Le signe égal (=) a été inventé en 1557 par Robert Recorde dans son livre "The Whetstone of Witte" (La Pierre à aiguiser l'esprit), pour éviter la répétition fastidieuse de l'expression "est égal à". Selon lui, rien ne pouvait être plus égal que deux segments parallèles et de même longueur, d'où l'apparence du signe actuelle.

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Je ne donne aucune leçon d'orthographe dans ce commentaire... peut être avait vous mal lu, mais j'explique justement mes difficultés à écrire correctement et défend des personnes traiter d 'incultes. Et puis franchement l'orthographe change le fond du discours ? A mon avis non.
Sache que pour nénuphar ou nénufar il y a plus à en vouloir à nénuphar qu'à nenufar d'après ce que j'ai pu lire sur Wikipedia, j'invite fortement à aller consulter la page en question sur l'éthymologie du mot. J'ai trouvé ça intéressant et ça remet un peu en cause toute la contestation sur cette réforme. Et avant de traiter les autres d'incultes savoir se renseigner aussi est une bonne chose, et qui plus est la langue évolue et honnêtement apprendre deux ou trois mots en plus ce n'est pas bien grave. C'est même enrichissant la preuve j'ai découvert son éthymologie alors que je ne m'y etais jamais intéressé pour nénufar.
Mon exemple est exact.
Si l'un est dans R et l'autre dans C, cela signifie que les uns s'écrivent avec une partie imaginaire nulle et l'autre. N'en a tout simplement pas. Ce qui n'est justement pas la même chose, ce que je voulais démontrer.. On aurait donc 0i +1 , 0i +2, 0i +3 et de l'autre côté 1,2,3...
Oui mais un élément de C dont la partie imaginaire est nul s'appel un réelle (c'est l'une des définition des réelles) en opposition à un élément dont la partie réelle est nul appelé imaginaire pure, d'ou mon interrogation sur ton exemple. J avais d ailleurs demandé à mon prof de maths (classe prépa) à l époque de ton commentaire, qui était plutôt d accord avec moi. Après je n'ai pas cherché à croiser les sources.
Puisqu'une discussion interessante a lieu, je me permet de donner mon avis et je vous invite à me dire ce que vous en pensez.
Nous sommes dans une situation où deux ensembles {1,2,3} ont été formés mais dont l'un est formé de complexes et l'autre de réels. Il se trouve que R et C sont clairement des ensembles différents. Ils n'ont pas la même dimension et on a en fait C qui est en bijection avec R^2. On a R en inclusion stricte dans C (R plonge dans C) et CinterR=R. Vous avez très justement remarqué à votre façon que les éléments de l'image de la corestriction de l'application R^2->C;(a,b)|->z aux complexes de partie imaginaire nulle correspondait aux réels.
Voilà mon avis: les deux ensembles sont égaux, car on a des éléments qui sont égaux dans les deux ensembles puisqu'ils s'agit de réels (et même d'entiers naturels), soit tout simplement:
1=1+0i et (1;1+0i)€R^2
2=2+0i et (2;2+0i)€R^2
3=3+0i et (3;3+0i)€R^2
Ouais bof .... étant très simple d'esprit je n'ai pas compris réellement le sens de ton commentaire.mais peut-être que quelqu'un expliquera ou argumentera ce dernier
Fainéantise...ben voyons..
L’apparence du signe actuel.
L’apparence actuelle du signe.
Me trompe-je?
Bien joué, belle leçon!