Un joueur de baseball handicapé a réussi à être professionnel chez les valides

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Jim Abbott était un joueur de baseball atypique. Venu au monde sans main droite, il a pourtant réussi à devenir joueur de baseball professionnel en tant que lanceur titulaire ! Il mettait un gant pour gaucher sur son bras droit et l'enfilait très rapidement sur sa main gauche après avoir délivré son lancer. Il joua 10 saisons en MLB et accomplit une très belle carrière. En 1991 il fut par exemple classé 3e meilleur lanceur de la ligue.

Au summum de sa forme, son lancer de balle pouvait dépasser les 150km/h.


Commentaires préférés (3)

Cette anecdote laisse en suspend un vrai délicat problème sur les performances des "handicaps" face aux "valides"...
En effet, si en sports d'équipes il n'y a pas photo, les performances "handicapés" sont tout à fait remarquables et cette anecdote montre comment le gars a dû s'adapter... Coup de chapeau sans état d'âme... Ce n'est plus le même débat en sports individuels ; je m'explique... Cet athlète (dont j'ai oublié le nom) qui courrait avec des "valides" équipé de jambes artificielles ; s'il avait réalisé un record, aurait-il fallu tenir compte de ce record ? Je suis persuadé que dans très peu de temps on trouvera des "équipements" capables de battre largement des jambes (ou autres) de valides, qui permettront de courir plus vite, de sauter plus haut, de lancer plus loin...
D'un côté je me dis que ça ne peut pas être homologué parce qu'il y a "équipement" qui aide... Et de l'autre je me dis que c'est dégueulasse de ne pas intégrer le "handicap" aux compétitions "valides", dès lors qu'il devient très compétitif.
J'ai du mal à trancher...

a écrit : Cette anecdote laisse en suspend un vrai délicat problème sur les performances des "handicaps" face aux "valides"...
En effet, si en sports d'équipes il n'y a pas photo, les performances "handicapés" sont tout à fait remarquables et cette anecdote montre comment le gars a d
û s'adapter... Coup de chapeau sans état d'âme... Ce n'est plus le même débat en sports individuels ; je m'explique... Cet athlète (dont j'ai oublié le nom) qui courrait avec des "valides" équipé de jambes artificielles ; s'il avait réalisé un record, aurait-il fallu tenir compte de ce record ? Je suis persuadé que dans très peu de temps on trouvera des "équipements" capables de battre largement des jambes (ou autres) de valides, qui permettront de courir plus vite, de sauter plus haut, de lancer plus loin...
D'un côté je me dis que ça ne peut pas être homologué parce qu'il y a "équipement" qui aide... Et de l'autre je me dis que c'est dégueulasse de ne pas intégrer le "handicap" aux compétitions "valides", dès lors qu'il devient très compétitif.
J'ai du mal à trancher...
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je n'ai rien contre le handicap mais je ne pense pas que mélanger les deux catégories soient une bonne idée. Comme tu le dis, la personne avec 2 prothèses courrait plus vite que les autres, pour moi, elle est aidée, donc cela ne va pas... En revanche si les invalides ne sont pas aidés, pourquoi pas ! Comme ici : le mec a une main en moins, mais on s'en fou, il a besoin que d'une main pour lancer. Alors la, oui, il faut les intégrer (comme cela a été fait pour lui). Comme un lanceur de fléchette avec une main en moins !

