Certaines gousses de vanille ont un dispositif antivol

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Les gousses de vanille ont parfois de petits trous boursouflés, qui peuvent être pris pour des piqures d'insectes. Elles ont en réalité une origine humaine : les cultivateurs marquent les gousses encore vertes de leurs initiales, à l'aide d'une aiguille, afin d'éviter les vols.


Commentaires préférés (3)

C'est en 2013 et 2014, que tant l'Union Européenne et les États-Unis, ont approuvé le marquage par laser, des fruits.
Cette technique, développée et mise au point par une Société de Valencia (Espagne) appelée Laserfood, permet d'appliquer directement sur la peau de melons, grenades, mangues, bananes, etc...Le Logo du producteur ou de l'entreprise qui l'emballe, au lieu de l'étiquette faite de papier ou de plastique. Le but initial était d'ailleurs de ne plus utiliser de plastique, cette matière qui nous envahit..

Les avantages n'en restent pas là, car le marquage par laser, permet de forme casi certaine, de certifier la provenance du fruit, surtout si une production possède une AOP.
De même, pour un amateur de produits Bio, ceci permet d'éviter une fraude.

Malheureusement, le marquage par laser ne s'effectue pas sur la récolte "sur pied", mais postérieurement à sa collecte. Cette technique ne peut donc pas être un instrument pouvant servir à lutter contre le vol dans les vergers.
------------+-------------
Des fruits aux coquillages....
Le vol d'huîtres, en périodes de forte demande, est un fait occasionnellement constaté.
La parade est en fait assez simple: insérer dans quelques coquilles d'huîtres mortes, un message promettant une récompense financière, si cette huître arrive jusqu'à votre table... Elle proviendra d'un lot volé sur le site d'élevage de l'ostréiculteur.

a écrit : Ha la Vanille ! Une de mes plus belle "culbute". Entre l'achat au kilo au producteur malgache et la revente au détail en France, on avait fait pas loin de x10.
Et ça restait hyper avantageux pour les acheteurs, très désireux d'exprimer leur reconnaissance en partageant leurs préparations de gâ
teaux ou rhum arrangés :)
Et quel parfum !!

Mais c'était avant que les prix soient eux même multipliés par 10, ça serait peut être un peu plus compliqué maintenant, mais encore plus rentable.
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Pour rappel:

L'importation de végétaux et produits végétaux dans les bagages des voyageurs en Union Européenne depuis les pays tiers (sauf depuis Andorre, Monaco et la Suisse) est soumise à la présentation obligatoire d'un certificat phytosanitaire et ce, dès le premier spécimen de végétaux.

Les végétaux non accompagnés d'un certificat phytosanitaire valide, et les végétaux destinés à la plantation non accompagnés d'un certificat phytosanitaire et d'un DESCE-PP, seront saisis et détruits.

Les seuls végétaux exemptés de tout contrôle et de tout document, et qui peuvent donc être importés librement dans les bagages et sans limite de quantité, sont les suivants : bananes, noix de coco, durian, dattes, ananas.

PS Je ne dis pas ça pour toi, je sais bien que tu avais un certificat phytosanitaire et que tu t'es acquitté des droits de douane en introduisant ta vanille sur le territoire de l'Union.
Je dis pour ceux qui savent pas ;)

a écrit : Intéressant, qui délivre ce certificat ? Le pays de provenance ou d’arrivée ? (J’imagine arrivée). Non, à l'arrivée cela ne sert plus à rien.
C'est dans le pays de départ qu'il faut gérer ça. En France, l'autorité qui délivre ces certificats, c'est la DREAL, la Direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement.
Le but étant de démontrer que tu ne rapportes aucune bactérie ou virus avec toi et que les denrées que tu importes peuvent être consommés sans danger.

Et encore en France, on est light, on détruit et on te file une petite amende dans le pire des cas. Mais dans des pays à l'écosystème fragile, tu peux te faire défoncer.
Emmène un morceau de fromage, ou pire, de charcuterie en Australie sans le déclarer. Si tu te fais contrôler, tu es parti pour un tour de grand huit (garde à vue, amende extrêmement salé voire tribunal...).

Pareil si tu viens avec un animal vivant. J'ai un ami, tahitien de son état (donc français), qui est maître de chien. Quand il vient en métropole pour des raisons professionnelles, bien sûr il a un certificat vétérinaire (moins de 5 jours avant le départ de mémoire) mais en plus du certificat, au retour, son chien doit être placé en quarantaine avant de pouvoir mettre une patte sur l'île.


