de l'univers. on va continuer à creuser la question! :)

a écrit : et les cristaux de sel? c'est très conducteur aussi, ca a toutes les caractéristiques du métal, mais c'est pas du métal... c'est même translucide cette saleté...

Comment ça, je suis chiant? Je pose juste des questions...chiantes! ^^

Non vraiment je suis perdu...

Je
crois qu'on a encore beaucoup à apprendre de l'univers. on va continuer à creuser la question! :) Afficher tout
Je ne crois pas que les cristaux de sel soient conducteurs. Je crois même l'inverse. Ils sont liés par des liaisons ioniques : deux atomes liest partagent un (ou plusieurs) électrons, qui restent a proximité des noyayu pour garantir la stabit de la liaison.

Par contre des sels fondus, ou en solution, sont conducteurs. Mais dans ce cas, c'est tout l'atome (l'ion, en fait) qui porte la charge.

Ils n'y a pas électrons libres dans les cristaux de sels, contrairement aux métaux.

a écrit : Trop bien cette définition de wikipédia ! Quel incroyable outil !

Une des propriétés des métaux, c'est de pouvoir faire des molécules virtuellement infinies. Par exemple, une barre d'acier.

"Quoi ?! Mais c'est pas infini une barre d'acier"

Non, mais
en fait, comparativement à la taille d'un atome ou d'un électron, ça l'est quasiment. D'ailleurs, quand on decrit mathématiquement le comportement d'un métal, on fait l'hypothèse d'infinité. L'électron qui se balade dans un métal voit des milliards et des milliards d'atomes avant de, peut être un jour mais sans doute jamais, arriver au bord du métal.

Ce n'est pas le cas avec l'eau, les polymères, ou n'importe quelle molécule. Le glucose par exemple, C6H12O6 a une taille bien définie avec un formule chimique bien définie.

C'est quoi la formule chimique de ma barre d'acier ? Il y en a pas vraiment ... Enfin, si, souvent on donne a formule d'une "maille élémentaire", un ensemble de 4/5/6/... atomes qui se répète à l'infini dans toutes les directions. On parle de cristal.

Les métaux ne sont cependant pas les seuls à être virtuellement infinis. Les céramiques, par exemple, sont aussi "infinis". Par contre, les liaisons sont covalentes, et pas métalliques. Ça veut dire, notamment, que les électrons des atomes liés sont bien liés, ils forment la liaison et ne bougent pas. Les céramiques sont isolantes.

Les métaux par contre ont des électrons "flottants". Les atomes sont bien liés, mais ils ont des électrons en rab qui nagent entre tous les atomes du matériau. Dans un métal, les électrons ne sont pas liés à un atome en particulier, ils "flottent" autour de l'ensemble. On parle de "nuage électronique", dont la description est plus ou moins complexe en fonction des matériaux.

En fait on peut voir un métal comme un matrice énooooorme dans lequel évoluent un très très grand nombre d'électrons. Les électrons sont rapides et légers et évoluent autour des noyaux qui sont lents et lourds.

Le déplacement de ces électrons forment les courant électriques. Ils peuvent aussi participer a la propagation de chaleur, mais l'effet est plutôt dominé par les vibrations des atomes.
Et alors fun fact : les électrons qui participent au courant électrique sont en fait très très minoritaires dans un métal. J'ai plus le chiffre, mais c'est moins du %. Les autres en ont rien a foutre de la tension au bornes de la barre d'acier, et continuent a flotter autour des noyaux comme des menfoutistes.
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Je ne peux pas te laisser dire que l'acier est une molécule infinie d'atomes.
C'est bel et bien du cristal de fer. Les atomes sont disposés suivant une maille cubique, avec un atome de fer au centre. C'est d'ailleurs ce que symbolise l'Atomium à Bruxelles.
Evidemment, pour que cela soit de l'acier, il faut, en plus, quelques atomes de carbone qui vont déformer les mailles et modifier ainsi les propriétés.
Mais ce cristal est loin d'être infini. En fait, il forme des petits "grains" de cristaux qui s'enchevêtrent les uns dans les autres. L'orientation des différents réseaux dans les différents grains rend l'acier isotrope.
La forme des grains a une importance significative dans les caractéristiques du matériau. Et différents traitements mécaniques (laminage) ou thermique (normalisation) permettent de changer la taille et la forme de ces grains.

a écrit : Je ne crois pas que les cristaux de sel soient conducteurs. Je crois même l'inverse. Ils sont liés par des liaisons ioniques : deux atomes liest partagent un (ou plusieurs) électrons, qui restent a proximité des noyayu pour garantir la stabit de la liaison.