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a écrit : Cette anecdote laisse en suspend un vrai délicat problème sur les performances des "handicaps" face aux "valides"...
En effet, si en sports d'équipes il n'y a pas photo, les performances "handicapés" sont tout à fait remarquables et cette anecdote montre comment le gars a d
û s'adapter... Coup de chapeau sans état d'âme... Ce n'est plus le même débat en sports individuels ; je m'explique... Cet athlète (dont j'ai oublié le nom) qui courrait avec des "valides" équipé de jambes artificielles ; s'il avait réalisé un record, aurait-il fallu tenir compte de ce record ? Je suis persuadé que dans très peu de temps on trouvera des "équipements" capables de battre largement des jambes (ou autres) de valides, qui permettront de courir plus vite, de sauter plus haut, de lancer plus loin...
D'un côté je me dis que ça ne peut pas être homologué parce qu'il y a "équipement" qui aide... Et de l'autre je me dis que c'est dégueulasse de ne pas intégrer le "handicap" aux compétitions "valides", dès lors qu'il devient très compétitif.
J'ai du mal à trancher...
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Je pense que tu voulais parler de l'athlète Oscar Pistorius. Pour compléter un peu ton raisonnement, je vais t'apporter quelques éléments de réponse, libre a toi de garder ton opinion. Oscar Pistorius était un athlète concourant a la base avec les invalides, et devant ses performances exceptionnelles, il fit la demande de concourir avec les valides. Ce ne fut pas un exercice facile car il dut apporter la preuve que ses jambes artificielles n'étaient pas "meilleures" que des jambes organiques. J'ai eu la chance d'étudier à la fac avec l'un des chercheurs en biomécanique qui a participé la validation de cet athlète parmi les valides. La réalité c'est que finalement, un seul type de "lame" a été validé pour que Oscar puisse participer avec les valides. Ces dites lames ne peuvent pas être modifiés d'une quelconque façon. En effet, les qualités biomécaniques de ces lames ont été testés inférieurs aux qualités biomécaniques d'une jambe réelle, y compris la prise en compte de la fatigue musculaire absente des lames. En conclusion, on peut dire que cet athlète partait réellement avec un handicap. Juste pour être le plus complet possible, l'année ou il a obtenu sa validation pour concourir avec les valides, Oscar Pistorius a passé tellement de temps dans les laboratoires, avec les biomécaniciens et dans les différentes commissions qu'il a finalement perdu énormément de temps d'entrainement, ce qui lui a valu de ne pas être qualifié pour les phases finales des JO valides. Et bien-sur le débat est maintenant clos depuis qu'il est en prison pour avoir abattu sa femme en 2013... Merci à ceux qui n'auront pas décroché !


Tous les commentaires (26)

On dirait bien que les serveurs ont redeconné hier. En espérant que ce soit résolu

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Cette anecdote laisse en suspend un vrai délicat problème sur les performances des "handicaps" face aux "valides"...
En effet, si en sports d'équipes il n'y a pas photo, les performances "handicapés" sont tout à fait remarquables et cette anecdote montre comment le gars a dû s'adapter... Coup de chapeau sans état d'âme... Ce n'est plus le même débat en sports individuels ; je m'explique... Cet athlète (dont j'ai oublié le nom) qui courrait avec des "valides" équipé de jambes artificielles ; s'il avait réalisé un record, aurait-il fallu tenir compte de ce record ? Je suis persuadé que dans très peu de temps on trouvera des "équipements" capables de battre largement des jambes (ou autres) de valides, qui permettront de courir plus vite, de sauter plus haut, de lancer plus loin...
D'un côté je me dis que ça ne peut pas être homologué parce qu'il y a "équipement" qui aide... Et de l'autre je me dis que c'est dégueulasse de ne pas intégrer le "handicap" aux compétitions "valides", dès lors qu'il devient très compétitif.
J'ai du mal à trancher...

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En effet, si en sports d'équipes il n'y a pas photo, les performances "handicapés" sont tout à fait remarquables et cette anecdote montre comment le gars a d
û s'adapter... Coup de chapeau sans état d'âme... Ce n'est plus le même débat en sports individuels ; je m'explique... Cet athlète (dont j'ai oublié le nom) qui courrait avec des "valides" équipé de jambes artificielles ; s'il avait réalisé un record, aurait-il fallu tenir compte de ce record ? Je suis persuadé que dans très peu de temps on trouvera des "équipements" capables de battre largement des jambes (ou autres) de valides, qui permettront de courir plus vite, de sauter plus haut, de lancer plus loin...
D'un côté je me dis que ça ne peut pas être homologué parce qu'il y a "équipement" qui aide... Et de l'autre je me dis que c'est dégueulasse de ne pas intégrer le "handicap" aux compétitions "valides", dès lors qu'il devient très compétitif.
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je n'ai rien contre le handicap mais je ne pense pas que mélanger les deux catégories soient une bonne idée. Comme tu le dis, la personne avec 2 prothèses courrait plus vite que les autres, pour moi, elle est aidée, donc cela ne va pas... En revanche si les invalides ne sont pas aidés, pourquoi pas ! Comme ici : le mec a une main en moins, mais on s'en fou, il a besoin que d'une main pour lancer. Alors la, oui, il faut les intégrer (comme cela a été fait pour lui). Comme un lanceur de fléchette avec une main en moins !

