youtu a écrit : Douleur aïgue dans la poitrine lors d'un exercice physique?
N'es tu pas allé voir un médecin pour cela? ça peut être le symptome de problèmes cardiaques entre autre.

Le sport stimule naturellement les défences immunitaires et la production d'hormones (dopamine, etc...). Notamment l9;endorphine qui est l'hormone du plaisir. Toute activité stimulant la production de cette hormone (physique, sexuelle...) peut entraîner une dépendance et les aléas qui vont avec comme la dépression, sd de seuvrage...
Concernant la drogue et la dépendance, le tout n'est pas de savoir combien de fois vous vous shootez par mois/an mais surtout de connaitre l'intervalle entre deux prises de drogue (sniffer 20 fois de la cocaine par an avec a chaque fois 2/3 semaines d'écart et "moins risqué" que d'en sniffer 20 fois par an avec 4/5 jours d'écart). Afficher tout Justement c'est l'inverse c'est quand je fais rien que j'ai mal, c'est pas cardiaque mais on sait pas ce que c'est :)

JimGhoster a écrit : J'ai vu un mec en soirée qui faisait des pompes devant des filles alors j'ai pense qu'il faisait son beau donc j'ai fais des abdos pour concurrence puis après quelques exercices vient me voir et demande :
- T'es bigorexir ?
J'ai cru qu'il parlait chinois ou arabe donc j'ai chercher sur Google puis j'ai répondu :
- Euh... Et toi ? Tu drague les filles.
- Nop i'am Gay
Puis je n'ai plus jamais revu ce mec ... Normal on peut pas voir son cul quand on s'est fait viol ... Afficher tout Si encore c'était écrit en français, ça aurait peut être pu être drôle...

mecrub187 a écrit : Je pensais aussi en être atteint mais en fait c'est pire, je suis atteint du syndrome de l'image de soi:-) . Quand je ne fais pas de sport mon cerveau m'envoie tout de suite un message où plutôt une image de moi peu gratifiante dans laquelle je suis gros (et je vous jure que c'est vrai ). Donc je me sens obligé de me dépensé dans une activité sportive destinée à brûler des calories. Je sais pas si cela a un nom ni même s'il s'agit d'une maladie mais j'en souffre terriblement. ;-( Afficher tout Si tu sais que ce n'est qu'une "image", tu peux te débarrasser facilement de ce problème.
Tu peux toujours demander, de temps à autre, à tes amis comment ils te trouvent car, à priori, ils ne te mentiront pas.
En dernier recours, tu peux consulter un psychologue. Vu que tu es conscient que ce n'est qu'une "image", je pense qu'il ne te faudrait que quelques consultations pour régler ce problème.

En espérant avoir pu t'aider ^.^

mecrub187 a écrit : Je pensais aussi en être atteint mais en fait c'est pire, je suis atteint du syndrome de l'image de soi:-) . Quand je ne fais pas de sport mon cerveau m'envoie tout de suite un message où plutôt une image de moi peu gratifiante dans laquelle je suis gros (et je vous jure que c'est vrai ). Donc je me sens obligé de me dépensé dans une activité sportive destinée à brûler des calories. Je sais pas si cela a un nom ni même s'il s'agit d'une maladie mais j'en souffre terriblement. ;-( Afficher tout Tu ne serais pas un peu timide aussi ? Ce genre de "syndrome" viens souvent d'un ou plusieurs épisodes dans ton passé, essay déjà de savoir lesquels (c'est souvent ce que fait un psy au début) ça devrait t'aider un peu. Sinon essaye de ne pas faire de sport quand tu pense y être obliger, c'est bizarre comme conseil mais en voyant que finalement ça change pas grand chose tu te sens moins "obligé" d'en faire =)

Ce sont surtout des drogués puisque au bout d'un moment le corps fabrique de l'adrénaline et pour se sentir bien ils doivent avoir leur dose

Papinourson a écrit : Très présente dans le milieu de la musculation La musculation n'est pas un sport d'endurance

