Très commune, la fourmi d'Argentine forme sur chaque continent une seule super-colonie, c'est-à-dire que ses zones de nidification sont interconnectées. En Europe, la colonie de fourmis d'Argentine s'étend sur environ 6000 km. Introduite au XIXe siècle, cette espèce invasive extermine les espèces déjà en place et bouleverse l'écosystème.
Les fourmis qui "élèvent" les pucerons sur vos plantes dans les jardins ? Ce sont elles.
Les fourmis qui viennent chercher le sucre dans vos placards ? Ce sont certainement elles également.
Elles ont un comportement destructeur envers de nombreux fruitiers.
Au-delà du bouleversement de l'écosystème, elles sont également accusées de véhiculer des maladies nosocomiales.
Néanmoins, elles peuvent aussi être bénéfiques : Elles protègent nos charpentes en luttant efficacement contre la prolifération des termites.

Tous les commentaires (35)
Je suis complètement d'accord ! D'ailleurs il est précisé en source que cette fourmis d'Argentine a été accidentellement apportée par l'homme avec le commerce de laurier-rose...
Responsables, mais pas coupables!
En plus, il y a d'autres espèces que l'on a importé exprès qui font beaucoup plus de dégâts que ces petites fourmis, les écrevisses et tortues de Floride, la grenouille taureau (pour l'Europe), le lapin (pour l'Australie) ...
Moi, à ce niveau, c'est la 1ère année et je ne comprends pas. Il a fait extrêmement chaud mais bon,la canicule dans le sud c'est récurrent alors ça peut pas être ça. Je pensais pas en étage quand même
Très bonne remarque effectivement ;)
Des petites miettes de pain sur le sol mais toujours vite nettoyées. Mais ça ne peut pas expliquer ce surnombre, des miettes y en a souvent. Ça m'a rendue tellement dingue que je nettoyais constamment, mais c'était incompréhensible d'en retrouver le soir quand je rentrais alors que je nettoyais à fond le matin.
Je mettais aussi de la bombe et même en balayant les 1ers "cadavres", ça n'arrêtait pas de défiler, et de mourir. Puis de revenir après nettoyage du sol. Elles escaladaient même les murs et atteignaient le rebord de ma fenêtre et rentraient parfois ainsi en colonie entière.
Je connaissais pas pour le basilic, je tenterai, merci :)
2/2
En tout cas, c'était des petites fourmis toutes noires, celles des jardins, donc probablement les argentines.
bon c'est déjà ça, parce que celles à tête rouge sont les seules capables de creuser dans le ciment...
Effectivement elles viennent pas pour la bouffe, en tout cas y'a forcément une raison, ça peut aussi être parce que c'est propre (je déconne pas, mais salit pas tout ça marchera pas^^)
Oui tente le basilic (et autres) mais faut des plantes vivante hein, le Ducros c'est nul, pis tu pourra cuisiner avec;)
Bonne chance
Et son Encyclopédie du savoir relatif et absolu. J'ai lu tout ça dans les années 90... ;-)
J’ai essayé d’en relire quelqu’un et notamment la série des thanatonautes qui est excellente.
Par contre je me rend compte qu’il a écrit pas mal de bêtises, des idées reçues et enfoncent les portes ouvertes dans son encyclopédie. Le genre d’annonces qui émerveillait l’adolescent que j’étais mais qui exaspère l’adulte ;) Cela reste un excellent auteur mais qui va parfois à la facilité pour toucher un public très large.
J’adore ce que tu as dit
Tout à fait d'accord avec toi, à part le fait que j'étais déjà adulte à l'époque. Je commençais tout juste à m'intéresser à la lecture. Et j'ai commencé avec "Les fourmis" de BW.
J'ai également lu "les thanatonautes" et autres mais je me suis rendu compte que BW était avant tout un journaliste scientifique qui s'est lancé dans l'écriture de romans. Et, comme il le dit lui-même, il démarre ses romans sur une idée et le peaufine à mesure de son écriture. Et c'est là que ça pêche.
Les fourmis à pourtant été LE livre qui m'a fait réfléchir avec ses allumettes dont j'étais fier d'avoir trouvé la solution avant la fin du livre... ;-)
P@%!in ça fait un bail... ;-)
Il l'écrit lui-même dans "La révolution des fourmis", le journaliste: On parle bien de ce qu'on ne connais pas"
C'est un romancier, pas un scientifique, et il ne s'en cache pas.
Cela dit, nous qui avons lu ce livre, maintenant, on zoome un peu plus pour regarder ce qui se passe entre les brins d'herbe, et ça, c'est une bonne chose, et personnellement, depuis, j'essaie toujours de ne pas aplatir ce que je ne comprends pas et qui est moche (SI une fourmi, au microscope, c'est moche! Non, bon, c'est pas si moche que ça mais quand j'imagine une fourmi de la taille d'un éléphant... ^^)
Elle n’a pas forcément tord en même temps.
Oui mais c'est récurent.
Peut être parce que la situation est de pire en pire...