L'interruption de 80 % à 90 % du trafic aérien lors de la pandémie de COVID a eu un effet inattendu : la baisse de la fiabilité des prévisions météorologiques. L'ensemble des données collectées par les différentes sondes des avions est en effet une source précieuse de données pour les météorologues.

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Tu pourrais au moins citer les sources de tes infos : www.franceculture.fr/sciences-du-langage/doit-dire-le-ou-la-covid-19
Juste pour savoir, pourquoi la sonar et la pressing ?
Radar, ok, c'est la détection,
Laser, une amplification lumineuse...,
briefing, la réunion,
Casting, c'est une audition etc etc, mais sonar et pressing je trouve pas
J'ai rarement lu un pavé aussi foutraque dans lequel on voit tout et son contraire. Comme l'écrivait Boileau : « Ce qui se conçoit bien s'énonce clairement... »
Et aussi probablement parce que la plupart des maladies ont un nom féminin (varicelle, scarlatine, peste, grippe, diarrhée, etc.) à part le SIDA qui est un syndrome et quelques exceptions (le choléra, les oreillons...). Donc ça ne choque pas nos habitudes de donner un nom féminin à une maladie.
Salut l'ami. Peux tu m'expliquer ou as tu un lien expliquant la règle de conjugaison que tu as énoncé ? Je sais qu'on en a parlé dans une anecdote récente mais ce n'était pas clair pour moi. J'aurai aussi écrit "que l'on ait appelé". D'avance merci
Uniquement les vols commerciaux étaient suspendus non ? À cause du fait que des gens « s’assemblaient » dans un même milieu pendant une longue période ?
Si aujourd’hui tout le monde dit « le covid », c’est parce qu’on est habitué. Si on disait « la covid » du début, ce serait absolument normal.
Je pense qu’il est juste pour l’Académie Française de fixer les usages. Lorsqu’il y a un nouveau mot, je trouve ça bien que celle-ci cherche un genre qui lui correspond, en l’occurence, le féminin.
Quand il y a un nouveau mot, faut bien lui donner un genre, et plus il est cohérent, mieux c’est.
Cependant, je trouve ça absolument débile de se pointer en mai, 5 mois après la maladie, et de dire « alors non, il faut dire ‹la› » ; alors que l’usage est fixé depuis belle lurette. Un peu de réactivité de la part de l’Académie serait souhaitable.
Du coup, les trucs sérieux disent « la » et les gens disent « le »... C’est un peu n’importe quoi.
Sinon y a autre chose de similaire : l’emploi de l’expression « distanciation sociale ».
Selon l’AF, il ne faut pas l’employer car c’est un calque de l’anglais. Le vrai sens, c’est : « Technique théâtrale, prônée par le dramaturge allemand Bertolt Brecht, où l’acteur s’efforce de jouer comme à distance de son personnage, afin que le spectateur donne priorité au message social ou politique que l’auteur a voulu délivrer. » Franchement, c’est un sens dépassé et au lieu de donner un deuxième sens à « distanciation sociale » qui est assez cohérent avec le contexte actuel, non on doit dire des phrases à rallonge.
Et pourquoi ? « Distanciation a aussi connu une heure de gloire grâce au théâtre brechtien, mais même s’il s’agit, comme on le lit dans notre Dictionnaire, pour le spectateur, de donner ‹priorité au message social ou politique que l’auteur a voulu délivrer›, il est difficile de croire que ce soit le sens de la ‹distanciation sociale› dont on nous parle aujourd’hui. Peut-être aurait-on pu parler de ‹respect des distances de sécurité›, de ‹distance physique› ou de ‹mise en place de distances de sécurité›, comme cela se fait dans d’autres domaines ? »
Honnêtement, ça intéresse qui le théatre brechtien ?
Pour conclure, je pense que c’est bien d’avoir un organisme qui gère les normes d’une langue et je suis content qu’on ait l’AF, mais les méthodes de l’AF sont arriérées et tellement lentes... Faudrait bien que les académiciens daignent travailler un peu plus.
www.dictionnaire-academie.fr/article/DNP0947
L’AC c’est le conseil des Ents en gros.
Lien : www.academie-francaise.fr/apres-que
Après que est toujours suivi d’un verbe à l’indicatif, car il n’y a pas de notion de conditionnel (on fait après une chose, l’action est donc certaine, contrairement à avant que, où la notion de condition existe).
J’avais pas la réf, je suis allé sur internet ; j’ai trouvé :
« La langue entique est différente de toutes les autres : lente, sonore, répétitive et très nuancée, si bien que personne d'autre qu'eux-mêmes ne peut la parler »
« Ils ne prennent pas de décisions rapides et sont lents de tempérament »
Je crois que t’as trouvé la meilleure métaphore possible :D
Non pas 99%, ici au Québec la très grande majorité des québécois disent la covid. Faudrait refaire tes statistiques avec l'ensemble de la francophonie.
Je crois que le Québec parle plus français que la France elle-même... Au Québec, qui a décidé qu’on devait dire « la » ? Ou c’est venu aussi naturellement que « le » en France ?
Et en chinois, on dit comment ? Vu que la maladie vient de chez eux !
Avec de bons yeux, on voit mieux ce genre de détails.
'' la'' sida ?
''la'' cancer ?
C' est quoi ton argumentaire qui repose sur rien...
"Honnêtement, ça intéresse qui le théatre brechtien ?"
A tes souhaits. ;)
P.S, ca serait bien de leur apprendre à utiliser les technologies modernes à cette bande de dinosaures. Leur dico, le temps qu'ils le pondent, il est déjà obsolète depuis 20 ans. ^^
Je crois que le Larousse rajoute une centaine de nouveaux mots par an, et ça m'étonnerait qu'ils envoient un dossier à l'A.F à chaque fois!
Et LE cancer ?
Et donc
...
La Choléra, la Typhus, la SIDA ??
En tout cas je continuerai gaiement à dire le covid et non la covid. Tout le monde a dit le pendant des mois donc pour moi c'est faire chier pour rien!!
Amen !