SpringFlower a écrit : Merci de ton témoignage qui illustre bien le sujet !
Tu parles d'une accentuation de ton besoin de faire du sport au collège , il y a donc au moins 4 à 7 ans que ça a commencé pr toi. Mais depuis quand as tu pu mettre un nom sur ce qu'il t' arrivait ( envie compulsive d'aller te défouler sportivement et irritabilité, mal être en cas de "manque", si je peux formuler les choses ainsi, mais corrige moi si je me trompe) ? Car ce n'est pas forcément évident de voir et d'évoquer les choses comme un truc anormal quand on le vit, et de tomber sur une personne qui connait le sujet.
Et après le diagnostic, t'a t-on conseillé des solutions pour essayer d'atténuer les choses, ou tout du moins pour que ça ne prenne pas plus d'ampleur à l'avenir?
En tout cas, avec une école prépa, c'est une solution comme une autre de se vider la tête, et probablement sans trop de conséquences négatives sur tes études !( alcool ou drogue signeraient sûrement la fin de ta prepa...disons que ton addiction est plus "saine" pour toi, et c'est tant mieux ( même si je conçois très bien que toute addiction a des conséquences négatives ). Bon repos estival (de tes méninges en tout cas !) Afficher tout Alors au début je pensais que c'était une envie normale, beaucoup de gens aiment faire du sport ! Mais vers le lycée (première je dirais) j'ai compris que ça devenait maladif vu les conséquences (dès que possible courir, même en cours...), mais j'ai fais avec, je n'ai jamais voulu voir de médecin.
Parce que malgré les défauts de cette addiction, j'adore le sport et je vis très bien avec donc je ne veux en aucun cas changer, je suis heureux.
Quant à une évolution, je n'ai pas vu de changements depuis, j'effectue toujours autant de sport, sauf plus en période de vacances, les problèmes sont toujours les mêmes donc je gère très bien.

Sawvage a écrit : La musculation n'est pas un sport d'endurance De 1 : il est dit dans l'anecdote : souvent présente dans les sports d'endurance. Dans souvent j'entends par la 80%, donc 20% restant --> musculation.
De 2 : je te met au défi de prendre une barre très peu chargée et de faire des squats (debout, fléchir les jambes, ce relève) et d'ose me dire que ton cœur suis.

roxxorkillu a écrit : Alors au début je pensais que c'était une envie normale, beaucoup de gens aiment faire du sport ! Mais vers le lycée (première je dirais) j'ai compris que ça devenait maladif vu les conséquences (dès que possible courir, même en cours...), mais j'ai fais avec, je n'ai jamais voulu voir de médecin.
Parce que malgré les défauts de cette addiction, j'adore le sport et je vis très bien avec donc je ne veux en aucun cas changer, je suis heureux.
Quant à une évolution, je n'ai pas vu de changements depuis, j'effectue toujours autant de sport, sauf plus en période de vacances, les problèmes sont toujours les mêmes donc je gère très bien. Afficher tout Tu as dit le mot rassurant : je suis heureux, et bien c'est cela qui compte !
Et que cette anecdote sur SCMB puisse t'aider à rester vigilant malgré tout, si un jour tu sens que tu n'arrives plus trop à gérer, si ça te coupe un peu de ton entourage, ou si tu frises la grosse déprime ...ce que je ne te souhaite pas du tout ! Et bonne toute à toi dans tes études et dans ta vie :)

L'avantage c'est qu'on peut reconnaître ceux qui n'en sont pas atteints...

Je la veux bien pour qq mois tout de même

Et bien moi ça ne m'arrivera jamais !!! (Je ne fais pas de sport et je m'en porte très bien)

Nibaloo a écrit : Moi aussi je me sens pas pas bien quand je fais pas de sport, douleur aiguë dans la poitrine... Mais c'est plus parce que je deviens un légume a forcé de ne rien faire (les vacances de 3 mois c'est beaucoup trop) en tout cas le terme est un peu bizarre parce que justement bigo ça fait pas sport quelqu'un sait a quoi ça correspond ? Afficher tout 3 mois de vacances? Mon pauvre la vie est pas facile je te comprend..

