Jonathan James fut le plus premier hacker mineur incarcéré aux États-Unis. En 1999, à 15 ans, il pirata les systèmes de la NASA et du département de la Défense américain. Il téléchargea notamment un code source permettant de contrôler l’environnement de la Station spatiale internationale (ISS). La NASA dut désactiver les systèmes concernés pendant 3 semaines pour les sécuriser.
Jonathan James fut arrêté en 2000 et condamné à 6 mois de prison, en considération de son âge. Il se suicida en 2008, pensant être inquiété dans une autre affaire où il n'avait, semble-t-il, joué aucun rôle.

Commentaires préférés (3)
Se valoriser avec une inconscience des conséquences.
À 15 ans, la perspective de « après » est encore très limitée. L’horizon se limite à un ou deux mois avec des + et des -.
C’est pourquoi il existe une justice pénale des mineurs.
Peut-être aussi qu’un développement important de certaines capacités intellectuelles en limite d’autres.
Dans le cas présent on est dans l’exceptionnel. Le suicide plus tard est sans doute un signe particulier qui pourrait expliquer son comportement irresponsable.
Ce ne sont que des hypothèses et je me garderai de juger n’ayant, de plus, que très peu d’informations sur cette affaire et une ignorance complète du contexte.
Les stress tests sont toujours très constructifs pour les questions qui touchent à la sécurité. En l’occurrence, hormis une humiliation subie par la NASA, il n’y a guère eu de dommage. Peut-être en aurait-il été autrement si le système avait été hacké par une puissance hostile…
Ce que je trouve le plus dommage, c’est que l’histoire se termine par le suicide de ce jeune garçon. 
Ça me fait penser à au hacker Aaron Swartz qui a fait beaucoup de choses bien pour Internet (RSS, Creative Commons, markdown, reddit,...) fr.wikipedia.org/wiki/Aaron_Swartz
Et qui s'est suicidé en amont de son procès pour lequel il avait essayé de "libérer" des publications scientifiques.
Mais le plus désolant :
starecat.com/content/wp-content/uploads/meta-illegaly-downloaded-books-to-train-ai-models-aaron-swartz-downloaded-articles-from-jstor-faced-fine-took-his-own-life-in-2013.jpg
Tous les commentaires (14)
Et à part l'adrénaline ou le goût de l'exploit, quel intérêt de mettre des gens en danger ainsi?
Le plus premier ?
Se valoriser avec une inconscience des conséquences.
À 15 ans, la perspective de « après » est encore très limitée. L’horizon se limite à un ou deux mois avec des + et des -.
C’est pourquoi il existe une justice pénale des mineurs.
Peut-être aussi qu’un développement important de certaines capacités intellectuelles en limite d’autres.
Dans le cas présent on est dans l’exceptionnel. Le suicide plus tard est sans doute un signe particulier qui pourrait expliquer son comportement irresponsable.
Ce ne sont que des hypothèses et je me garderai de juger n’ayant, de plus, que très peu d’informations sur cette affaire et une ignorance complète du contexte.
Les stress tests sont toujours très constructifs pour les questions qui touchent à la sécurité. En l’occurrence, hormis une humiliation subie par la NASA, il n’y a guère eu de dommage. Peut-être en aurait-il été autrement si le système avait été hacké par une puissance hostile…
Ce que je trouve le plus dommage, c’est que l’histoire se termine par le suicide de ce jeune garçon. 
On rappellera à toute fin utile que télécharger du code source, ça ne met absolument personne en danger.
Ça me fait penser à au hacker Aaron Swartz qui a fait beaucoup de choses bien pour Internet (RSS, Creative Commons, markdown, reddit,...) fr.wikipedia.org/wiki/Aaron_Swartz
Et qui s'est suicidé en amont de son procès pour lequel il avait essayé de "libérer" des publications scientifiques.
Mais le plus désolant :
starecat.com/content/wp-content/uploads/meta-illegaly-downloaded-books-to-train-ai-models-aaron-swartz-downloaded-articles-from-jstor-faced-fine-took-his-own-life-in-2013.jpg
La modération a été piratée.
Alors ce jeune homme n’a mis personne en danger. Il a probablement voulu « s’amuser » à rentrer sur le réseau de la nasa et a eu accès à des fichiers auquel il n’aurait pas dû/pu accéder. En tant que tel les fichiers ne vont tuer personne si on en télécharge une copie.
Après ça la fout mal pour la NASA niveau sécurité c’est sûr…
Mauvaise traduction de ''the very first'' ?
Il s'est probablement suicidé d'une balle dans le dos.
Cela me fait penser au "suicide" de Christian Jambert, de 2 balles dans la tête...
En lisant les sources, on découvre que ce fameux code source contrôlait la température et le taux d'humidité au sein de la station spaciale internationale.
Même s'il n'a pas pu d'intentions malveillantes, il pouvait théoriquement mettre les astronautes en danger.
Ça ne marche pas comme ça.
Je pense à une Fake.
Corroborée dans l'esprit des gens par toutes ces séries où des informaticiens très originaux ou très banals retrouvent des infos en trois minutes en tapant sur le clavier et en ouvrant des fenêtres où défilent des octets (Je n'ai pas osé écrire Bits) comme dans matrix.
Je ne suis pas sûr de moi. Merci