Le 14 octobre 1912, l'ancien président américain Théodore Roosevelt fut touché d'une balle dans la poitrine par un tireur fou alors qu'il s'apprêtait à prononcer un discours à l'auditorium de Milwaukee. Il prononcera d'abord son discours durant une heure avant de se faire soigner, déclarant : "Il faut plus qu'une balle pour m'abattre". Cette balle ne sera jamais retirée de ses poumons.
Commentaires préférés (3)
J'espère que c'était pas un discours pour annoncer une baisse de la criminalité aux usa.
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La classe
Il aura été un héros jusqu'au bout...
Recevoir une balle en pleine poitrine, avoir la balle bloqué dans les poumons et prononcer quand même pendant 1 heure un discours sans compter la douleur relève de l extraordinaire ! Un grand homme.
Il avait pas peur d'en prendre une deuxième le mec!
Assez impressionnant, surtout le fait de vivre avec une balle dans le poumon.
Il avait du courage.
Le mec se prend une balle en pleine poitrine , se fait transpercer un poumon , pisse sûrement le sang , mais non c'est normal , pas de problème ..
Et nos footballeurs qui se tordent de douleur au moindre choc ;)
Peut-être a-t-il été protégé par l'esprit de l'ourson qu'il refusa de tuer en 1903 et qui fait que les ours en peluche s'appellent des "Teddy Bears".
"C'est dur d'échouer, mais c'est pire de n'avoir jamais essayé de réussir."
T. Roosevelt.
J'espère que c'était pas un discours pour annoncer une baisse de la criminalité aux usa.
JF. Kennedy n'a malheureusement pas eu autant de chance..
Au risque de paraître pointilleux, le terme "Il faut plus qu'une balle pour m'abattre" a une double connotation. Il aurait été plus logique de sa partie (ou de la partie de ceux qui relatent les faits) de dire : "Il faut plus d'une balle pour m'abattre".
Avec l'autre phrase, il n'y a pas de double sens
Aussi forcément si tu l'attaques avec un pistolet à fléchettes faut pas se leurrer il va plus se tordre de rire que de douleur