Le pasuckuakohowog était une sorte de football extrême amérindien. Ce sport particulièrement violent se jouait sur un terrain de plus d'un km et demi de long et des cages de plusieurs centaines de mètres. Les équipes pouvaient compter 500 joueurs et les parties duraient parfois plusieurs jours. A l'issue du match, un gigantesque festin rassemblait les deux équipes.
Commentaires préférés (3)
Il y a une petite erreur sur le dernier mot de l’anecdote. Il fallait lire « survivants ». 
Vu la dimension du terrain c'est donc à ça que jouait Olive et Tom alors.
Le nom est déjà extrême.
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Il y a une petite erreur sur le dernier mot de l’anecdote. Il fallait lire « survivants ». 
Vu la dimension du terrain c'est donc à ça que jouait Olive et Tom alors.
Une version américaine du jeu de soule donc.
Comme quoi c peut importe l’origine, on a toujours eu des jeux pour se mettre sur la figure (avec une balle en prétexte)
Ils pouvaient aussi faire des parties de rugby à 250.
Le nom est déjà extrême.
... sans compter les arbitres ^^
D’où la fameuse citation « Le pasuckuakohowog est un sport de voyous joué par des tueurs en série, alors que l’ultimatum fighting est un sport de tueurs en série joué par des voyous »
J'imagine les commentateurs de l' époque :
"Mesdames et messieurs, on rentre dans les cinq dernières heures de jeu, il y aura 45 minutes de temps additionnel. Dans l'équipe des bleus, Cochise (c'est bien Cochise? On a du mal à les reconnaître avec leurs déguisements et leurs peintures de guerre. Ah oui, il a le numéro 499, c'est bien lui), Cochise donc arme sa frappe pour un tir plein axe des 250 mètres. Il y a seulement 75 défenseurs. Va-t-il marquer? Ah, neuf joueurs de l'équipe des verts se précipitent pour le rouer de coups. Va-t-il y avoir un penalty ? Il s'en tire avec seulement une jambe cassée. Simple fait de jeu, dit Monsieur l'arbitre, le jeu continue. Quel match, mesdames et messieurs ! Tout de suite, pendant la pause, des nouvelles du mercato. Prenez des notes, à 20 équipes de 500 joueurs plus les remplaçants, on s'y perd un peu !"