Des chercheurs de l’université de Rochester ont découvert que de faibles doses d’alcool activent le système glymphatique, qui élimine les déchets cérébraux, dont le peptide bêta-amyloïde, lié à Alzheimer. L’étude a comparé des souris consommant de l’alcool et d’autres n’en buvant pas.
Résultat : à faible dose (équivalente à 1,7 verre de vin/jour pour un adulte humain), leur mémoire était meilleure et leur cerveau plus sain. À l’inverse, une consommation élevée (5 verres/jour) ralentit ce système, entraînant une accumulation de déchets et des troubles cognitifs accrus.
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Quelqu'un qui ne boit pas en semaine, n'a pas besoin d'alcool pour fonctionner au quotidien, mais sort tout les weekend se mettre minable au point de faire un black out, il a un problème avec l'alcool, c'est une forme d'alcoolime, y compris s'il ne touche pas une goutte d'alcool en semaine.
Et le petit verre de rouge quotidien de mes grands-pères, dont ils se passaient sans problème en vacances, par exemple, effectivement, je ne pense pas qu'on puisse le considérer comme de l'alcoolisme.
J'ai des enfants jeunes adultes, je leur ai toujours dit que le comportement responsable, il est avant de boire. J'ai fait la fête étudiante, y compris avec de l'alcool, parfois trop, je suis super mal placée pour leur dire de ne pas boire. Par contre, l'alcool altère la vigilance, elles le savent et elle sont conscientes que c'est de leur responsabilité de ne pas boire avec n'importe qui, n'importe où et de ne pas prendre le volant en ayant bu. Elle savent aussi qu'elles ont un droit à la connerie et qu'au moindre souci, elle peuvent appeler, on viendra les chercher, saoules, à 3 h de route. Après on s'expliquera. Mais on viendra.
Dans les 2 cas il y a combinaison d'aspects médicaux, psychologiques et sociaux. Pas juste une fréquence de répétition.
Si on résume c'est une dépendance chronique à l’alcool caractérisée par une perte de contrôle sur la consommation, une tolérance accrue, des symptômes de sevrage à l’arrêt, et la poursuite de la consommation malgré ses conséquences négatives sur la santé physique, mentale, sociale ou professionnelle.
PS : je suppose qu'on a your ce genre de paradoxe en nous mais vous pourriez utiliset des mots plus sympas.