Paul Ricard a su user de toutes les ficelles publicitaires et commerciales pour promouvoir sa boisson anisée. Pour s’assurer le soutien des serveurs, l’une d’entre elles consistait à glisser une pièce de monnaie entre le goulot et le bouchon de la bouteille, ce qui constituait un premier pourboire pour les serveurs.
Tous les commentaires (66)
Leader mondial des ventes d'alcool et donc responsable d'un paquet de décès ! Y a pas que l'industrie du tabac ;)
Je me souviens d'un concert totalement gratuit à l'arsenal de Toulon en 1995 ou 1996 . C'est " Paul Ricard " qui avait tout payé. Surtout qu'il y avait James Brown et De Palmas.Donc grand merci a ce Monsieur, même si je ne raffole pas du pastis .
C'est la sortie par laquelle sort le liquide contenu dans la bouteille.
L'économie s'en est ressenti!! Penser à M.Pagnol avec ts ses acteurs comme Raimu César Escartefigue.... c aussi penser à Pamères il aneth i
Je cite : "Bendor fut la création d'un bâtisseur et mécène enthousiaste, les Embiez l'oeuvre de l'amoureux de la mer et de la nature".
Si vous aimez Paul Ricard, lisez son autobiographie : "la passion de créer"
C'est aussi le but de la bombe nucléaire ??? Ah ben oui, c'est évident. Les Américains se sont dit: "On va envoyer une bombe sur Hiroshima comme ça nous auront la paix !!!". Tiens mon voisin fait trop de bruit. Quelqu'un aurait une AK47 afin que je puisse dormir en paix ??? Ou alors comme le dit le proverbe " Qui veut la paix, prépare la guerre". Donc oui, tu dois avoir raison, les armes sont faites pour préserver la paix. Et en allant dans ce sens, les guerres aussi d'ailleurs. Mais bon, entre la pièce de monnaie cachée dans la bouteille, et les armes, il y a quand même un grand vide.
Je trouve l idée vraiment intéressante, c est un bon incitant! Il suffit parfois de peu pour obtenir de bons résultats
rip Paul
Je n'ai jamais abusé du Ricard, il a toujours été consentant !
S'il est évident que le Ricard (créé en 1932) et le Pastis 51 (lancé en 1951, ce qui explique son nom) étaient initialement produits par deux entreprises différentes (respectivement Ricard et Pernod), il n'est pas question de "rachat" mais d'une fusion des deux compagnies pour former le quasi-monopolistique Pernod Ricard en 1975.
Que Marie Brizard range son anisette, elle n'a rien à voir là-dedans : c'est une filiale de Belvédère.
Source: Ma consommation quotidienne.