Par contre des sels fondus, ou en solution,
sont conducteurs. Mais dans ce cas, c'est tout l'atome (l'ion, en fait) qui porte la charge.

Ils n'y a pas électrons libres dans les cristaux de sels, contrairement aux métaux.
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Il me manque vraiment des connaissances, je l'avoue...

C'est quoi, un électron libre?

C'est pour ça que je disais plus haut qu'on a besoin d'un physicien ici, j'aurai peut être du préciser qu'on cherche un physicien nucléaire...

Il nous manque un vrai spationaute aussi... ^^

Un électron libre peut se déplacer d atome en atome.

a écrit : Un électron libre peut se déplacer d atome en atome. Question:

Qu'es ce que qu'un proton?

purée j'adore discuter ... maintenant tu va m'expliquer ce qu'est l'électricité

L atome est constitué d un noyau et électrons qui gravitent autour. Dans le noyau il y a des neutrons qui sont neutres et des protons qui ont une charge positive.

a écrit : Un électron libre peut se déplacer d atome en atome. C'est ces électrons qui sont utilisés pour former les liaisons covalente entre atomes et ainsi former des molécules.

L électricité est due au déplacement d électrons. Il peut aussi être assuré par le déplacement d ions en solutions ( ions: molécules ou atomes chargés).

a écrit : L électricité est due au déplacement d électrons. Il peut aussi être assuré par le déplacement d ions en solutions ( ions: molécules ou atomes chargés). C'est quoi, un atome chargé? Je te pose vraiment la question

C'est compliqué la physique des particules hein.... ,) J'ai du mal moi aussi... mais c'est rigolo, l'électricité statique, personne y comprend rien mais on se prend le jus sur des chariots de supermarché et personne sait pourquoi ^^

a écrit : C'est quoi, un atome chargé? Je te pose vraiment la question

C'est compliqué la physique des particules hein.... ,) J'ai du mal moi aussi... mais c'est rigolo, l'électricité statique, personne y comprend rien mais on se prend le jus sur des chariots de supermarché et personne sait pourquoi ^^
Alors corrigez-moi si je me trompe, je m'auto teste sur mes restes de physique du lycée, mais un atome chargé c'est un atome qui a perdu un (ou plusieurs) proton(s) (chargé négativement) ou un (ou plusieurs) électron(s) (chargé positivement)

Moi le jus je me le prends surtout en hiver, quand je sors la voiture du garage et que je vais le refermer (si je porte une certaine écharpe) : quand je touche la clé du garage CLAC, ça fait mal aux doigts ^^ la solution (que j'ai peut être lue ici d'ailleurs) c'est, au moment où je descends de la voiture, de toucher la carrosserie pour me décharger là (ça me fait moins mal qu'avec la clé en métal ^^)

a écrit : Alors corrigez-moi si je me trompe, je m'auto teste sur mes restes de physique du lycée, mais un atome chargé c'est un atome qui a perdu un (ou plusieurs) proton(s) (chargé négativement) ou un (ou plusieurs) électron(s) (chargé positivement)

Moi le jus je me le prends surtout en hiver, quand je s
ors la voiture du garage et que je vais le refermer (si je porte une certaine écharpe) : quand je touche la clé du garage CLAC, ça fait mal aux doigts ^^ la solution (que j'ai peut être lue ici d'ailleurs) c'est, au moment où je descends de la voiture, de toucher la carrosserie pour me décharger là (ça me fait moins mal qu'avec la clé en métal ^^) Afficher tout
Un atome ne peut pas perdre de proton (ou de neutron) de son noyau. Sauf dans le cas d'un fission nucléaire.
Un atome peut perdre, comme tu le dis, un ou plusieurs électrons. Vu que les électrons sont négatifs, si un atome perd des électrons, il devient positif. On l'appelle alors un cation.
Mais un atome peut également gagner un ou plusieurs électrons. Il devient alors négatif ou anion.

