La plupart des maladies épidémiques ont fortement diminué en France au XXe siècle en raison de l’amélioration des conditions sanitaires. Il y avait par exemple 5000 décès de la rougeole en 1912 pour arriver à une dizaine de décès en 1982. La vaccination spécifique ROR n’apparut qu’en 1983, et n'a que peu amélioré les statistiques malgré une couverture entre 90 et 95%.

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Je voudrais pas faire l'avocat du diable mais il y a effectivement l'aspect sanitaire qui est en cause dans tout ça... Je vous rappelle le cas de la peste où il n'y a pas lieu de parler de vaccin ou non. Le problème sanitaire est véritablement ce qui a endigué l'épidémie...
Cela dit je pense effectivement qu'aujourd'hui on nous OBLIGE a vacciner nos enfants (que fait on de la loi Kouchner a ce moment là??) avec des vaccins qui sont soit disant indispensable alors que sincèrement en regardant bien pourquoi un bébé de 2 mois et demi doit il être vacciner contre l'hépatite B alors que ce n'est je le rappelle une maladie sexuellement transmissible?!
Si vous posez la question a un médecin il vous répondra que c'est parce qu'a cette age la on assimile mieux le vaccin....
Je trouve ça douteux surtout qu'un enfant voit son système immunitaire tout a fait fini au environ de 8 ans.... bref je m'étale pas parce que sinon je vais vraiment rentrer dans le débat!!!
L'hépatite b n'est pas qu'une maladie sexuellement transmissible. Désinformation antivax. Elle se transmet par la salive, survit 7 jours à l'air libre et dans un cas sur 3, on ne peut pas identifier l'origine de la contamination. bit.ly/2E5yXk9
Haha
Le même argument employé pendant des dizaines d'années sur le BCG. "Les courbes se superposent voyons ! Vous voyez bien quil est efficace ce vaccin". Sauf que dans tous les pays où le BCG n'était pas utilisé la courbe de baisse de mortalité avait la même allure. Corrélation n'est pas causalité.
Le BCG a tué des dizaines de bébés dans l'indifférence générale.
Ces mêmes gens qui ont forcé les français à se vacciner au BCG sont les mêmes qui vous disent que les vaccins marchent et doivent être obligatoires.
Je suis scientifique, je sais bien que certains vaccins sont efficaces. Mais avant tout, je suis un homme, et je refuse que des fonctionnaires décident de ma vie.
La tuberculose, c'est une belle saloperie. Très résistante aux antibiotiques, voir complètement dans certains cas. Face à une maladie contre laquelle il n'y a plus de traitement connu, le mieux reste encore de se vacciner
Le BCG est également efficace a seulement 70%
C’est pire qu’une saloperie la tuberculose.
Bonjour
Connaissez vous le monde des essais cliniques ?
Il se trouve que c'est mon métier (je suis en prestation donc indépendant des labo)
Concernant le sel d'aluminium : oui il faut plus d'études. Oui il faut qu'il y débat.
Concernant le fond d'indemnisation aux US :
Les vaccins, comme tout médicament, peuvent avoir des effets secondaires.
Mais jusqu'à preuve du contraire la balance bénéfice risque est toujours positive.
Chaque pays fonctionne différemment également.
La France a mis en place des fonds d'indemnisation sur des choses que les US ou l'Italie trouvent inutile et inversement.
Ceci n est donc pas une preuve.
Concernant les études cliniques etc... :
Le monde du médicament est excessivement réglementé.
Chaque étude est approuvée par les autorités de santé de chaque pays dans lesquelles l'étude va se dérouler et chaque étude est suivie par les autorités.
Chaque étude fait l'objet d'un rapport clinique soumis aux autorités de chacun des pays...
Donc assez difficile de soudoyer autant de monde.
Alors certes on peut en théorie trafiquer les chiffres (facile de faire dire n'importe quoi à des chiffres)
Mais les autorités ne sont pas dupent. Et tout fini par se voir, se comprendre.
Il existe des études cliniques menées par des indépendants cad par des hôpitaux (APHP, Hospice civil de Lyon,...) ou des groupes coopérateurs en France et à l'étranger.
Les industriels ne craignent pas ses études.
Au contraire, les industriels en sont friands car la plupart du temps les études montrent les mêmes résultats.
