Le terme "colombe" est typiquement francophone et ne correspond pas à une classification scientifique : dans les autres langues, il n'existe pas de distinction entre le pigeon et la noble colombe. D'un point de vue biologique, ils appartiennent à la même espèce : celle des pigeons bisets. Une colombe dans le sens courant n'est donc qu'une race de pigeon au plumage blanc.
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Et l'épisode de Noé et la colombe (qui se dit Yona en hébreu) dans la bible ?
Pigeon : columba livia
Colombe : geopelia cuneata
Il n'y a pas plutôt confusion avec la tourterelle ? La tourterelle et la colombe serait le même oiseau ?
Pcq un pigeon à côté d'une colombe on voit une différence, qu'entre la tourterelle et la colombe ...
Si on allait au zoo= invitation à aller au zoo
Si on irait au zoo= la c'est le conditionnel c'est pas sûr.
Donc relis toi avant de faire des commentaires qui prouveront que t'es pas l'expert que tu prétendrais être !
Bonne soirée.
La langue italienne fait la même dinstintion: colomba et piccione.
C'est pour ça qu'il n'existe pas d'équivalent français à "epicness" par exemple :)
Par contre petite précision : c'est dovah qui veut dire dragon ou plutôt qui sert à désigner UN dragon, d'où le dovah kiín, l'enfant de dragon.
Quant à dov on l'utilise seulement pour désigner l'ensemble des dragons.
Sur ce je terminerai simplement par
FUS ROH DAH !
C'est "Et si on allait au zoo? :D " pour inviter à aller au zoo &
"Si on allait au zoo,(...)" est au conditionnel.
"On irait bien au zoo" se dit, par contre...
(connaissances du...Primaire)
Bonne journée à tous et n'oubliez pas de bien vous hydrater, si vous êtes dans un endroit sujet à des chaleurs caniculaires !!!!
Désolé, mais c'est faux! En portugais on différencie ces 2 genres de pigeons. Le pigeon blanc se dit "pomba" et le pigeon classique se dit "pombo"
;)
1) on écrit les "scies n'aiment pas les raies"
2) cette phrase ne veut rien dire, une scie est un objet et n'a pas de sentiments. Elle est complètement idiote cette phrase si on vous a forcé a l'apprendre je comprends que ça tourne pas rond dans vos têtes... Avec des prof comme ceux que vous avez eus je comprend que l'alphabetisme progresse ! En voilà une autre : les marteaux n'aiment pas le saumon !
N'insiste pas, "si j'aurais" n'est pas Français, tu te coucheras moins bête, tu devrais être content(e) ;-))
Mais peut être que si monsieur Hugo aurait pas été un auteur français, tu aurais eu raison....
Et na! J'avais raison seul contre tous ! C'est vous qui vous coucherez moins bêtes !
L'anecdote est effectivement fausse (ou du moins mal formulée) pour ce qui est de la différence entre le français et les autres langues : de nombreuses autres langues utilisent un équivalent pour désigner la colombe de la paix.
Mais il n'empêche qu'elle a raison sur un point : la colombe de la paix et les différentes espèces appelées colombes n'ont rien à voir. La première (colombe blanche) n'est qu'un pigeon ou une tourterelle leucistique ou albinos qui se traduit effectivement par dove, paloma, etc ; mais les secondes ne sont pas forcément blanches, et ce sont diverses espèces de Columbidés, comme les pigeons.
Dans les deux cas, le terme "colombe" n'a aucun sens phylogénétique (c'est-à-dire au niveau de la classification) : il n'y a pas "un groupe de pigeons avec un ancêtre commun" et "un groupe de colombes avec un ancêtre commun", les deux termes sont mélangés.
La preuve : il existe une espèce australienne qu'on appelle "colombe lophote" (ou "colombine longup". En anglais, elle est appelée "crested pigeon" et non pas "crested dove". A l'inverse, le pigeon biset peut être appelé "rock pigeon" en anglais, mais le nom normalisé (nom anglais officiel) actuel est "rock dove".
Cela veut dire que non, "paloma" et "dove" ne sont pas toujours la traduction directe de "colombe".
Leçon de la langue Française :
« Si j'aurais su, j'aurais pas venu ! »
Citation cultissime tirée du roman (ou du film) La guerre des boutons, cette expression laisse paraître deux erreurs de français : d'une part « si j'aurais su », dont le mode (conditionnel) ne peut pas être employé avec le mot subordonnant « si », et d'autre part « j'aurais pas venu », dans laquelle le participe passé de « venir » est combiné avec le verbe « avoir » au lieu du verbe « être » (on dit « être venu »). On ne s'intéressera qu'au premier.
Mettons-nous en situation...
P1 : Salut ! Tu te souviens de moi ? On s'est aperçu hier soir...
P2 : C’est pas vrai ? Si j’aurais su que c’était toi que j’ai vu ce soir-là, je serais venu à ta rencontre !
Où est l’erreur ? On ne peut pas écrire « si j’aurais su », cette formulation est incorrecte.
Pourquoi ? Dans cette phrase, on utilise deux méthodes de construction d'une phrase qui imposent toutes deux une condition, puisque :
Le mot « si » (on l'appelle subordonnée) marque automatiquement une condition : « si je fais à manger, tu mets la table. » peut autrement signifier « je fais à manger à condition que tu mettes la table ».
Le conditionnel (présent) « aurais su » fait lui-même état d'une condition dans la phrase, d'ailleurs ce mode existe en théorie pour cela et ne porte pas ce nom pour rien.
La solution…
Les solutions sont proposées directement par les règles instaurées par la grammaire française elle-même. Vous avez ainsi deux possibilités. Soit vous utilisez le conditionnel, soit vous utilisez le mot subordonnant « si », mais pas les deux en même temps !
Utilisation du conditionnel : « J’aurais su, je n’y serais pas allé. » Cette phrase, telle qu’elle est écrite ici, est tout à fait correcte et ne nécessite aucune transformation. On a tendance à rajouter « si » en début de phrase : c'est inutile et incorrect.
Utilisation d’un terme à caractère conditionnel (si) : « Si j’avais su, je n’y serais pas allé. » En quelques mots : lorsque l'on utilise « si », on n'utilise pas le conditionnel. Pourquoi ? Parce que le mot « si » est ce que l'on appelle une subordonnée conjonctive de condition, il ne peut donc jamais être suivi d'un temps du conditionnel. Pour s'exprimer correctement, on préférera certains temps du mode indicatif, dont le plus-que-parfait par exemple (si j'avais su), le présent (si je sais) ou encore l'imparfait (si tu savais).
On notera que le conditionnel est réutilisé en deuxième partie de phrase dans les deux cas : « J’aurais su, je n’y serais pas allé. » et « Si j’avais su, je n’y serais pas allé. »
Pour résumer,, lorsqu’une phrase commence par « si » dans le cas d’une condition, on n’utilise pas le conditionnel. A l’inverse, si l’on emploie le conditionnel dans la phrase, on n’utilise pas la conjonction « si ».