Pour savoir si un atome cherche à gagner ou à perdre un ou plusieurs électron(s), il faut comprendre que les électrons s'organisent en couche. Sur la première couche, il peut y avoir 2 électrons. Sur la seconde, il peut y en avoir 8. On retrouve d'ailleurs cette structure dans le tableau de MENDELEÏV :
- Sur la première ligne, il y a l'hydrogène avec un seul électron et l'hélium avec deux électrons (lorsqu'ils sont neutres). La première couche étant remplie, on passe à la seconde ligne.
- Sur la seconde ligne, il y a le lithium avec 2 électrons sur la première couche et un seul sur la deuxième couche. Et cela va jusqu'au néon qui a 2 électrons sur sa première couche et 8 sur sa deuxième (qui est ainsi complète).

Un atome va chercher à avoir des couches complètes. Il a deux possibilités :
- Le sodium, par exemple, qui a sa première et deuxième couche complète et un seul électron sur sa troisième, va chercher à s'en débarrasser. Comme il perd un électron, il devient positif : Na+
- Le chlore a également sa première et deuxième couche complète et il ne lui manque qu'un seul électron pour compléter sa troisième couche. Il va donc chercher à obtenir un électron supplémentaire et devient négatif : Cl-
Et c'est pourquoi le sodium et le chlore se combine pour former une molécule de sel (NaCl) car cela leur permet à tous les deux d'obtenir des couches complètes tout en conservant une charge neutre sur l'ensemble de la molécule.

Dans la dernière colonne du tableau de MENDELEÏV, on retrouve tous les atomes qui ont leur dernière couche complète. Ils n'ont besoin, ni de perdre, ni de gagner d'électron. Ils ne cherchent donc pas à s'associer avec d'autres atomes pour former des molécules. C'est pourquoi ils sont extrêmement peut réactifs (hélium, néon, argon, ...)

a écrit : Un atome ne peut pas perdre de proton (ou de neutron) de son noyau. Sauf dans le cas d'un fission nucléaire.
Un atome peut perdre, comme tu le dis, un ou plusieurs électrons. Vu que les électrons sont négatifs, si un atome perd des électrons, il devient positif. On l'appelle alors un cation.
Mais un atome peut également gagner un ou plusieurs électrons. Il devient alors négatif ou anion.

Pour savoir si un atome cherche à gagner ou à perdre un ou plusieurs électron(s), il faut comprendre que les électrons s'organisent en couche. Sur la première couche, il peut y avoir 2 électrons. Sur la seconde, il peut y en avoir 8. On retrouve d'ailleurs cette structure dans le tableau de MENDELEÏV :
- Sur la première ligne, il y a l'hydrogène avec un seul électron et l'hélium avec deux électrons (lorsqu'ils sont neutres). La première couche étant remplie, on passe à la seconde ligne.
- Sur la seconde ligne, il y a le lithium avec 2 électrons sur la première couche et un seul sur la deuxième couche. Et cela va jusqu'au néon qui a 2 électrons sur sa première couche et 8 sur sa deuxième (qui est ainsi complète).

Un atome va chercher à avoir des couches complètes. Il a deux possibilités :
- Le sodium, par exemple, qui a sa première et deuxième couche complète et un seul électron sur sa troisième, va chercher à s'en débarrasser. Comme il perd un électron, il devient positif : Na+
- Le chlore a également sa première et deuxième couche complète et il ne lui manque qu'un seul électron pour compléter sa troisième couche. Il va donc chercher à obtenir un électron supplémentaire et devient négatif : Cl-
Et c'est pourquoi le sodium et le chlore se combine pour former une molécule de sel (NaCl) car cela leur permet à tous les deux d'obtenir des couches complètes tout en conservant une charge neutre sur l'ensemble de la molécule.

