Les femmes longtemps exclues des essais cliniques

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Pendant longtemps, les femmes ont été exclues des essais cliniques dans le développement des médicaments. Aux Etats-Unis, leur inclusion est obligatoire depuis 1993 seulement et elles sont encore largement sous représentées dans le monde. Ceci entraine parfois des effets dramatiques : certains effets secondaires graves ont été complètement ignorés (comme ceux de la thalidomide chez la femme enceinte).

La plupart des dosages ont été calculés pour des hommes, ce qui expose les femmes à davantage d'effets secondaires.


Tous les commentaires (47)

a écrit : La thèse il n’y a qu’une race est une thèse idéologique qui n’a aucun sens.
Il y a une espèce humaine unique : Homo sapiens , possédant plusieurs groupes ethniques, que l’on peut détecter génétiquement plus ou moins facilement ( les hommes corses ont un haplotype particulier sur le chromosome Y que l’on retrouve
en Sardaigne par exemple)
Le mot race permet de catégoriser des critères extérieur ( cf chien, chats ,etc…)
Il est évident qu’avant la génétique moléculaire on classait avec ce qu’on pouvait, cela n’excuse pas les abus , mais arrêtons l’idéologie bien-pensante sous prétexte de science.
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C'est le racisme qui est une idéologie politique fondée sur l'idée qu'on peut subdiviser et hiérarchiser l'espèce humaine en sous-groupes basé sur des critères esthétiques et physiques.

S'il existe des races d'animaux domestiques c'est parce qu'on a sélectionné certains individus qu'on a forcé a se reproduire exclusivement avec d'autres individus similaires. Ça a amené à des disparités génétiques conséquentes entre races. Ce qui fait qu'aujourd'hui on peut aisément classer les individus par groupe à l'aide d'un test ADN.

Chez l'humain, malgré l'isolement géographique durable des différents groupes sur terre on ne retrouve pas de différence génétique suffisamment marquée pour attribuer avec certitude l'ADN d'un individu à un groupe, ce qui rend caduque et désuète la notion de races.

a écrit : ce n'est pas en tant que femmes qu'elles sont exclues mais parce qu'elles peuvent être enceintes, donc personnes "vulnérables" sur une certaine période de leur vie. A ma connaissance, à la base elles ont été exclus parce que leurs variations hormonales marquées compliquent l'analyse des problèmes. L'homme a été pris en référence parce que plus "stable". Sauf que l'homme est aussi pourvu d'hormones spécifiques qui font que ce qui fonctionne pour lui ne fonctionnera pas nécessairement pour une femme.

a écrit : La thèse il n’y a qu’une race est une thèse idéologique qui n’a aucun sens.
Il y a une espèce humaine unique : Homo sapiens , possédant plusieurs groupes ethniques, que l’on peut détecter génétiquement plus ou moins facilement ( les hommes corses ont un haplotype particulier sur le chromosome Y que l’on retrouve
en Sardaigne par exemple)
Le mot race permet de catégoriser des critères extérieur ( cf chien, chats ,etc…)
Il est évident qu’avant la génétique moléculaire on classait avec ce qu’on pouvait, cela n’excuse pas les abus , mais arrêtons l’idéologie bien-pensante sous prétexte de science.
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C'est pas une idéologie bien pensante, c'est un fait.
Soit un est un race, soit on est plus de 7 milliards de races, parce que si tu prends ton Corse que tu le reproduis avec une Basque, tu as une nouvelle race qui apparaît, un Corso-Basque (pourtant physiquement ils ne sont pas franchement differenciable)
Si ce Corso-Basque a des enfants avec une Corse, sa race redevient Corse, reste métissé, ou est ce que tu comptes le pourcentage de gènes de chaque race pour le definir?

Et pour ce faire, au delà du visuel, ils faut un test scientifique pour savoir de quelle race il est, donc là on est d'accord qu'il faut faire appel à la science.

Donc soit tu fais appel à la science pour définir les races et tu te plantes, soit tu fais appel à des idéologies, soit raciste (groupement et sous groupement des êtres humains par caractères physiques, ce qui est très compliqué avec les métissages, par exemple un enfant mulatre peut être blond aux yeux bleus avec un frère très foncé, yeux bruns et cheveux crepus), soit un peu plus dans l'air du temps et tu remarques qu'en 2023, les gens voyagent, cherchent l'amour ailleurs que dans leurs villages et mixent les gènes rendant l'être humain plus fort et plus résistant.