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a écrit : Cette anecdote laisse en suspend un vrai délicat problème sur les performances des "handicaps" face aux "valides"...
En effet, si en sports d'équipes il n'y a pas photo, les performances "handicapés" sont tout à fait remarquables et cette anecdote montre comment le gars a d
û s'adapter... Coup de chapeau sans état d'âme... Ce n'est plus le même débat en sports individuels ; je m'explique... Cet athlète (dont j'ai oublié le nom) qui courrait avec des "valides" équipé de jambes artificielles ; s'il avait réalisé un record, aurait-il fallu tenir compte de ce record ? Je suis persuadé que dans très peu de temps on trouvera des "équipements" capables de battre largement des jambes (ou autres) de valides, qui permettront de courir plus vite, de sauter plus haut, de lancer plus loin...
D'un côté je me dis que ça ne peut pas être homologué parce qu'il y a "équipement" qui aide... Et de l'autre je me dis que c'est dégueulasse de ne pas intégrer le "handicap" aux compétitions "valides", dès lors qu'il devient très compétitif.
J'ai du mal à trancher...
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C'est tout l'intérêt de catégories : comparer ce qui est comparable.

Catégoriser, ce n'est pas forcément dénigrer, tu en donnes l'exemple parfait : un coureur de 100m devra s'adapter à ses lames, probablement utiliser une technique qui leur est propre, pour en tirer le meilleur. A mon sens, il ne peut pas davantage être comparé aux coureurs de 100m "à pied" qu'on ne peut comparer saut à la perche et saut en hauteur... a ceci près que les lames sont loin de fournir un avantage de même ampleur que la perche.

Dans le cas de Jim Abbott, il était capable de tenir le poste de manière parfaitement équivalente à un sans-handicap (et de manière supérieure à beaucoup de sans-handicap !) ; il devait néanmoins beaucoup travailler son enfilage de gant :D

a écrit : Cette anecdote laisse en suspend un vrai délicat problème sur les performances des "handicaps" face aux "valides"...
En effet, si en sports d'équipes il n'y a pas photo, les performances "handicapés" sont tout à fait remarquables et cette anecdote montre comment le gars a d
û s'adapter... Coup de chapeau sans état d'âme... Ce n'est plus le même débat en sports individuels ; je m'explique... Cet athlète (dont j'ai oublié le nom) qui courrait avec des "valides" équipé de jambes artificielles ; s'il avait réalisé un record, aurait-il fallu tenir compte de ce record ? Je suis persuadé que dans très peu de temps on trouvera des "équipements" capables de battre largement des jambes (ou autres) de valides, qui permettront de courir plus vite, de sauter plus haut, de lancer plus loin...
D'un côté je me dis que ça ne peut pas être homologué parce qu'il y a "équipement" qui aide... Et de l'autre je me dis que c'est dégueulasse de ne pas intégrer le "handicap" aux compétitions "valides", dès lors qu'il devient très compétitif.
J'ai du mal à trancher...
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Si les équipements permettent à l'athlète handicapé de concourir au même niveau que les autres sans lui donner un avantage sportif conséquent (comme l'exemple de l'anecdote), alors il devrait tout à fait avoir le droit d'intégrer les compétitions "valides".
Par contre si, au contraire, les équipements désavantagent ou bien avantagent d'une manière non négligeable le sportif handicapé par rapport au sportif "valide", dans ce cas la distinction des compétitions devrait être faite. Tout ceci étant bien entendu mon opinion solennelle sur cette question.

