Alfred Velpeau fut un chirurgien français qui inventa la bande de contention Velpeau, encore utilisée de nos jours. Parmi les expériences qu'il pratiqua, une a été de demander à un condamné à mort qui allait être guillotiné de lui faire un clin d'oeil une fois la tête coupée.
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On a pas de photo ? Dommage
Mais ce qui est bien plus important et grave que ces peccadilles, c'est d'afficher une contre-façon de mon image!!!
(appelée sur ce site, je ne sais pourquoi, "avatar")
Dommage que le châtiment dont on parle n'existe plus! Il est cependant question de l'adopter dans certains États des USA, la triple injection (insensibilisation, puis paralysie, puis dose léthale - je n'ai jamais compris pourquoi on ne commençait pas par la fin) s'étant révélée parfois particulièrement cruelle (produits non testés, une demi-heure d'agonie).
D'après certaines sources il n'a pas inventé la bande velpeau mais juste amélioré.. passiongenealogie.hautetfort.com/archive/2011/06/02/la-bande-velpeau.html
journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0016514
Apres activité cérébrale c'est pas tout à fait conscience et notre cerveau demande bien plus d'oxygène, donc de sang mais on a bien quelques secondes :)
Pour les exemples, j'ai lu ça à droite à gauche, Charlotte Corday de mémoire mais y'a sûrement beaucoup de réflexes (clignements etc) surinterprétés!
Ce medecin voulait savoir si l'on mourait immédiatement par décapitation ou pas. Il avait donc demandé au condamné de cligner 3 fois des yeux après avoir eu la tête tranché. Il n'y a eu que 2 clignements. Ainsi, à moins d'un autre volontaire, difficile de dire si une tete séparée du reste est encore consciente !
Pour les autres c était la hache (je rappelle qu en fonction de la somme versée au bourreau, il décapité en 1 (tres bien payé) 2, 3 voir plus
- Saint-Mars, ex-"favori" de Louis XIII
en.wikipedia.org/wiki/Henri_Coiffier_de_Ruz%C3%A9,_Marquis_of_Cinq-Mars
- Marie Stuart, dont il est notoire qu'elle n'a cessé de prier qu'au troisième coup de hache, la tête étant enfin séparée. Certainement pas une cruauté voulue d'Elizabeth I, qui rechignait beaucoup à faire exécuter sa demi-sœur, ointe Reine d'Écosse, même quand sa correspondance chiffrée - et déchiffrée - prouvait indubitablement qu'elle trempait dans un complot pour l'assasiner (il a fallu lui faire croire que des troupes catholiques avaient débarqué au Pays de Galles).
D'ailleurs les bourreaux tenaient à leur réputation professionnelle: s'ils étaient maladroits, ils se faisaient huer et devaient s'inscrire au chômage.
Là où l'on pouvait payer le bourreau, c'était pour être discrètement étranglé quand on était attaché sur le bûcher.
Et ducoup il l'a pécho ?
En fait le cerveau est encore irrigué par le sang et donc oxygéné pendant quelques secondes après décapitation, le temps que le sang se vide de la tête (amis gorges bonsoir) .