Les cyclistes se dopaient déjà avant la création du Tour de France. Les soigneurs administraient toutes sortes de substances, allant de la strychnine, un stimulant puissant mais très toxique à des produits plus exotiques comme des dérivés de nitroglycérine ou même de l'arsenic.
Commentaires préférés (3)
Le faisaient-t-ils à l’insu de leur plein gré ?
Et en dehors du dopage il y aussi toujours eu la vente de victoire dans le cyclisme.
Je t'accompagne dans le final, je te laisse gagner et tu files ta prime de victoire.
C'est moins connu, mais certain ont gagner pas mal de course grâce à ça.
Source : un ancien maillot jaune du tour aujourd'hui décédé avec qui j'ai eu la chance de discuter lors d'un repas de famille. Pour le lui le dopage c'était peanuts comparer la vente de victoire (il courait dans les années 60 à 70.)
Richard Virenque disait (je ne sais plus si c'est lui ou sa marionnette des Guignoles)
que les contrôles anti dopages étaient inutiles et coutaient cher. Il préconisait de tracer sur le sol une ligne à la craie. Les dix premiers à la franchir se dopaient à coup sûr
Tous les commentaires (22)
Le faisaient-t-ils à l’insu de leur plein gré ?
Et en dehors du dopage il y aussi toujours eu la vente de victoire dans le cyclisme.
Je t'accompagne dans le final, je te laisse gagner et tu files ta prime de victoire.
C'est moins connu, mais certain ont gagner pas mal de course grâce à ça.
Source : un ancien maillot jaune du tour aujourd'hui décédé avec qui j'ai eu la chance de discuter lors d'un repas de famille. Pour le lui le dopage c'était peanuts comparer la vente de victoire (il courait dans les années 60 à 70.)
On devrait peut être séparer les choses.
D'un coté, les sportifs qui bouffent que des graines et de l'autre où tout est permis quitte à mettre sa vie en danger.
-JE NE MANGE PAS DE GRAINES!!!
Richard Virenque disait (je ne sais plus si c'est lui ou sa marionnette des Guignoles)
que les contrôles anti dopages étaient inutiles et coutaient cher. Il préconisait de tracer sur le sol une ligne à la craie. Les dix premiers à la franchir se dopaient à coup sûr
La nitroglycérine permet d’ « exploser » les records 
Étonnant, je n'y aurais jamais pensé... Donnez-moi 1 seul sport où chaque équipe a un médecin attitré pouvant prescrire toute drogue ? Un Physio ne le peut pas !
Je pensais qu'il n'y avait que le méchant Lance Armstrong qui se dopait ???
Il y a dopage et dopage! Un membre de ma famille sémi-professionnel a côtoyé des coureur qui se "chargeaient" mais n'avait pas de grosses performances (il m'avait parlé de grains de café au début et des trucs un peu bizarre mais sans de faire de grosses différences) puis au fur et mesure de sa carrière il a vu l évolution des produits jusqu'à que son directeur lui dise tu en prends sinon tu ne sera jamais pro (il ne l'a jamais été bravo tonton) à ce moment là le dopage ne faisait pas d'un âne un cheval de course!
Laurent Fignon l'a d'ailleurs déclaré en ces termes : :Minimisant l'importance du dopage : "Dopé ou non, un grand champion en forme était imbattable. Dopé ou non, un coureur moyen ne pouvait pas battre un grand champion. (...) Et c'était ça la réalité du dopage de cette époque"
Maintenant je ne sais absolument pas ce qu'il en est mais je pense que le dopage comme la préparation des coureurs a dû bien évoluer.
T'est méchant! "snif"
Ça compte le pudding à l'arsenic ?
J'dis ça comme ça hein, mais les records sont pas battus tous les ans par l'opération du Saint Esprit, ni de l'évolution. :)
MOAH cynique? Si peu...si peu...
D'autre coureur plus anonyme cherchais surtout à gagner leur vie.
Réglé le résultat à l'avance permet de faire gagnant-gagnant (victoire ou fric). C'était mieux que l'incertitude du résultat qui fait que tu peux tout gagné ou tout perdre.
Enfin je pense que c'est ça.
Celui avec qui j'ai discuté, je ne le connaissais pas avant, pourtant financièrement il était plutôt à l'abri, puisque qu'il était avec une jeune suce pognon (la mère de ma cousine).
Je pense qu'il en avait vendu assez pour se mettre à l'abri après sa carrière.