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a écrit : Si les équipements permettent à l'athlète handicapé de concourir au même niveau que les autres sans lui donner un avantage sportif conséquent (comme l'exemple de l'anecdote), alors il devrait tout à fait avoir le droit d'intégrer les compétitions "valides".
Par contre si, au contrai
re, les équipements désavantagent ou bien avantagent d'une manière non négligeable le sportif handicapé par rapport au sportif "valide", dans ce cas la distinction des compétitions devrait être faite. Tout ceci étant bien entendu mon opinion solennelle sur cette question. Afficher tout
Comment mesurer l'apport de certains équipements ? On ne peut pas juste comparer les meilleurs temps des compétiteurs avec et sans équipements. Étant donné que ce ne sont pas les mêmes athlètes avec le même entraînement et tout...
À mon sens, toute compétition valide doit rester ouverte à des personnes handicapées si elles ne sont pas aidées par un matériel supplémentaire (comme dans cette anecdote). Le mec a un très haut niveau de compétitivité sans sa main droite. On ne sait ce qu'il aurait donné avec, mais on ne sait ce qu'Usain Bolt aurait donné s'il mesurait 2 cm de plus ou de moins.
Je trouve le handisport très bien et porteur d'espoir. Seulement, quand on voit l'écart qu'il peut y avoir dans la même catégorie de handicap en athlétisme par exemple, on voit bien que chaque athlète a un handicap bien différent, qui lui est propre, et qu'il faudrait une catégorie par athlète. Et c'est pour ça qu'il y a énormément de catégorie de handicap pour une même discipline. Pour augmenter l'équité. Mais elle n'est pas parfaite.

a écrit : Si les équipements permettent à l'athlète handicapé de concourir au même niveau que les autres sans lui donner un avantage sportif conséquent (comme l'exemple de l'anecdote), alors il devrait tout à fait avoir le droit d'intégrer les compétitions "valides".
Par contre si, au contrai
re, les équipements désavantagent ou bien avantagent d'une manière non négligeable le sportif handicapé par rapport au sportif "valide", dans ce cas la distinction des compétitions devrait être faite. Tout ceci étant bien entendu mon opinion solennelle sur cette question. Afficher tout
Mais comment déterminer si l'équipement avantage ou non la personne ? Comment savoir si l'athlète aurait fait exactement la même performance avec un corps "normal"? Les questions posées sont vraiment intéressantes, et plus compliquées qu'elles ne paraissent.

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a écrit : Cette anecdote laisse en suspend un vrai délicat problème sur les performances des "handicaps" face aux "valides"...
En effet, si en sports d'équipes il n'y a pas photo, les performances "handicapés" sont tout à fait remarquables et cette anecdote montre comment le gars a d
û s'adapter... Coup de chapeau sans état d'âme... Ce n'est plus le même débat en sports individuels ; je m'explique... Cet athlète (dont j'ai oublié le nom) qui courrait avec des "valides" équipé de jambes artificielles ; s'il avait réalisé un record, aurait-il fallu tenir compte de ce record ? Je suis persuadé que dans très peu de temps on trouvera des "équipements" capables de battre largement des jambes (ou autres) de valides, qui permettront de courir plus vite, de sauter plus haut, de lancer plus loin...
D'un côté je me dis que ça ne peut pas être homologué parce qu'il y a "équipement" qui aide... Et de l'autre je me dis que c'est dégueulasse de ne pas intégrer le "handicap" aux compétitions "valides", dès lors qu'il devient très compétitif.
J'ai du mal à trancher...
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Je pense que tu voulais parler de l'athlète Oscar Pistorius. Pour compléter un peu ton raisonnement, je vais t'apporter quelques éléments de réponse, libre a toi de garder ton opinion. Oscar Pistorius était un athlète concourant a la base avec les invalides, et devant ses performances exceptionnelles, il fit la demande de concourir avec les valides. Ce ne fut pas un exercice facile car il dut apporter la preuve que ses jambes artificielles n'étaient pas "meilleures" que des jambes organiques. J'ai eu la chance d'étudier à la fac avec l'un des chercheurs en biomécanique qui a participé la validation de cet athlète parmi les valides. La réalité c'est que finalement, un seul type de "lame" a été validé pour que Oscar puisse participer avec les valides. Ces dites lames ne peuvent pas être modifiés d'une quelconque façon. En effet, les qualités biomécaniques de ces lames ont été testés inférieurs aux qualités biomécaniques d'une jambe réelle, y compris la prise en compte de la fatigue musculaire absente des lames. En conclusion, on peut dire que cet athlète partait réellement avec un handicap. Juste pour être le plus complet possible, l'année ou il a obtenu sa validation pour concourir avec les valides, Oscar Pistorius a passé tellement de temps dans les laboratoires, avec les biomécaniciens et dans les différentes commissions qu'il a finalement perdu énormément de temps d'entrainement, ce qui lui a valu de ne pas être qualifié pour les phases finales des JO valides. Et bien-sur le débat est maintenant clos depuis qu'il est en prison pour avoir abattu sa femme en 2013... Merci à ceux qui n'auront pas décroché !