Tous les commentaires (19)

Ha la Vanille ! Une de mes plus belle "culbute". Entre l'achat au kilo au producteur malgache et la revente au détail en France, on avait fait pas loin de x10.
Et ça restait hyper avantageux pour les acheteurs, très désireux d'exprimer leur reconnaissance en partageant leurs préparations de gâteaux ou rhum arrangés :)
Et quel parfum !!

Mais c'était avant que les prix soient eux même multipliés par 10, ça serait peut être un peu plus compliqué maintenant, mais encore plus rentable.

C'est en 2013 et 2014, que tant l'Union Européenne et les États-Unis, ont approuvé le marquage par laser, des fruits.
Cette technique, développée et mise au point par une Société de Valencia (Espagne) appelée Laserfood, permet d'appliquer directement sur la peau de melons, grenades, mangues, bananes, etc...Le Logo du producteur ou de l'entreprise qui l'emballe, au lieu de l'étiquette faite de papier ou de plastique. Le but initial était d'ailleurs de ne plus utiliser de plastique, cette matière qui nous envahit..

Les avantages n'en restent pas là, car le marquage par laser, permet de forme casi certaine, de certifier la provenance du fruit, surtout si une production possède une AOP.
De même, pour un amateur de produits Bio, ceci permet d'éviter une fraude.

Malheureusement, le marquage par laser ne s'effectue pas sur la récolte "sur pied", mais postérieurement à sa collecte. Cette technique ne peut donc pas être un instrument pouvant servir à lutter contre le vol dans les vergers.
------------+-------------
Des fruits aux coquillages....
Le vol d'huîtres, en périodes de forte demande, est un fait occasionnellement constaté.
La parade est en fait assez simple: insérer dans quelques coquilles d'huîtres mortes, un message promettant une récompense financière, si cette huître arrive jusqu'à votre table... Elle proviendra d'un lot volé sur le site d'élevage de l'ostréiculteur.

a écrit : C'est en 2013 et 2014, que tant l'Union Européenne et les États-Unis, ont approuvé le marquage par laser, des fruits.
Cette technique, développée et mise au point par une Société de Valencia (Espagne) appelée Laserfood, permet d'appliquer directement sur la peau de melons, grenades, mangues, banan
es, etc...Le Logo du producteur ou de l'entreprise qui l'emballe, au lieu de l'étiquette faite de papier ou de plastique. Le but initial était d'ailleurs de ne plus utiliser de plastique, cette matière qui nous envahit..

Les avantages n'en restent pas là, car le marquage par laser, permet de forme casi certaine, de certifier la provenance du fruit, surtout si une production possède une AOP.
De même, pour un amateur de produits Bio, ceci permet d'éviter une fraude.

Malheureusement, le marquage par laser ne s'effectue pas sur la récolte "sur pied", mais postérieurement à sa collecte. Cette technique ne peut donc pas être un instrument pouvant servir à lutter contre le vol dans les vergers.
------------+-------------
Des fruits aux coquillages....
Le vol d'huîtres, en périodes de forte demande, est un fait occasionnellement constaté.
La parade est en fait assez simple: insérer dans quelques coquilles d'huîtres mortes, un message promettant une récompense financière, si cette huître arrive jusqu'à votre table... Elle proviendra d'un lot volé sur le site d'élevage de l'ostréiculteur.
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malin l'ostreoculteur !

a écrit : Ha la Vanille ! Une de mes plus belle "culbute". Entre l'achat au kilo au producteur malgache et la revente au détail en France, on avait fait pas loin de x10.
Et ça restait hyper avantageux pour les acheteurs, très désireux d'exprimer leur reconnaissance en partageant leurs préparations de gâ
teaux ou rhum arrangés :)
Et quel parfum !!

Mais c'était avant que les prix soient eux même multipliés par 10, ça serait peut être un peu plus compliqué maintenant, mais encore plus rentable.
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Pour rappel:

L'importation de végétaux et produits végétaux dans les bagages des voyageurs en Union Européenne depuis les pays tiers (sauf depuis Andorre, Monaco et la Suisse) est soumise à la présentation obligatoire d'un certificat phytosanitaire et ce, dès le premier spécimen de végétaux.

Les végétaux non accompagnés d'un certificat phytosanitaire valide, et les végétaux destinés à la plantation non accompagnés d'un certificat phytosanitaire et d'un DESCE-PP, seront saisis et détruits.

Les seuls végétaux exemptés de tout contrôle et de tout document, et qui peuvent donc être importés librement dans les bagages et sans limite de quantité, sont les suivants : bananes, noix de coco, durian, dattes, ananas.