au moin les poulet te font pas chier comme sa

SpringFlower a écrit : Le mot vient d'un mélange surprenant d'anglais "Big" (gros) et de grec "orexis" pour appétit . Par gros appétit, on pourrait du coup s'attendre à comprendre Boulimie, le contraire de l'anorexie. Mais il n'en est rien puis que tel n'est pas le sens du mot, et puisqu9;en général les sportifs ont plutôt la ligne !
Explications :
D'après différentes lectures sur ce sujet, il semblerait que le mot soit apparu dans le monde du body building :
En fait, les anglais utilisent Big pour dire grand ou gros , mais en français nous avons 2 mots au sens distinct.
Le sens anglais ayant conduit à la création de ce mot va plutôt vers celui d'une forte envie ( appétit au sens large ) d'avoir de beaux gros muscles (Big), notamment en pratiquant le culturisme. D'où l'addiction à la pratique d'un sport, destinée à rendre les muscles plus gros. Le sens aurait ensuite été élargi à la pratique de n'importe quel sport.

Mais voilà un lien pouvant apporter un éclairage sur l'étymologie de ce drôle de mot :) (déjà utilisé en 2009) :

www.etymo-logique.com/le-mot-du-jour/bigorexie/ Afficher tout Ils aurait pu choisir un mot plus simple quand même... Mais c'est intéressant ^^

Loterline a écrit : Pas forcément car la bigorexie reste une maladie comme les autres avec ses propres symptômes et ses propres conséquences. Souvent considèrent comme une maladie positive, elle n'en reste pas moins dangereux pour l'homme avec de graves conséquences comme n'importe quelle maladie.

Comme le dit la source: "Etat dépressif en cas de sevrage, comportement « jusqu’au-boutiste » occasionnant des blessures graves voire irréversibles, délaissement de la vie familiale et professionnelle conduisant parfois à des divorces et à des pertes d’emploi, les souffrances physiques et psychologiques sont souvent extrêmes." Afficher tout Phénomènes liés à la suralimentation aussi..

Vivre avec quelqu'un atteint de bigorexie est difficile. Un père par exemple. Etant cycliste depuis son plus jeune âge, il abandonna ses études pour suivre sa "passion". S'étant vu fermer les portes du milieu pro, car n'ayant pas le niveau (ou n'étant pas un irréductible gaulois ;p), il continua de pratiquer à forte dose le vélo. Le dépassement de soi étant une caractéristique très courante chez les sportifs, il devint carriériste et réussi même à atteindre de hautes responsabilités professionnellement sans diplômes, ni études. N'ayant plus de contraintes d'horaires et les moyens de s'offrir des "jouets" de pro, il passait tout son temps libre sur ses deux roues. Conséquences : il était violent avec son fils qui était plus cérébrale que sportif (ce qui l'empêcha même de constater que celui ci avait une intelligence supérieur à la moyenne), lorsqu'il ne pouvait pas pratiquer son sport, il devenait encore plus violent. Donc, climat familiale totalement dégradé. Et pour parfaire le tout : à quarante ans, il dû abandonner la moto (une de ses passions) pour cause de problèmes lombaires causés par sa pratique trop intensive du cyclisme. Et à cinquante ans le vélo également. Car son dos lui faisant souffrir le martyr, il doit se faire faire assez régulièrement des injections de morphine (les anti-douleurs plus faibles ne servants plus à rien), pour ne serai ce pouvoir continuer à faire tourner sa société. C'est une véritable maladie qui nuit gravement à la personne, mais aussi à son entourage. Et il n'y a pas de petits messages de prévention devant les magasins de sports ou les salles, etc... . On nous dit mangez/bougez mais on ne nous dit pas que les deux sont dangereux avec excès. Mais simplement tout pratiquer avec abus est dangereux, même respirer.

Je suis unbon sportif, et je pratique le skate (depuis 13ans) 2fois par semaines 4h consécutifs... Si j'ai pas ma dose d'essoufflement ou bien d'adrenaline (surmonter sa peur) j'suis pas tres bien ceci m'arrive quand je ne pratique pas de sport au bout d'une semaine. (J'pense pas avoir cette maladie biensure mais pour dire que ça peut s'tenir...)

dans une même ville j'ai deja connu 2 cas. c'est pas si rare ce type de dépendance.