Scrat a existé

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Scrat, le personnage de la saga "L'âge de glace" mix d'un écureuil et d'un rat, courant éternellement après un gland, a réellement existé. Du moins son espèce, Pseudotherium argentinus découverte récemment en Argentine, ressemblant particulièrement au personnage et ayant vécu il y a environ 230 millions d'années.


Commentaires préférés (3)

a écrit : Il pourrait être judicieux, pour ce genre d'anecdotes, d'utiliser le conditionnel plutôt qu'une tournure affirmative. La datation au carbone 14 est loin d'être une science exacte et souffre d'un biais important. En effet, cette datation part du principe que le taux de désintégration des atomes est constant dans le temps. Hors, cette hypothèse est de plus en plus remise en question. Sous des conditions de température et de pression variables, ce taux de désintégration est variable également. Il est donc délicat de dire "il vivait il y a 230MA", il serait préférable d'écrire "il aurait vécu il y a 230MA". Il pourrait tout aussi bien avoir vécu il y a 100 000 ou 10 000 ans, impossible d'avoir une certitude absolue. Afficher tout Il n'y a aucun rapport avec la datation au carbone 14 qui ne s'applique qu'aux matières organiques, et dont la possibilité de datation ne dépasse pas les 50 mille ans.
Ici la datation à été effectuée grâce aux strates géologiques.

En revanche c'est vrai, que, bien qu'appartenant à un clade étant ancêtres des mammifères, il est bien loin d'en être un. Employer le conditionnel et le terme "ressemblerait" me semble plus approprié.

a écrit : Il pourrait être judicieux, pour ce genre d'anecdotes, d'utiliser le conditionnel plutôt qu'une tournure affirmative. La datation au carbone 14 est loin d'être une science exacte et souffre d'un biais important. En effet, cette datation part du principe que le taux de désintégration des atomes est constant dans le temps. Hors, cette hypothèse est de plus en plus remise en question. Sous des conditions de température et de pression variables, ce taux de désintégration est variable également. Il est donc délicat de dire "il vivait il y a 230MA", il serait préférable d'écrire "il aurait vécu il y a 230MA". Il pourrait tout aussi bien avoir vécu il y a 100 000 ou 10 000 ans, impossible d'avoir une certitude absolue. Afficher tout En matière de datation Archéologique, le carbone 14 n'est QU'UNE de la bonne dizaine de techniques pouvant être employées, selon l'échantillon ou la nature géologique du terrain où celui-ci fut trouvé.

Alors certes, le carbone 14 est la méthode la plus connue du public...mais en aucun cas elle ne sert dans le cas décrit dans cette anecdote. Ceci n'empêche pourtant pas certaines personnes de dénigrer cette méthode scientifique, à des fins bien autres, telle celle de vouloir faire "coller" leurs convictions Religieuses aux Sciences...

Une autre méthode, commençant à être connue du public, est la Dendrochronologie, permettant de dater un échantillon de bois, à partir des cernes le composant. Ces cernes sont distinctes en épaisseur (selon les conditions climatiques de chaque annéeécoulée), et peuvent d'ailleurs être un bon indicateur quant à l'année exacte ou l'arbre fut abattu. C'est, par exemple, cette méthode qui permet de dater avec exactitude, l'année où fut créé le hameau Viking de l'Anse aux Meadow, au Canada, au 11ème siècle.

D'autres méthode de datation, permettant de donner des "plages" temporelles.
Ce sont celles de la thermoluminescense, la résonance paramagnétique électronique, l'archéomagnétisme, la datation par Uranium-Thorium, la stratigraphie, la datation radiométrique, etc...