PS Je ne dis pas ça pour toi, je sais bien que tu avais un certificat phytosanitaire et que tu t'es acquitté des droits de douane en introduisant ta vanille sur le territoire de l'Union.
Je dis pour ceux qui savent pas ;)

a écrit : Pour rappel:

L'importation de végétaux et produits végétaux dans les bagages des voyageurs en Union Européenne depuis les pays tiers (sauf depuis Andorre, Monaco et la Suisse) est soumise à la présentation obligatoire d'un certificat phytosanitaire et ce, dès le premier spécimen de végétaux. />
Les végétaux non accompagnés d'un certificat phytosanitaire valide, et les végétaux destinés à la plantation non accompagnés d'un certificat phytosanitaire et d'un DESCE-PP, seront saisis et détruits.

Les seuls végétaux exemptés de tout contrôle et de tout document, et qui peuvent donc être importés librement dans les bagages et sans limite de quantité, sont les suivants : bananes, noix de coco, durian, dattes, ananas.

PS Je ne dis pas ça pour toi, je sais bien que tu avais un certificat phytosanitaire et que tu t'es acquitté des droits de douane en introduisant ta vanille sur le territoire de l'Union.
Je dis pour ceux qui savent pas ;)
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Intéressant, qui délivre ce certificat ? Le pays de provenance ou d’arrivée ? (J’imagine arrivée).

a écrit : Intéressant, qui délivre ce certificat ? Le pays de provenance ou d’arrivée ? (J’imagine arrivée). Non, à l'arrivée cela ne sert plus à rien.
C'est dans le pays de départ qu'il faut gérer ça. En France, l'autorité qui délivre ces certificats, c'est la DREAL, la Direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement.
Le but étant de démontrer que tu ne rapportes aucune bactérie ou virus avec toi et que les denrées que tu importes peuvent être consommés sans danger.

Et encore en France, on est light, on détruit et on te file une petite amende dans le pire des cas. Mais dans des pays à l'écosystème fragile, tu peux te faire défoncer.
Emmène un morceau de fromage, ou pire, de charcuterie en Australie sans le déclarer. Si tu te fais contrôler, tu es parti pour un tour de grand huit (garde à vue, amende extrêmement salé voire tribunal...).

Pareil si tu viens avec un animal vivant. J'ai un ami, tahitien de son état (donc français), qui est maître de chien. Quand il vient en métropole pour des raisons professionnelles, bien sûr il a un certificat vétérinaire (moins de 5 jours avant le départ de mémoire) mais en plus du certificat, au retour, son chien doit être placé en quarantaine avant de pouvoir mettre une patte sur l'île.

a écrit : Non, à l'arrivée cela ne sert plus à rien.
C'est dans le pays de départ qu'il faut gérer ça. En France, l'autorité qui délivre ces certificats, c'est la DREAL, la Direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement.
Le but étant de démontrer que tu ne
rapportes aucune bactérie ou virus avec toi et que les denrées que tu importes peuvent être consommés sans danger.

Et encore en France, on est light, on détruit et on te file une petite amende dans le pire des cas. Mais dans des pays à l'écosystème fragile, tu peux te faire défoncer.
Emmène un morceau de fromage, ou pire, de charcuterie en Australie sans le déclarer. Si tu te fais contrôler, tu es parti pour un tour de grand huit (garde à vue, amende extrêmement salé voire tribunal...).

Pareil si tu viens avec un animal vivant. J'ai un ami, tahitien de son état (donc français), qui est maître de chien. Quand il vient en métropole pour des raisons professionnelles, bien sûr il a un certificat vétérinaire (moins de 5 jours avant le départ de mémoire) mais en plus du certificat, au retour, son chien doit être placé en quarantaine avant de pouvoir mettre une patte sur l'île.
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Merci !
Nul n’est censé ignorer la loi mais j’imagine que dans ces situations beaucoup l’ignorent.

C'est joli comme le poicoon d'un bijou en métal précieux...

a écrit : Merci !
Nul n’est censé ignorer la loi mais j’imagine que dans ces situations beaucoup l’ignorent.
Il faut mettre Air France au courant alors, je suis revenu de Kinshasa et dans le bureau de la compagnie (ils font les fouilles au centre ville pour faciliter les choses : trajet jusqu'à l'aéroport, éviter la cohue en arrivant là bas, les bakchich à payer,... ) ils ont ouvert une valise devant moi, elle était complètement fourrée de plantes, ils ont même eu du mal à la refermer tellement ça débordait. Pourtant la valise a été filmé et est parti pour l'aéroport.

a écrit : Ha la Vanille ! Une de mes plus belle "culbute". Entre l'achat au kilo au producteur malgache et la revente au détail en France, on avait fait pas loin de x10.
Et ça restait hyper avantageux pour les acheteurs, très désireux d'exprimer leur reconnaissance en partageant leurs préparations de gâ
teaux ou rhum arrangés :)
Et quel parfum !!