Alors maintenant ça semble encore, au pire choquer ou au mieux étonner de voir des couples mixtes mais les temps changent.
C'est aussi dépassé de parler de races aujourd'hui que de ricaner en voyant une femme à un poste important.

Alors si on compte le nombre de gens mis de côté, persécutés ou morts à cause de cette histoire de races, on a pas fini.

a écrit : Voilà un des rares domaines où la parité homme/femme devrait être obligatoire.
Pour les essais cliniques, aucun facteurs ne devraient être négligés (sexe, âge, race, localisation, pathologie IMC, etc..)
Alors puisque tout a été dit ou presque sur le fond, voici une petite anecdote sur la forme (ceci n’est pas une critique! Uniquement pour apprendre). « Aucun » est certes invariable, en conséquence tout ce qu’on met ensuite doit être au singulier. Ici : « Aucun facteuR ne devraiT être négligÉ », et ce même s’il y a mille facteurs ; le sens reste le même.

a écrit : Alors puisque tout a été dit ou presque sur le fond, voici une petite anecdote sur la forme (ceci n’est pas une critique! Uniquement pour apprendre). « Aucun » est certes invariable, en conséquence tout ce qu’on met ensuite doit être au singulier. Ici : « Aucun facteuR ne devraiT être négligÉ », et ce même s’il y a mille facteurs ; le sens reste le même. Afficher tout C'est surtout qu'il y en a aucun.. de facteur.

a écrit : Alors puisque tout a été dit ou presque sur le fond, voici une petite anecdote sur la forme (ceci n’est pas une critique! Uniquement pour apprendre). « Aucun » est certes invariable, en conséquence tout ce qu’on met ensuite doit être au singulier. Ici : « Aucun facteuR ne devraiT être négligÉ », et ce même s’il y a mille facteurs ; le sens reste le même. Afficher tout "Aucun" n'est certainement pas invariable et peut même être au pluriel.

Tu dois écrire : "aucune faute" ou "aucuns frais" ou "je n'ai pris aucunes vacances cette année".

a écrit : " Un des rares domaines' ???? Vu ce que vous dites je pense que vous faites partie des personnes qui pensent qu'on devrait retrouver la parité absolument partout.
Personnellement je pense que ça n'est pas une bonne idée.
Il faut bien faire la différence entre la parité et l'équité.
Ce qui est important pour moi, c'est que quand quelqu'un postule pour un poste (par exemple), le sexe de cette personne n'ait aucune influence sur la façon donc il est traité.
Vouloir l'équité à tout prix revient selon moi à fausser le jeu au détriment d'une des deux parties.
Si un travail est physique par exemple, ça ne serait pas juste d'exclure d'office les femmes (en général c'est plutôt que les femmes postulent nettement moins à ce genre de poste, mais passons). Ce qui est juste, c'est d'avoir des critères biens définis, qui soient les mêmes pour les hommes et pour les femmes. Si tu as les capacités nécessaires, que tu sois un homme ou une femme ne change rien. Si tu ne les as pas, c'est pareil. Mais forcément que naturellement, de part les différences physiques pour cet exemple mais aussi mentales dans tout un tas d'autres cas, la parité ne se retrouve pas, de façon totalement naturelle, que ça soit dans un sens ou dans l'autre.

Dans le cas des essais cliniques, c'est exactement pareil. Les femmes ont moins tendance à s'exposer à ce genre de risques, on retrouve donc naturellement une majorité d'hommes (même si en effet visiblement dans le passé les femmes étaient exclues, mais ça n'est plus le cas aujourd'hui donc c'est hors de propos).
En revanche, ici on a un réel intérêt (autre qu'idéologique) de vouloir une parité, quitte à ce qu'elle soit poussée artificiellement.

Donc oui, je suis d'accord avec la personne qui dit que c'est un des rares domaines où la parité est souhaitable, dans le sens où on la recherche particulièrement car elle est importante pour atteindre le but recherché.
Je suis pour que tout soit équitable et sans discrimination, après ça qu'il y ait autant d'hommes que de femmes dans tel ou tel domaine, franchement je m'en moque totalement, tant que ça n'est pas à cause de discrimination.

Sans ça on se retrouve à faire de la discrimination positive, en donnant un poste à une personne pour remplir des quotas quitte à délaisser une personne plus qualifiée, et ça pour le coup je trouve ça totalement injuste et hypocrite.

Mais ça n'est que mon avis.