Tous les commentaires (13)

Il pourrait être judicieux, pour ce genre d'anecdotes, d'utiliser le conditionnel plutôt qu'une tournure affirmative. La datation au carbone 14 est loin d'être une science exacte et souffre d'un biais important. En effet, cette datation part du principe que le taux de désintégration des atomes est constant dans le temps. Hors, cette hypothèse est de plus en plus remise en question. Sous des conditions de température et de pression variables, ce taux de désintégration est variable également. Il est donc délicat de dire "il vivait il y a 230MA", il serait préférable d'écrire "il aurait vécu il y a 230MA". Il pourrait tout aussi bien avoir vécu il y a 100 000 ou 10 000 ans, impossible d'avoir une certitude absolue.

a écrit : Il pourrait être judicieux, pour ce genre d'anecdotes, d'utiliser le conditionnel plutôt qu'une tournure affirmative. La datation au carbone 14 est loin d'être une science exacte et souffre d'un biais important. En effet, cette datation part du principe que le taux de désintégration des atomes est constant dans le temps. Hors, cette hypothèse est de plus en plus remise en question. Sous des conditions de température et de pression variables, ce taux de désintégration est variable également. Il est donc délicat de dire "il vivait il y a 230MA", il serait préférable d'écrire "il aurait vécu il y a 230MA". Il pourrait tout aussi bien avoir vécu il y a 100 000 ou 10 000 ans, impossible d'avoir une certitude absolue. Afficher tout Il n'y a aucun rapport avec la datation au carbone 14 qui ne s'applique qu'aux matières organiques, et dont la possibilité de datation ne dépasse pas les 50 mille ans.
Ici la datation à été effectuée grâce aux strates géologiques.

En revanche c'est vrai, que, bien qu'appartenant à un clade étant ancêtres des mammifères, il est bien loin d'en être un. Employer le conditionnel et le terme "ressemblerait" me semble plus approprié.

230 millions d'années? une seule certitude, c'était un vertébré

a écrit : Il pourrait être judicieux, pour ce genre d'anecdotes, d'utiliser le conditionnel plutôt qu'une tournure affirmative. La datation au carbone 14 est loin d'être une science exacte et souffre d'un biais important. En effet, cette datation part du principe que le taux de désintégration des atomes est constant dans le temps. Hors, cette hypothèse est de plus en plus remise en question. Sous des conditions de température et de pression variables, ce taux de désintégration est variable également. Il est donc délicat de dire "il vivait il y a 230MA", il serait préférable d'écrire "il aurait vécu il y a 230MA". Il pourrait tout aussi bien avoir vécu il y a 100 000 ou 10 000 ans, impossible d'avoir une certitude absolue. Afficher tout D'autant plus que les échantillons peuvent être contaminés par le sol contenant du carbone.

a écrit : Il pourrait être judicieux, pour ce genre d'anecdotes, d'utiliser le conditionnel plutôt qu'une tournure affirmative. La datation au carbone 14 est loin d'être une science exacte et souffre d'un biais important. En effet, cette datation part du principe que le taux de désintégration des atomes est constant dans le temps. Hors, cette hypothèse est de plus en plus remise en question. Sous des conditions de température et de pression variables, ce taux de désintégration est variable également. Il est donc délicat de dire "il vivait il y a 230MA", il serait préférable d'écrire "il aurait vécu il y a 230MA". Il pourrait tout aussi bien avoir vécu il y a 100 000 ou 10 000 ans, impossible d'avoir une certitude absolue. Afficher tout Ton commentaire est pertinent et informé et mériterait un nombre de like positif.

a écrit : Il pourrait être judicieux, pour ce genre d'anecdotes, d'utiliser le conditionnel plutôt qu'une tournure affirmative. La datation au carbone 14 est loin d'être une science exacte et souffre d'un biais important. En effet, cette datation part du principe que le taux de désintégration des atomes est constant dans le temps. Hors, cette hypothèse est de plus en plus remise en question. Sous des conditions de température et de pression variables, ce taux de désintégration est variable également. Il est donc délicat de dire "il vivait il y a 230MA", il serait préférable d'écrire "il aurait vécu il y a 230MA". Il pourrait tout aussi bien avoir vécu il y a 100 000 ou 10 000 ans, impossible d'avoir une certitude absolue. Afficher tout En matière de datation Archéologique, le carbone 14 n'est QU'UNE de la bonne dizaine de techniques pouvant être employées, selon l'échantillon ou la nature géologique du terrain où celui-ci fut trouvé.