Mais c'était avant que les prix soient eux même multipliés par 10, ça serait peut être un peu plus compliqué maintenant, mais encore plus rentable.
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Impressionnant de franchise !
Rares sont ceux qui affichent sans complexe les énormes bénéfices effectués en payant à minima les producteurs. Paysans qui vivent dans la misère, dans des conditions que les nôtres n'auraient pas accepté, ici, au siècle dernier.
Au fait, on dit franchise, ou cynisme ?

Ca s’appelle le commerce.
Et qui te dit que le producteur a été payé à minima ?
Voyant arriver un touriste européen il est fort à parier qu’il lui a aussi fait payer 4x le prix même si ca reste peut être dérisoire par rapport au niveau des prix français.
Il a surement gagner + en tout cas qu’avec son grossiste habituel qui de toute façon va aussi vendre ça 10x plus cher.

a écrit : Merci !
Nul n’est censé ignorer la loi mais j’imagine que dans ces situations beaucoup l’ignorent.
Il y a quelques années j’ai fait le «  pari » de ramener du Sénégal un bébé Baobab acheté au jardinier de l’hôtel, sur place le douanier avait le sourire et à l’arrivée en France je suis passé avec à la main le petit Baobab dans une bouteille en plastique partiellement découpée , effectivement sans savoir quel était le risque depuis il vit tranquille dans une véranda

a écrit : Impressionnant de franchise !
Rares sont ceux qui affichent sans complexe les énormes bénéfices effectués en payant à minima les producteurs. Paysans qui vivent dans la misère, dans des conditions que les nôtres n'auraient pas accepté, ici, au siècle dernier.
Au fait, on dit franchise, ou cynisme ?
Donc en fait comme l'a bien expliqué BenBou, le producteur est content de se faire un gros billet sur mon dos, moi je le suis d'en faire un sur le sien, et l'acheteur est heureux d'avoir un super produit à très bas prix. Je ne pense pas qu'on a mis les multinationales du commerce et de la distribution en danger et créé du chômage en se passant de leur intermédiaire.
Tout le monde est content à part les moralisateurs pour qui l'argent c'est le mal, qui vivent dans une société totalement mercantile mais tant qu'on en parle pas...tant que c'est caché derrière la belle communication des labels...
Si tu veux me faire des leçons de morale évite de le faire à propos de situations et de détails dont tu ignores tout.

a écrit : Il faut mettre Air France au courant alors, je suis revenu de Kinshasa et dans le bureau de la compagnie (ils font les fouilles au centre ville pour faciliter les choses : trajet jusqu'à l'aéroport, éviter la cohue en arrivant là bas, les bakchich à payer,... ) ils ont ouvert une valise devant moi, elle était complètement fourrée de plantes, ils ont même eu du mal à la refermer tellement ça débordait. Pourtant la valise a été filmé et est parti pour l'aéroport. Afficher tout Peut-être était-il malgré tout en règle, documents à l'appui :/

a écrit : C'est en 2013 et 2014, que tant l'Union Européenne et les États-Unis, ont approuvé le marquage par laser, des fruits.
Cette technique, développée et mise au point par une Société de Valencia (Espagne) appelée Laserfood, permet d'appliquer directement sur la peau de melons, grenades, mangues, banan
es, etc...Le Logo du producteur ou de l'entreprise qui l'emballe, au lieu de l'étiquette faite de papier ou de plastique. Le but initial était d'ailleurs de ne plus utiliser de plastique, cette matière qui nous envahit..

Les avantages n'en restent pas là, car le marquage par laser, permet de forme casi certaine, de certifier la provenance du fruit, surtout si une production possède une AOP.
De même, pour un amateur de produits Bio, ceci permet d'éviter une fraude.