Dans la dernière colonne du tableau de MENDELEÏV, on retrouve tous les atomes qui ont leur dernière couche complète. Ils n'ont besoin, ni de perdre, ni de gagner d'électron. Ils ne cherchent donc pas à s'associer avec d'autres atomes pour former des molécules. C'est pourquoi ils sont extrêmement peut réactifs (hélium, néon, argon, ...)
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Petit complément : la représentation par couche d’électrons est simple et permet de comprendre très bien la structure d’un atome.

Elle est par contre physiquement « fausse ». Les électrons ne se comportent pas du tout comme des planètes autour d’un Soleil. Ils ont des niveaux d’énergie qui font qu’on les classe dans une ou l’autre des couches mais ce ne sont pas réellement des couches à l’image des différents orbites de satellites.
C’est d’ailleurs trompeur car on parle bien d’orbite énergétique pour un électron. Mais en réalité le mouvement des électrons est beaucoup plus « désordonné ». il y a d'ailleurs peu de similitudes entre la mécanique des atomes et la mécanique spatial à part celles que l'Humain aiment bien donner pour se rassurer.

Cela n’enlève rien à l’utilité de cette représentation pour comprendre les mécanismes.

Ah on dirait bien que quelqu’un a regardé la vidéo de Nozman ;)

Un litre de mercure pèse presque 14kg. C'est assez incroyable. On ne s'en rend pas trop compte sur la vidéo, il semblerait que ce soit des bidons de 2L, donc ces bidons doivent peser 28 kg. Un kilo de mercure coûte dans les 600 euros.

a écrit : Un atome ne peut pas perdre de proton (ou de neutron) de son noyau. Sauf dans le cas d'un fission nucléaire.
Un atome peut perdre, comme tu le dis, un ou plusieurs électrons. Vu que les électrons sont négatifs, si un atome perd des électrons, il devient positif. On l'appelle alors un cation.
Mais un atome peut également gagner un ou plusieurs électrons. Il devient alors négatif ou anion.

Pour savoir si un atome cherche à gagner ou à perdre un ou plusieurs électron(s), il faut comprendre que les électrons s'organisent en couche. Sur la première couche, il peut y avoir 2 électrons. Sur la seconde, il peut y en avoir 8. On retrouve d'ailleurs cette structure dans le tableau de MENDELEÏV :
- Sur la première ligne, il y a l'hydrogène avec un seul électron et l'hélium avec deux électrons (lorsqu'ils sont neutres). La première couche étant remplie, on passe à la seconde ligne.
- Sur la seconde ligne, il y a le lithium avec 2 électrons sur la première couche et un seul sur la deuxième couche. Et cela va jusqu'au néon qui a 2 électrons sur sa première couche et 8 sur sa deuxième (qui est ainsi complète).

Un atome va chercher à avoir des couches complètes. Il a deux possibilités :
- Le sodium, par exemple, qui a sa première et deuxième couche complète et un seul électron sur sa troisième, va chercher à s'en débarrasser. Comme il perd un électron, il devient positif : Na+
- Le chlore a également sa première et deuxième couche complète et il ne lui manque qu'un seul électron pour compléter sa troisième couche. Il va donc chercher à obtenir un électron supplémentaire et devient négatif : Cl-
Et c'est pourquoi le sodium et le chlore se combine pour former une molécule de sel (NaCl) car cela leur permet à tous les deux d'obtenir des couches complètes tout en conservant une charge neutre sur l'ensemble de la molécule.

Dans la dernière colonne du tableau de MENDELEÏV, on retrouve tous les atomes qui ont leur dernière couche complète. Ils n'ont besoin, ni de perdre, ni de gagner d'électron. Ils ne cherchent donc pas à s'associer avec d'autres atomes pour former des molécules. C'est pourquoi ils sont extrêmement peut réactifs (hélium, néon, argon, ...)
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Crotte, je retourne réviser alors ^^ merci!

On n’a plus qu’à se baigner dans des piscines de mercure avec des bouées en fonte…