Dans le cas d'Abbott, on est dans la sphère de l'exceptionnel car, pour ceux qui ne connaissent pas le baseball, le lanceur ne fait pas que lancer. Il participe au jeu défensif. Si la balle est frappé e vers lui, il devra réceptionner enlever son gant, et encore lancer sur base. Vous imaginez toutes les manipulations en plus ??

a écrit : On dirait bien que les serveurs ont redeconné hier. En espérant que ce soit résolu Fort heureusement les pubs elles fonctionnaient super bien. À ce propos fondamentalement les pubs j'ai rien contre c'est ce qu'il fait vivre les développeurs lorsque leur applications sont gratuite cependant il y en a une qui est très vicieuse qui demande si on est d'accord de partager ses données personnelles mais qui a la forme d'un accord concernant les thermes d'utilisation de l'application que tout le monde ne lit quasiment jamais... Alors attention à ceux qui utilise l'application et qui ont ce faut accord d'utilisation de l'application!!! Il ne fait pas cocher la case et accepter si vous ne voulez pas partager vos données personnelles!!!

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a écrit : Cette anecdote laisse en suspend un vrai délicat problème sur les performances des "handicaps" face aux "valides"...
En effet, si en sports d'équipes il n'y a pas photo, les performances "handicapés" sont tout à fait remarquables et cette anecdote montre comment le gars a d
û s'adapter... Coup de chapeau sans état d'âme... Ce n'est plus le même débat en sports individuels ; je m'explique... Cet athlète (dont j'ai oublié le nom) qui courrait avec des "valides" équipé de jambes artificielles ; s'il avait réalisé un record, aurait-il fallu tenir compte de ce record ? Je suis persuadé que dans très peu de temps on trouvera des "équipements" capables de battre largement des jambes (ou autres) de valides, qui permettront de courir plus vite, de sauter plus haut, de lancer plus loin...
D'un côté je me dis que ça ne peut pas être homologué parce qu'il y a "équipement" qui aide... Et de l'autre je me dis que c'est dégueulasse de ne pas intégrer le "handicap" aux compétitions "valides", dès lors qu'il devient très compétitif.
J'ai du mal à trancher...
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Je reste assez sceptique quant à intégré les records des personnes en situation de handicap en athlétisme. Je pense que des prothèses souples en carbone avec un fort potentiel en rebond donneront un gros avantages, et même sans parler de prothèse technique, lama personne ne sent pas la brûlure dans les jambes sur un 400m par exemple. Comme dit plus haut, si cela ne change rien aucun soucis, mais dès lors que l'effort et le ressentis sont différents, les records n'ont pas à être mis dans la même catégorie.

(C'est moi ou sur cette anecdote le symptôme du "je-réponds-sans-lire-les-autres-posts" est plus violent que jamais ?)

Ceux ayant une prothèse aux jambes devraient courir avec les handicapés pour la simple raison qu'ils sont avantagés. Ils ne ressentent pas de douleurs vu qu'ils n'ont pas de jambes... Actuellement ca ne pose pas problème mais si ce genre d'athlète bat un record, ça sera une autre histoire.

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a écrit : Cette anecdote laisse en suspend un vrai délicat problème sur les performances des "handicaps" face aux "valides"...
En effet, si en sports d'équipes il n'y a pas photo, les performances "handicapés" sont tout à fait remarquables et cette anecdote montre comment le gars a d
û s'adapter... Coup de chapeau sans état d'âme... Ce n'est plus le même débat en sports individuels ; je m'explique... Cet athlète (dont j'ai oublié le nom) qui courrait avec des "valides" équipé de jambes artificielles ; s'il avait réalisé un record, aurait-il fallu tenir compte de ce record ? Je suis persuadé que dans très peu de temps on trouvera des "équipements" capables de battre largement des jambes (ou autres) de valides, qui permettront de courir plus vite, de sauter plus haut, de lancer plus loin...
D'un côté je me dis que ça ne peut pas être homologué parce qu'il y a "équipement" qui aide... Et de l'autre je me dis que c'est dégueulasse de ne pas intégrer le "handicap" aux compétitions "valides", dès lors qu'il devient très compétitif.
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Simple. Ne pas les mettre dans les mêmes catégories.
Il ne faut pas confondre accepter et respecter les handicapés, et nier leur différences.
Ça va même souvent en sens contraire si on y réfléchit.