En considérant que la Thaliodomide était utilisé en parti pour son anction antibiotique, elle remplissait son rôle à merveille du coup !

a écrit : Vu ce que vous dites je pense que vous faites partie des personnes qui pensent qu'on devrait retrouver la parité absolument partout.
Personnellement je pense que ça n'est pas une bonne idée.
Il faut bien faire la différence entre la parité et l'équité.
Ce qui est important pour moi, c&#
039;est que quand quelqu'un postule pour un poste (par exemple), le sexe de cette personne n'ait aucune influence sur la façon donc il est traité.
Vouloir l'équité à tout prix revient selon moi à fausser le jeu au détriment d'une des deux parties.
Si un travail est physique par exemple, ça ne serait pas juste d'exclure d'office les femmes (en général c'est plutôt que les femmes postulent nettement moins à ce genre de poste, mais passons). Ce qui est juste, c'est d'avoir des critères biens définis, qui soient les mêmes pour les hommes et pour les femmes. Si tu as les capacités nécessaires, que tu sois un homme ou une femme ne change rien. Si tu ne les as pas, c'est pareil. Mais forcément que naturellement, de part les différences physiques pour cet exemple mais aussi mentales dans tout un tas d'autres cas, la parité ne se retrouve pas, de façon totalement naturelle, que ça soit dans un sens ou dans l'autre.

Dans le cas des essais cliniques, c'est exactement pareil. Les femmes ont moins tendance à s'exposer à ce genre de risques, on retrouve donc naturellement une majorité d'hommes (même si en effet visiblement dans le passé les femmes étaient exclues, mais ça n'est plus le cas aujourd'hui donc c'est hors de propos).
En revanche, ici on a un réel intérêt (autre qu'idéologique) de vouloir une parité, quitte à ce qu'elle soit poussée artificiellement.

Donc oui, je suis d'accord avec la personne qui dit que c'est un des rares domaines où la parité est souhaitable, dans le sens où on la recherche particulièrement car elle est importante pour atteindre le but recherché.
Je suis pour que tout soit équitable et sans discrimination, après ça qu'il y ait autant d'hommes que de femmes dans tel ou tel domaine, franchement je m'en moque totalement, tant que ça n'est pas à cause de discrimination.

Sans ça on se retrouve à faire de la discrimination positive, en donnant un poste à une personne pour remplir des quotas quitte à délaisser une personne plus qualifiée, et ça pour le coup je trouve ça totalement injuste et hypocrite.

Mais ça n'est que mon avis.
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J’ai déjà vu de la discrimination positive pour des postes de cadre supérieur mais je n’en ai jamais vu pour des postes de maçon ou d’éboueur. C’est vraiment étrange.

Blague à part, je suis d’accord avec vous.

Un autre domaine qui mérite la parité obligatoire c’est la représentation politique mais c’est déjà inscrit dans la loi.
Pour finir, n’oublions pas non plus les tests de sécurité type crashtest qui mériterait également plus d’études avec des mannequins femmes et enfants. Mais c’est également en très bonne évolution.

a écrit : Il y a une exception à ce que dit l'anecdote : le cancer du sein.
En effet, les hommes peuvent être touchés par ce cancer même si c'est assez rare.
Et il se trouve qu'il n'y a quasiment pas d'étude avec des hommes ce qui oblige à avoir les traitements et les doses tels qu'étudiés pour les femmes.
Des exceptions, y'en a un paquet. J'avais publié une anecdote qui illustrait le manque de femmes dans les essais cliniques. C'est principalement dû au manque de volontaires (il semblerait que les hommes sont bien plus enclins à faire des trucs dangereux...). Cette carence est telle qu'un labo a testé sur une population essentiellement masculine du... "viagra" pour femmes ! (23 hommes, 2 femmes...)

mobile.secouchermoinsbete.fr/73911-les-essais-de-medicaments-sont-majoritairement-realises-sur-des-hommes?page=4

a écrit : " Un des rares domaines' ???? Moi, du moment qu les femmes ne s’avisent pas de devenir médecins ou de conduire des voitures, je ne me mêle pas de leurs affaires.

a écrit : C'est pas une idéologie bien pensante, c'est un fait.
Soit un est un race, soit on est plus de 7 milliards de races, parce que si tu prends ton Corse que tu le reproduis avec une Basque, tu as une nouvelle race qui apparaît, un Corso-Basque (pourtant physiquement ils ne sont pas franchement differenciab
le)
Si ce Corso-Basque a des enfants avec une Corse, sa race redevient Corse, reste métissé, ou est ce que tu comptes le pourcentage de gènes de chaque race pour le definir?

Et pour ce faire, au delà du visuel, ils faut un test scientifique pour savoir de quelle race il est, donc là on est d'accord qu'il faut faire appel à la science.

