La célèbre citation de Sartre : « L’enfer, c’est les autres » est souvent mal interprétée. Selon l'auteur, les autres ne sont pas un enfer par leurs actions, mais par le fait que notre conscience ne puisse s’extraire de leur jugement. L’enfer, c’est le jugement permanent d’autrui et notre dépendance à lui.
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Être ou ne pas être
Telle est la question sinusoïdale
De l'anachorète
Hypocondriaque
Mais tu dis (mais tu dis)
Que le bonheur est irréductible
Et je dis (et il dit)
Que ton espoir n'est pas si désespéré
A condition d'analyser
Que l'absolu ne doit pas être annihilé
Par l'illusoire précarité
De nos amours
Destituées
Et vice et versa
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Je sens qu’on va encore me dire que cette anecdote est sibylline… et vous n’aurez pas spécialement tort. En tout cas, c’est le paradigme que ma conscience imagine et ne peut dépasser.
Quiconque ayant lu Huis Clos l’aura compris.
L’enfer c’est surtout ceux qui utilisent « de par », alors qu’il n’y a que quelques cas où il est correct, et le titre de l’anecdote n’en fait pas parti, et du coup ça ressemble une phrase sortie par un gosse de 6 ans.
#grammarNazi
De l'individualisme à l'état pur. Il aurait pu pondérer par un : "le paradis c'est les autres aussi d'ailleurs". On dit toujours qu'il faut vivre sans se préoccuper du jugement d'autrui, mais enfin c'est complètement con! Il faut pondérer c'est tout. En réalité Sartres n'était pas aussi con qu'il en a l'air, mais il en rajoutait toujours de peur que sa Simone ne prête plus d'attention à son physique qu'à ses paroles. Il en était fou amoureux et il savait que son côté dépressif la faisait fondre. C'était son côté enfant désemparé qui charme même les féministes. Puis puis ses hautes capacités intellectuelles représentaient la virilité: l'intelligence ecxite les femmes, surtout les féministes. Alternant sur ces deux registres il la tenait dans le creux de sa main.
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On pourrait en conclure qu'on vit dans le regard de l'autre, qu'on s'y adapte pour plaire. Pourtant Sartre avait aussi dit :"l'homme est condamné â être libre". Le concept de liberté a des définitions différentes et opposées dans ces deux phrases. N'est-ce pas paradoxal?
"l'enfer c'est les autres", c'est on ne peut plus vrai. Les autres forment en nous (chez certains d'entre nous) une instance de jugement (le surmoi) qui nous pourrit toute notre vie et ne cesse, du moins il faut l'espérer, qu'à notre mort. C'est très facile de repérer celles et ceux qui misent sur notre surmoi pour nous culpabiliser, donc nous manipuler, donc nous utiliser. Quant à se libérer de ces autres, c'est une autre histoire...