Il ne faut pas non plus oublier que ces équipements sont là pour faire disparaître le handicap (pas le statut d'handicapés, mais la difficulté de la vie) dans la vie de tous les jours.

Dans le cadres des "exploits" physiques ou technologiques, là on n'est plus du tout dans les mêmes circonstances.
Un handicapé sportif professionnel peut très bien exercer son métier dans une catégorie spécifique. En terme d'intégration sociale et professionnelle c'est accompli.
La question de la compétition handicapés/valide est un autre problème, qui n'a rien à voir avec la qualité de leur intégration dans la société.

Dénier son handicap, ou sa favorisation en terme de capacité apportée par son équipement, me semble totalement injustifiée.
De plus, le risque éthique de voir l'industriels s'emparer de ces sports me semble assez importante pour être particulièrement surveillés. Donc un encadrement spécifique qui justifie aussi une catégorie différente.

Par contre, qu'on compare les scores entres les équipes handicapés et non-handicapés, en dehors des compétitions, pour s'émerveiller de la qualité des appareils, pourquoi pas.
Qu'on effectue des "match amicaux" entre équipes handicapée et non handicapées, pourquoi pas.

Mais je verrais très mal laisser libre court à la compétition handicapés / non handicapé.
Beaucoup trop de risques étiques.
Et je ne vois pas l'intérêt, vu qu'ils ne font PAS les mêmes efforts.
Qu'un handicapés arrive ne serais-ce qu'à la moitié des capacités d'un valide me semble déjà un plus grand exploit que celui fait par le valide.

Et si ça dépend tant que ça des capacités apportée par le matériel... raison de plus pour ne pas comparer des choses non-comparables.
On ne serait plus dans l'admiration de l'effort du sportif, mais dans la "maximisation" d'un score, quel que soit l'effort fourni. C'est exactement le genre de recherche qui tue l'esprit du sport.

Non, il ne faudrait pas tomber dans la fascination pour le déni de réalité.

a écrit : Cette anecdote laisse en suspend un vrai délicat problème sur les performances des "handicaps" face aux "valides"...
En effet, si en sports d'équipes il n'y a pas photo, les performances "handicapés" sont tout à fait remarquables et cette anecdote montre comment le gars a d
û s'adapter... Coup de chapeau sans état d'âme... Ce n'est plus le même débat en sports individuels ; je m'explique... Cet athlète (dont j'ai oublié le nom) qui courrait avec des "valides" équipé de jambes artificielles ; s'il avait réalisé un record, aurait-il fallu tenir compte de ce record ? Je suis persuadé que dans très peu de temps on trouvera des "équipements" capables de battre largement des jambes (ou autres) de valides, qui permettront de courir plus vite, de sauter plus haut, de lancer plus loin...
D'un côté je me dis que ça ne peut pas être homologué parce qu'il y a "équipement" qui aide... Et de l'autre je me dis que c'est dégueulasse de ne pas intégrer le "handicap" aux compétitions "valides", dès lors qu'il devient très compétitif.
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Oscar Pistorius... admirablement connu pour ses résultats sportifs malgré son handicap et tristement connu pour le meurtre de sa femme.

Au risque de paraître abrupt, je trouve ces questions sur la validation ou non d'aide mécanique ou biomécanique dans le sport sans intérêt. La beauté du sport réside dans le fait qu'un être humain, grâce au capacité que la génétique et un bon entrainement lui ont donné puisse réaliser des exploits physiques exceptionnels sans être aidé ni mécaniquement ni chimiquement pendant la pratique de sa discipline.

Que la technologie aide les handicapés à vivre mieux au quotidien, c'est parfait. Que la chimie aide à soigner, parfait, chapeau bas et respect aux chercheur.

Bravo aussi aux handisports et aux jeux paralympiques.

Pour le reste, il n'y a pas que les handicapés qui sont privés des jeux olympiques traditionnels, le commun des mortels non handicapés l'est aussi.
C'est la nature qui l'a décidé, c'est tout.