Alors certes, le carbone 14 est la méthode la plus connue du public...mais en aucun cas elle ne sert dans le cas décrit dans cette anecdote. Ceci n'empêche pourtant pas certaines personnes de dénigrer cette méthode scientifique, à des fins bien autres, telle celle de vouloir faire "coller" leurs convictions Religieuses aux Sciences...

Une autre méthode, commençant à être connue du public, est la Dendrochronologie, permettant de dater un échantillon de bois, à partir des cernes le composant. Ces cernes sont distinctes en épaisseur (selon les conditions climatiques de chaque annéeécoulée), et peuvent d'ailleurs être un bon indicateur quant à l'année exacte ou l'arbre fut abattu. C'est, par exemple, cette méthode qui permet de dater avec exactitude, l'année où fut créé le hameau Viking de l'Anse aux Meadow, au Canada, au 11ème siècle.

D'autres méthode de datation, permettant de donner des "plages" temporelles.
Ce sont celles de la thermoluminescense, la résonance paramagnétique électronique, l'archéomagnétisme, la datation par Uranium-Thorium, la stratigraphie, la datation radiométrique, etc...

a écrit : Il pourrait être judicieux, pour ce genre d'anecdotes, d'utiliser le conditionnel plutôt qu'une tournure affirmative. La datation au carbone 14 est loin d'être une science exacte et souffre d'un biais important. En effet, cette datation part du principe que le taux de désintégration des atomes est constant dans le temps. Hors, cette hypothèse est de plus en plus remise en question. Sous des conditions de température et de pression variables, ce taux de désintégration est variable également. Il est donc délicat de dire "il vivait il y a 230MA", il serait préférable d'écrire "il aurait vécu il y a 230MA". Il pourrait tout aussi bien avoir vécu il y a 100 000 ou 10 000 ans, impossible d'avoir une certitude absolue. Afficher tout La désintégration de l'isotope du carbone 14C, comme tous les autres isotopes instables, n'est pas constante mais suit une loi de Poisson, de sorte de la quantité totale d'isotope décroît exponentiellement dans le temps. La probabilité de désintégration d'un atome en particulier est indépendante des atomes environnants et même de "l'âge" de l'atome lui-même.
Il est bien de s'intéresser à la science, mais si on veut en discuter des concepts les pointus, il faut être sûr de les avoir compris.

Pour le coup on a absolument aucune idée de ce à quoi il ressemblait. On pourra toujours épiloguer sur le pourquoi du comment et les avancées de la science : on ne sait pas et on ne saura jamais. On aura tout au plus une vague idée.

a écrit : Pour le coup on a absolument aucune idée de ce à quoi il ressemblait. On pourra toujours épiloguer sur le pourquoi du comment et les avancées de la science : on ne sait pas et on ne saura jamais. On aura tout au plus une vague idée. 3 des 4 sources, ainsi que @Madbob44, donnent une image de ce à quoi ressemblait la bestiole.

a écrit : Ton commentaire est pertinent et informé et mériterait un nombre de like positif. Peut-être que si tu avais lu les autres commentaires t'aurait aussi évité des votes négatifs.

a écrit : Je le trouve nettement moins sympathique, en regardant les reconstitutions en images de la bête...

www.google.com/search?q=Pseudotherium+argentinus&sca_esv=c786e18f386c8f3b&sca_upv=1&ei=Q9DJZt34GsStkdUPl4i9yAE&oq=Pseudotherium+argentinus&gs_lp=EhNtb2JpbGUtZ3dzLXdpei1zZXJwIhhQc2V
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Je suis d’accord il est même flippant à mon goût