(J'ai même participé au rachat de 2 bases de données cette année pour présenter les données indépendantes à la FDA)
Il y a obligations de suivre tous les médicaments durant toute la durée. De vie.
Les industriels déclarent chaque cas dont ils ont connaissance. Ce point est important car en fait, une fois que les médicaments sont autorisés, on s'aperçoit que les médecins font mal leur job car ils sous déclarent les cas aux industriels et aux autorités.
C'est pourquoi il existe, souvent à la demande des autorités ou de certains médecins, des études de suivi post autorisation.
Enfin, ceux qui travaillent sur les études le font tous pour faire avancer la santé, sortir de meilleure médocs... que ce soit les statisticien, les gens comme moi, les médecins...
Après ce que font les hautes sphères c'est un autre débat.
;-)
Je relève une confusion dont vous êtes victime concernant l'aluminium : la mise en contact de sels d'aluminium avec une muqueuse (peau pour le déo, et éventuellement intestinale pour les emballages) n'a pas les mêmes conséquences potentielles que leur injection en intra-musculaire.
Ah bon ? En êtes vous bien certain ?
J'ai malheureusement dans mon entourage proche une fille de 20 ans qui après une vaccination ror à l'âge de 5 ans est restée dans le coma pendant six semaines et est restée depuis son réveil handicapée et ce , jusqu'à la fin de sa vie d'après les docteurs ,alors les donneurs de leçons feraient bien de se pencher un peu plus profondément sur le sujet avant de l'ouvrir avec des copier-coller qu'ils ne comprennent même pas
On se calme "bzh"... pourquoi cette suffisance ? De quel "copier-coller" parles-tu ? Je suis désolé pour cette jeune femme proche de toi ; proche de moi c'est un vaccin de la méningite qui aurait donné la sclérose en plaques ; procès en cours... Tu vois t'es pas le seul à avoir de mauvaises expériences.
Ça n'empêche pas d'avoir une idée globale de la situation ; ça ne m'a pas empêché de me faire vacciner de la méningite avant d'aller au Moyen Orient ; et ça n'empêche surtout pas de s'adresser correctement aux gens.
D'autant que ce sur quoi je réagissais à ton 1er post n'était pas la vaccination, mais ton approche de la "sélection naturelle".
La quantité d'hydroxyde d'aluminium dans les vaccins varie selon la réponse immunitaire souhaitée. Les laboratoires ne s'en servent pas parce que ça fait durer les vaccins plus longtemps, mais parce que sa forte toxicité déclenche une réaction tout aussi importante du système immunitaire. Et c'est bien la le problème, chez certaines personnes, le choc est trop important pour le corps et provoque des réactions réellement indésirable. Les vaccins peuvent être administrés avec des adjuvants moins "dangereux" pour les patients, mais l'hydroxyde d'aluminium est très stable, facile à fabriquer, à utiliser, et surtout très bon marché, ce qui permet d'augmenter considérablement les marges par injection.
Kreeperface , l'aluminium per os ou surcutanée n'a bien évidemment pas la meme action que intramusculaire . (Surtout chez des sujets relativement jeune .)
Vous êtes le deuxième à dire ça.
Pourtant appliquer du déodorant au sel d’aluminium sur une peau rasée provoque une absorption cutanée loin d’être négligeable.
Pourquoi absolument distinguer les différentes voies ?
Chacune d’elle a ses effet. En rapport avec le moyen d’absorption. Il n’y a pas de raison de considérer l’application de déodorant au sel d’alu comme moins dangereuse que l’injection intramusculaire.
Vous dites « évidement » mais c’est loin d’etre le cas. Que l’absorption soit cutanée ou intramusculaire, de l’alu pourra in fine passer dans le sang. A ce moment là, pourquoi l’action serait différente ?
Ce qui change c’est la quantité. Si on injecte 1ng d’alu en intramusculaire, est-ce plus toxique qu’ingérer 10g d’aluminium ?
Ça m’etonnerait Que vous puissiez répondre de manière évidente à cette interrogation.
D'accord, tu connait une personne qui a malheureusement eu des effets secondaires grave du a un vaccin? Et sinon, dans le reste de ton entourage, combien ont été vacciné avec le ROR et sont encore en vie et en bonne santé ?
Ouah, je sentais bien qu'avec une anecdote comme cela on allait avoir certains commentaires, biaisés, pour pas dire carrément nauséabond, mais là, pour un site comme SCMB, je suis vraiment déçu...
