Plusieurs espèces d'araignées légères peuvent se servir de leur fil de soie pour se déplacer en volant. Elles sécrètent ce fil qui leur sert de voile à la manière d'un cerf-volant et la prise au vent emporte l'animal qui peut voyager par les airs sur des centaines de kilomètres. La destination du voyage se fait au gré du vent et est donc aléatoire, elles peuvent ainsi se retrouver au large en plein océan.
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Une fois un impact arrete (ou ralenti dans sa penetration) le gilet/plaque perd enormement de son efficacite.
Le vent nous portera ..
Concernant le problème qui nous occupe, je dois admettre qu'il y a une chance que du fait de la supercontraction, l'humidité puisse ne se transmettre que par capillarité, et non noyer le gilet de soie. Il me semble qu'il faudrait quantifier les deux phénomènes pour voir lequel prend le pas sur l'autre. Là a priori, je n'en sais rien, j'irai poser la question à qui de droit si j'ai le temps dans la semaine. Mais tu soulèves un point intéressant et ce n'est peut-être pas aussi trivial que ce que je pensais.
Pour ce qui est de la non réutilisation du gilet pare-balle, citée par quelqu'un d'autre, j'y avais pensé, mais ce n'est pas à mon avis un argument valide, pour une raison assez simple : le type ne choisit pas le moment où il va se faire tirer dessus. Et donc il y a de bonnes chances qu'il ne puisse pas enlever son gilet directement après avoir pris une balle. Et même si c'est rare, c'est quelque chose dont il faut tenir compte. Surtout maintenant que les guerres ne font que quelques morts. D'un point de vue cyniquement politique, chaque mort compte désormais, et leur façon de mourir aussi.
Par contre, le soucis de l'eau reste valable (même si on oublie le trou) : pour ce qui serait d'un "emballage" hermétique (comme proposé par la première personne), un simple trou suffirait à noyer le gilet ; tandis qu'un une couche hydrophobe est toujours physiquement fragile, et les conditions de terrain d'un militaire font qu'on ne peut pas nécessairement éviter les accros, partout.
Je pense que ce coup-ci on ne pourra pas me reprocher d'avoir été expéditif !
Écrasé sur environ un cm de diamètre.
Remarques :
- Il est peu probable qu'immédiatement après t'avoir sauvé la vie, ton gilet se fasse tremper. Quand bien même, si tu devais traverser une rivière, tu pourrais toujours le retirer ou mieux : simplement disposer une couche de scotch imperméable sur le petit trou.
- Un gilet par balle conventionnel est de toute façon à utilisation unique.
Question : Même si le gilet était immédiatement mouillé après l'impact, qu'est ce qui t'indique que ce minuscule trou d'un cm fasse se recroqueviller sa structure entière en un instant ?
Je continuerai volontiers le brainstorming mais je crois qu’on commence sérieusement à taquiner le HS, là… ;)
Et les gars on a trouvé pire qu'une araignée classique
De mon point de vue une solution est un gilet compartimenté. En gros, on mime la répartition musculaire du corps humain pour disposer des bouts de soie autour d'une grille préalablement bien conçue.
L'avantage : tout stress subit par une des parties est compensé par la capacité d'étirement des autres (qui restent secs car dans un autre compartiment).
L'inconvénient : pour ne pas avoir à les faire sur mesure il faudrait multiplier le nombre de compartiment, c'est à dire la quantité de métal, donc le poids, donc diminuer l'intérêt de la soie.
(Ce genre de HS, ça ne dérange pas je pense, d'autant plus que ça reste sur les araignées, et que c'est déjà une anecdote "vieille")
Si je ne me trompe pas, cette technique s' appele le balooning.
Ceci dit, d'accord avec toi , une piqûre de moustique c'est l'enfer...
Un bon bol d'air ça vous dit ?
J'ai beau avoir un peu peur des araignées, mais quand on s'y intéresse un peu c'est fascinant .. A taper dans la recherche des anecdotes au plus vite pour les nouveaux venus !