Donc soit tu fais appel à la science pour définir les races et tu te plantes, soit tu fais appel à des idéologies, soit raciste (groupement et sous groupement des êtres humains par caractères physiques, ce qui est très compliqué avec les métissages, par exemple un enfant mulatre peut être blond aux yeux bleus avec un frère très foncé, yeux bruns et cheveux crepus), soit un peu plus dans l'air du temps et tu remarques qu'en 2023, les gens voyagent, cherchent l'amour ailleurs que dans leurs villages et mixent les gènes rendant l'être humain plus fort et plus résistant.

Alors maintenant ça semble encore, au pire choquer ou au mieux étonner de voir des couples mixtes mais les temps changent.
C'est aussi dépassé de parler de races aujourd'hui que de ricaner en voyant une femme à un poste important.

Alors si on compte le nombre de gens mis de côté, persécutés ou morts à cause de cette histoire de races, on a pas fini.
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Non, non il a parfaitement raison. Nous sommes une seule et même espèce. Point.

Parler de race c'est comme parler de cultivars ou de variété de patate. C'est la même espèce, mais séparé en différents groupes distincts selon des critères subjectifs (généralement, la couleur de peau, ou le fait qu'elles aient la chair tendre ou ferme, pour les patates). Les dit groupes étant une création humaine, puisque biologiquement, c'est toujours la même espèce, malgré des différences de phénotype.

Et le racisme c'est considérer que la bintje est inférieure à la Charlotte, ce qui n'est pas très sympa si on préfère les frites à la purée.

a écrit : Non, non il a parfaitement raison. Nous sommes une seule et même espèce. Point.

Parler de race c'est comme parler de cultivars ou de variété de patate. C'est la même espèce, mais séparé en différents groupes distincts selon des critères subjectifs (généralement, la couleur de peau, ou le fait qu&
#039;elles aient la chair tendre ou ferme, pour les patates). Les dit groupes étant une création humaine, puisque biologiquement, c'est toujours la même espèce, malgré des différences de phénotype.

Et le racisme c'est considérer que la bintje est inférieure à la Charlotte, ce qui n'est pas très sympa si on préfère les frites à la purée.
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J'ai essayé d'aborder ce genre de discussion sur un autre site soit disant ouvert d'esprit, j'ai été viré.
Pas bloqué, viré! ! Annulé, effacé.


Pas de SCMB je précise, ici on est prévenu avant de se prendre un coup de pied aux fesses, cela dit, mon chien est de race : braque-labrador d'après le véto
un bâtard, quoi ^^

Et moi je suis méditerranéen... un vrai merdier! :)

a écrit : J'ai essayé d'aborder ce genre de discussion sur un autre site soit disant ouvert d'esprit, j'ai été viré.
Pas bloqué, viré! ! Annulé, effacé.


Pas de SCMB je précise, ici on est prévenu avant de se prendre un coup de pied aux fesses, cela dit, mon chien est de race : braqu
e-labrador d'après le véto
un bâtard, quoi ^^

Et moi je suis méditerranéen... un vrai merdier! :)
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Pour quelqu'un qui trouve les chiens abrutis au regard vide... ;)

a écrit : Pour quelqu'un qui trouve les chiens abrutis au regard vide... ;) Commentaire non constructif, désolé (je parle pour moi)

a écrit : C’est exactement le même problème avec les enfants. On ne peut pas faire de tests cliniques sur les enfants donc on les considère comme des mini adultes pour les médicaments. On se retrouve donc avec une posologie qui utilise une fonction d’équivalence relative au poids de l’enfant. Et même si cela fonctionne plus ou moins bien, cela peut aussi avoir des conséquences car les organes ne fonctionnent pas avec la même efficacité ou ne sont pas toujours complètement développés. Afficher tout Un autre problème similaire est celui du risque en cas d’accident automobile, les femmes, la moitié des conducteurs donc, ont un risque beaucoup plus important d’être blessées ou de trouver la mort (3x) dans un accident, avec notamment un risque accru du “coup du lapin” à cause de leur stature. En cause pour partie, les mannequin utilisés dans les crash tests qui sont basés sur l’anatomie d’un homme moyen, les systèmes de sécurité qui découlent de ces tests ayant été pensé autour de cet “étalon”. (celui ci avait démontré un cycle hormonal plus stable, peut-être )

a écrit : Des exceptions, y'en a un paquet. J'avais publié une anecdote qui illustrait le manque de femmes dans les essais cliniques. C'est principalement dû au manque de volontaires (il semblerait que les hommes sont bien plus enclins à faire des trucs dangereux...). Cette carence est telle qu'un labo a testé sur une population essentiellement masculine du... "viagra" pour femmes ! (23 hommes, 2 femmes...)