Enfin bon, pour ma part, la couverture de santé, car c'est bien de cela qu'il s'agit, est avant tout dans un but de protection des personnes immuno-déprimées qui aimeraient certainement avoir le privilège de se vacciner mais que certaines personnes mettent en danger avec leurs théories abracadabrantes (oui c'est toi que je regarde le breton...).
On parle ici beaucoup d'études sur la morbidité de tel ou tel virus avant les campagnes de vaccination, mais très peu du retour de ces mêmes virus qui, coïncidence, face aux carences de la couverture santé actuelle, reviennent en force.
Une image circule de temps en temps qui résume parfaitement le problème : le principe du parapluie. Tout est dit.
Heu bah oui... selon le mode d'absorption, l'absorption est différente ce qui fait que la quantité retrouvée dans le corps va être différente et également les endroits ou l'on va retrouver le produit.
(Sinon ils n'y aurait pas différents mode de prise de médicament...)
N.B : vous faisiez peut être du 2nd degré mais dans ce cas, pour ne pas mal interprété un texte, on a inventé des smileys ;-) ^^
Les quantités dépendent de la concentration de produit injecté et de %absorbé.
Chaque modalité d’absorption entraîne un risque local mais également un risque systémique via le % d’absorption sanguine.
Par exemple, quand on ingère de l’aluminium, la majorité est rejeté dans les selles, c’est à dire qu’elle ne passe pas la barrière digestive, le reste passe la barrière, se retrouve dans le sang puis est filtré par les reins pour être excrété dans les urines.
A chaque étape, de l’aluminium peut s’accumuler.
Même si seules les deux premières étapes (celle qui fait passer l’aluminium de l’exterieur vers un tissu du corps et celle qui fait passer l’aluminium du tissu vers le sang) changent, la quantité et le pourcentage d’absorption de l’aluminium lors de celles-ci modifient fortement les risque de voir le produit s’accumuler lors des suivantes.
Donc si vous connaissez avec certitude toutes ces modalités, autant directement donner des chiffres, parce que c’est loin d’être évident pour moi (et je le dis avec humilité).
La muqueuse intestinale est faite par définition pour absorber. La peau beaucoup moins mais à l'occasion d'une coupure ou d'une irritation ça pénètre plus facilement. Et surtout c'est la répétition du geste qui donne autant d'aluminium
Les alternatives proposés par les antivaxxx sont paradoxales. Parce que les sels d'aluminium causent très rarement des chocs anaphylactiques, il faudrait utiliser à la place un sel de calcium... Pourtant beaucoup plus allergène mais dans la tête des gens qui disent ça c'est mieux car naturelle. J'ignore si il y a mieux mais je n'ai jamais vu de proposition pertinente venant de quelqu'un ouvertement opposé à la vaccination
Et pourtant certains vaccins n'utilisant pas d'hydroxydes d'aluminium sont parfaitement efficaces et on un taux d'échec parfaitement acceptable, mais sont moins stables et moins rentables. Pour rappel, lors de sa découverte, et durant de nombreuses années, l'hydroxyde d'aluminium à été considéré comme extrêmement toxique et nocif pour l'homme, puis certains industriels ont commencés à s'en servir, et il est devenu finalement utile et sans dangers. Ce qui est assez drôle, c'est qu'on le bannit de nos déodorants pour sa propension à augmenter significativement le risque de développer certains cancers (du sein en particulier) mais qu'à côté on se l'injecteur allègrement à de nombreuses reprises et à des doses de plus en plus concentrées durant les premières années de notre vie. Évidemment, peu d'individus souffriront d'effets secondaire faibles ou moyens (peut être moins de 2%) et encore plus rares seront ceux pour qui s'en suivra le développement d'une pathologie pouvant être fatale, ou une réaction entraînant une mort par choc anaphylactique (peut être moins d'un pour dix mille), mais ça reste inacceptable quand d'autres solutions sont envisageable. Surtout pour les parents de la victime collatérale qui ne ressort pas de chez son médecin traitant après un simple vaccin.
Je ne remets pas en cause l'efficacité de la vaccination et les bénéfices qu'elle procure, mais là façon dont les laboratoires pharmaceutiques écartent toutes les autres solutions que les chercheurs peuvent développer pour utiliser d'autres technologies vaccinales moins risquées mais plus chères.