Malheureusement, le marquage par laser ne s'effectue pas sur la récolte "sur pied", mais postérieurement à sa collecte. Cette technique ne peut donc pas être un instrument pouvant servir à lutter contre le vol dans les vergers.
------------+-------------
Des fruits aux coquillages....
Le vol d'huîtres, en périodes de forte demande, est un fait occasionnellement constaté.
La parade est en fait assez simple: insérer dans quelques coquilles d'huîtres mortes, un message promettant une récompense financière, si cette huître arrive jusqu'à votre table... Elle proviendra d'un lot volé sur le site d'élevage de l'ostréiculteur.
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Concernant le marquage laser, 10 ans d'existence n'ont pas effacer ses 3 défauts majeurs :
- ca reste une technique très chère. Dans cedomaine agricole où les marges sont faibles, c'est difficile à amortir
- seuls quelques fruits ou légumes à la peu épaisse peuvent y resister. L'épiderme d'une fruit reste sa meilleure protection et le laser réduit souvent la durée de vie du produit
- C'est pas assez précis. Ca ne marche pour un logo mais pas beaucoup plus. Pour que cette technique se développe, il faudrait à minima qu'il soit capable de gérer un code-barre ou un QR code, indispensable dans notre société où la traçabilité est primordiale.

En synthèse, il y a de fortes chances que le marquage laser ne soit possible pour la vanille.


Pour les huitres, le système est assez simple mais pertinent. Belle idée.
Il existe aussi des huitres anti-vol, équipée d'une puce électronique qui envoie une alerte quand elles sont volées. Sinon, il reste la surveillance de nuit et le plombage de fesses des voleurs... je suis sûr que cette technique est approuvée par Nico :)

a écrit : Concernant le marquage laser, 10 ans d'existence n'ont pas effacer ses 3 défauts majeurs :
- ca reste une technique très chère. Dans cedomaine agricole où les marges sont faibles, c'est difficile à amortir
- seuls quelques fruits ou légumes à la peu épaisse peuvent y resister. L'épider
me d'une fruit reste sa meilleure protection et le laser réduit souvent la durée de vie du produit
- C'est pas assez précis. Ca ne marche pour un logo mais pas beaucoup plus. Pour que cette technique se développe, il faudrait à minima qu'il soit capable de gérer un code-barre ou un QR code, indispensable dans notre société où la traçabilité est primordiale.

En synthèse, il y a de fortes chances que le marquage laser ne soit possible pour la vanille.


Pour les huitres, le système est assez simple mais pertinent. Belle idée.
Il existe aussi des huitres anti-vol, équipée d'une puce électronique qui envoie une alerte quand elles sont volées. Sinon, il reste la surveillance de nuit et le plombage de fesses des voleurs... je suis sûr que cette technique est approuvée par Nico :)
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Commentaire tout à fait pertinent, où tu as développé tous les points négatifs relatifs à cette méthode.

@Nico avait également songé piéger quelques huîtres d'un puissant explosif sensible au mouvement, à mode de dissuasion...
Il n'avait pas tenu compte de celui des marées et de la houle...
Suite à un essai durant une marée d'équinoxe ne s'ayant pas montrée concluant (177 tonnes d'huîtres devenues écailles de calcaire, tout de même...) il a choisi d'émigrer dans les contreforts Alpins.
L'ostréiculteur lui réclame encore le montant de la facture. :)

a écrit : Commentaire tout à fait pertinent, où tu as développé tous les points négatifs relatifs à cette méthode.

@Nico avait également songé piéger quelques huîtres d'un puissant explosif sensible au mouvement, à mode de dissuasion...
Il n'avait pas tenu compte de celui des marées et de la houl
e...
Suite à un essai durant une marée d'équinoxe ne s'ayant pas montrée concluant (177 tonnes d'huîtres devenues écailles de calcaire, tout de même...) il a choisi d'émigrer dans les contreforts Alpins.
L'ostréiculteur lui réclame encore le montant de la facture. :)
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merci, ca fait du bien de rire au boulot...

a écrit : merci, ca fait du bien de rire au boulot... Ça fait aussi du bien de rire en vacances ;)

a écrit : Commentaire tout à fait pertinent, où tu as développé tous les points négatifs relatifs à cette méthode.

@Nico avait également songé piéger quelques huîtres d'un puissant explosif sensible au mouvement, à mode de dissuasion...
Il n'avait pas tenu compte de celui des marées et de la houl
e...
Suite à un essai durant une marée d'équinoxe ne s'ayant pas montrée concluant (177 tonnes d'huîtres devenues écailles de calcaire, tout de même...) il a choisi d'émigrer dans les contreforts Alpins.
L'ostréiculteur lui réclame encore le montant de la facture. :)
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Merci d'avoir menti sur la localisation de ma planque "sympa" :=) je te met quelques Banon de coté