mobile.secouchermoinsbete.fr/73911-les-essais-de-medicaments-sont-majoritairement-realises-sur-des-hommes?page=4
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Je pense que ça depend du type de "volontariat". Les donneurs de sang et dérivés ainsi que les donneurs de moëlle sont très majoritairement des femmes, ce qui pose problème pour les dons de moëlle (à cause du micro chimérisme foetal). En tout cas en France où ces dons sont très peu médiatisés et très peu valorisés.
Les expérimentations de médicaments ou de protocoles sont assez souvent rémunérés, est-ce-que ça parle davantage aux hommes, un volontariat qui n'est pas bénévole. Est ce que le fait que ce soit rémunéré est associé à une prise de risque plus forte ?
Il y a aussi beaucoup plus de femmes dans le bénévolat "social" et plus d'hommes dans le bénévolat sportif (même si ça dépend pas mal du sport).

a écrit : Un autre problème similaire est celui du risque en cas d’accident automobile, les femmes, la moitié des conducteurs donc, ont un risque beaucoup plus important d’être blessées ou de trouver la mort (3x) dans un accident, avec notamment un risque accru du “coup du lapin” à cause de leur stature. En cause pour partie, les mannequin utilisés dans les crash tests qui sont basés sur l’anatomie d’un homme moyen, les systèmes de sécurité qui découlent de ces tests ayant été pensé autour de cet “étalon”. (celui ci avait démontré un cycle hormonal plus stable, peut-être ) Afficher tout Je crois surtout qu'au départ de la mise en place de la sécurité automobile, peu de femmes conduisaient.

Il y a dorénavant une catégorie "Child occupant" dans l'Euro NCAP. Pour les femmes, les "dummies" étaient simplement des "dummies hommes" version réduite sauf que ce n'est pas du tout représentatif de la morphologie féminine. Une femme n'est certainement pas un homme plus petit et moins lourd. De nouveaux mannequins sont en train d'être testés mais cela prend du temps.

Dernier problème avec la sécurité automobile : les dummies d'homme moyen font 77 kg pour 1m75. Un américain moyen fait aujourd'hui 89,8 kg. Je vous laisse imaginer la différence en terme d'énergie potentielle lors d'un crash.

Il faudrait éventuellement refaire les abaques de relation énergie/blessure avec des cadavres récents pour avoir des données fiables et ainsi initialiser les données des nouveaux mannequins ...

a écrit : Un autre problème similaire est celui du risque en cas d’accident automobile, les femmes, la moitié des conducteurs donc, ont un risque beaucoup plus important d’être blessées ou de trouver la mort (3x) dans un accident, avec notamment un risque accru du “coup du lapin” à cause de leur stature. En cause pour partie, les mannequin utilisés dans les crash tests qui sont basés sur l’anatomie d’un homme moyen, les systèmes de sécurité qui découlent de ces tests ayant été pensé autour de cet “étalon”. (celui ci avait démontré un cycle hormonal plus stable, peut-être ) Afficher tout C'était certainement le cas dans les années 70/80 mais plus de nos jours. Concernant la stature, il n'y a pas grand chose qu'on puisse faire à part fabriquer des auto genrées. Et concrètement il y a 3x plus d'hommes que de femmes qui décèdent sur les routes.

a écrit : Je pense que ça depend du type de "volontariat". Les donneurs de sang et dérivés ainsi que les donneurs de moëlle sont très majoritairement des femmes, ce qui pose problème pour les dons de moëlle (à cause du micro chimérisme foetal). En tout cas en France où ces dons sont très peu médiatisés et très peu valorisés.
Les expérimentations de médicaments ou de protocoles sont assez souvent rémunérés, est-ce-que ça parle davantage aux hommes, un volontariat qui n'est pas bénévole. Est ce que le fait que ce soit rémunéré est associé à une prise de risque plus forte ?
Il y a aussi beaucoup plus de femmes dans le bénévolat "social" et plus d'hommes dans le bénévolat sportif (même si ça dépend pas mal du sport).
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Petite (grosse) rectification :

Seuls les essais cliniques de phase 1 (sur volontaires sains) sont rémunérés (rémunération encadrée par la loi pour ne pas que les gens en fassent trop...)

Les essais cliniques de phase 2, 3 et 4 ne sont jamais rémunérés.
(on peut, dans certains cas, être amené à rembourser les frais de transports mais c'est tout).