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a écrit : Je pense que tu voulais parler de l'athlète Oscar Pistorius. Pour compléter un peu ton raisonnement, je vais t'apporter quelques éléments de réponse, libre a toi de garder ton opinion. Oscar Pistorius était un athlète concourant a la base avec les invalides, et devant ses performances exceptionnelles, il fit la demande de concourir avec les valides. Ce ne fut pas un exercice facile car il dut apporter la preuve que ses jambes artificielles n'étaient pas "meilleures" que des jambes organiques. J'ai eu la chance d'étudier à la fac avec l'un des chercheurs en biomécanique qui a participé la validation de cet athlète parmi les valides. La réalité c'est que finalement, un seul type de "lame" a été validé pour que Oscar puisse participer avec les valides. Ces dites lames ne peuvent pas être modifiés d'une quelconque façon. En effet, les qualités biomécaniques de ces lames ont été testés inférieurs aux qualités biomécaniques d'une jambe réelle, y compris la prise en compte de la fatigue musculaire absente des lames. En conclusion, on peut dire que cet athlète partait réellement avec un handicap. Juste pour être le plus complet possible, l'année ou il a obtenu sa validation pour concourir avec les valides, Oscar Pistorius a passé tellement de temps dans les laboratoires, avec les biomécaniciens et dans les différentes commissions qu'il a finalement perdu énormément de temps d'entrainement, ce qui lui a valu de ne pas être qualifié pour les phases finales des JO valides. Et bien-sur le débat est maintenant clos depuis qu'il est en prison pour avoir abattu sa femme en 2013... Merci à ceux qui n'auront pas décroché ! Afficher tout Merci à toi pour le complément!

Et ce Monsieur formidable n'a pas eu le droit à son Biopic à lui comme le veut la mode d'aujourd'hui ? Est-ce au moins en préparation ?

a écrit : je n'ai rien contre le handicap mais je ne pense pas que mélanger les deux catégories soient une bonne idée. Comme tu le dis, la personne avec 2 prothèses courrait plus vite que les autres, pour moi, elle est aidée, donc cela ne va pas... En revanche si les invalides ne sont pas aidés, pourquoi pas ! Comme ici : le mec a une main en moins, mais on s'en fou, il a besoin que d'une main pour lancer. Alors la, oui, il faut les intégrer (comme cela a été fait pour lui). Comme un lanceur de fléchette avec une main en moins ! Afficher tout Stop avec ces idioties...dernierement, ce sont deux transgenre (un en powerlifting, l autre en MMA) qui ont littéralement défoncé leurs opposentes féminines dans leurs compétitions respectives. Dans le cas du combat de MMA, la victime a eu une fracture de l'orbite, et a déclaré ne jamais avoir senti un coup aussi puissant de par n importe quelle opposante passee...alors chacun fait ce qu' il veut, aime qui il veut et ressemble à ce qu' il veut, mais inscrire des transgenre (peut importe ce a quoi ils s identifient, ils ont une musculature MASCULINE) dans des compétitions féminines, je pense que l on touche au summum de l absurdité.

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a écrit : Cette anecdote laisse en suspend un vrai délicat problème sur les performances des "handicaps" face aux "valides"...
En effet, si en sports d'équipes il n'y a pas photo, les performances "handicapés" sont tout à fait remarquables et cette anecdote montre comment le gars a d
û s'adapter... Coup de chapeau sans état d'âme... Ce n'est plus le même débat en sports individuels ; je m'explique... Cet athlète (dont j'ai oublié le nom) qui courrait avec des "valides" équipé de jambes artificielles ; s'il avait réalisé un record, aurait-il fallu tenir compte de ce record ? Je suis persuadé que dans très peu de temps on trouvera des "équipements" capables de battre largement des jambes (ou autres) de valides, qui permettront de courir plus vite, de sauter plus haut, de lancer plus loin...
D'un côté je me dis que ça ne peut pas être homologué parce qu'il y a "équipement" qui aide... Et de l'autre je me dis que c'est dégueulasse de ne pas intégrer le "handicap" aux compétitions "valides", dès lors qu'il devient très compétitif.
J'ai du mal à trancher...
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C'est le problème du transhumanisme...
Les améliorations dépasseront sûrement les capacités naturelles de l'Homme. Cool pour les handicapés qui seront moins lésés dans le futur.
Mais des élites riches pourront devenir des surhommes...

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