En 1943, une mystérieuse épidémie nommée syndrome K se déclara à Rome. Très contagieuse, cette maladie était en fait fictive. Il s'agissait d'un leurre imaginé par le docteur Borromeo afin d'éviter les perquisitions dans l’hôpital Fatebenefratelli par les nazis. De nombreux Juifs se réfugièrent dans l'hôpital afin d'échapper à la déportation, et les nazis n'eurent pas le courage de perquisitionner l'hôpital par crainte de contamination.
La lettre a été utilisée en référence à Herbert Kappler (chef nazi à Rome) et lbert Kesselring (général nazi connu pour sa cruauté).
Commentaires préférés (3)
Pour une fois qu'un virus sauve des vies!
Le médecin Eugène Lazowki inocula la bactérie à plusieurs milliers de personne.
Cette bactérie était inoffensive, mais rendait les tests positifs faisant craindre une épidémie. ( en simplifier, voir l anecdote poster. ^^ )
Ca me rappelle une anecdote de mon grand-père, prisonnier dans un camp allemand avec d’autres militaires français originaires du pays basque, et « désigné » comme médecin de camp. Pour simuler le typhus dans les allemands craignait beaucoup la propagation, le prétendu malade rentrait dans un délire où il s’exprimait en basque (cette langue ne ressemblant à aucune autre), et était ainsi libéré pour raison sanitaire. Bon ça a peut être fini par se voir puisqu’il fut transféré par la suite dans un camp disciplinaire.
Tous les commentaires (17)
Pour une fois qu'un virus sauve des vies!
Est-ce qu'on leur a sorti les bidons de DHMO pour accentuer le drame ?
Il me semble qu'il y avait la même chose avec un médecin qui faisaient croire aux nazis que les juifs qu'il examinait avaient la gale (je ne sais plus quel procédé il utilisait pour rendre le test positif)
Le médecin Eugène Lazowki inocula la bactérie à plusieurs milliers de personne.
Cette bactérie était inoffensive, mais rendait les tests positifs faisant craindre une épidémie. ( en simplifier, voir l anecdote poster. ^^ )
Ca me rappelle une anecdote de mon grand-père, prisonnier dans un camp allemand avec d’autres militaires français originaires du pays basque, et « désigné » comme médecin de camp. Pour simuler le typhus dans les allemands craignait beaucoup la propagation, le prétendu malade rentrait dans un délire où il s’exprimait en basque (cette langue ne ressemblant à aucune autre), et était ainsi libéré pour raison sanitaire. Bon ça a peut être fini par se voir puisqu’il fut transféré par la suite dans un camp disciplinaire.
A theresien stadt, l'épidémie de typhus était bien réel. Et c'était le cuisto qui contaminait tout le monde. Si l'épidémie n'était pas rapidement endiguée, la déportation a Auschwitz ou l'exécution de masse se profilait. Les hôpitaux dans les camps étaient des mouroirs. Valait mieux travailler au kanada
La dernière source raconte que c'est un autre docteur Sacerdoti...
Mouais...
Ce sont pas les même Allemands qui fabriquent les Mercedes ? Si ?
En fait, je pense que les soldats allemands auraient pu être plus expéditifs et pragmatiques que cela.
La meilleure façon d'éviter qu'un prisonnier malade ne contamine une population, c'est de l'exécuter, à mon sens, non ?
Pour un peuple (et par extension une armée) réputé sérieux, pragmatique et perfectionniste, je trouve cela léger.
Combien de prisonniers libérés se sont retrouvés dans la Résistance par la suite pour se retourner contre eux ?
A vrai dire c’est moi qui extrapole quand je dis que c’est ce comportement qui lui a valu d’aller en camp disciplinaire. La seule chose que l’on sait c’est que ce transfert à eu lieu, quant aux raisons… ?? Transfert pour Rawa Ruska en Ukraine surnommé « le camp de goutte d’eau et de la mort lente ». Un robinet d’eau polluée pour 10.000 prisonniers. Question pragmatisme on est servi.
Mon arrière grand père à moi c'était échapper d'un camp nazi et fut rattraper à Marseille alors qu'il embarquait enfin dans un bateau pour la corse à cause de la dénonciation d'un curé...
Il reussi par se faire libérer à la fin de la guerre de sont camp et à fini sa vie en maudissent tout les curés ou hommes d'églises.
Il y a sur cette île a côté de l'hôpital une église. Quand on rentre dans celle du et qu'on se retourne, on peut voir a l'étage au fond a gauche une porte dérobée.
C'est l'entrée de la synagogue cachée utilisé par les juifs " contaminés"