Le militant écologiste qui tronçonna un arbre sacré

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Un militant écologiste, Grant Hadwin, accomplit un acte qui fit scandale: il tronçonna un arbre unique, un épicéa doré, vénéré par les Amérindiens et étudié par les scientifiques. Il voulait protester contre la déforestation au Canada. Honni de tous, il disparut au cours d'une excursion en kayak.

Grant Hadwin était un bûcheron solitaire, expert en survie. Certains pensent que, se sentant menacé, il s'est retiré du monde et vit dans la forêt.


Commentaires préférés (3)

Il faut vraiment lire la source qui retrace la biographie de ce gars... Un véritable roman qui mériterait un film ! Vite, un scénariste sur ce forum ! :)
Ce geste désespéré d'un mec qui avait compris pas mal de choses avant tout le monde fait presque penser à un "crime passionnel".
Très belle histoire... Merci pour cette anecdote.

a écrit : Je ne comprends pas trop la logique et le sens de cet acte : pour lutter contre la déforestation il a coupé un arbre ?

À mon sens cette méthode pour sensibiliser la cause est absurde, bien que je ne doute pas de la sincérité militante de cette homme.
En effet, cette absence de rationalité ne permet
pas de convaincre, et le sentiment d’injustice et de frustration (voire de haine) que provoquent les conséquences de cet acte auprès des Amérindiens, des scientifiques et plus largement des informés de celui-ci ne permet pas de persuader.

En me mouillant un peu, je dirais que c’est cette même méthode qu’utilise les femens. Leurs actions peuvent choquer, on parle d’elles, mais je ne suis pas sûr que leurs protestations soient efficaces...
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Rien n'est simple. La première source est passionnante et permet de "comprendre" cet acte (la toute dernière partie qui est un écrit qu'il a laissé).
C'était, semble t-il un être très spirituel. Il faut peut être se décaler d'un point de vu cartésien pour avoir un début de compréhension.
Il semble s'en être pris à un symbole (à la base une "anomalie de la nature) pour provoquer un choc et une prise de conscience. Je cite : « Lorsque la société accorde autant de valeur à un seul arbre mutant, tandis qu’elle ignore la destruction infligée au reste de la forêt, ce n’est pas la personne qui dénonce cet état de fait qui devrait être pointée du doigt. »

il y a pourtant des milliers d'anecdotes sur SCMB, mais celle-ci est vraiment à part. Géant !

Pour bien la comprendre et mesurer la portée du geste, il est indispensable de lire les sources.

Haldwin ne veut/ voulait pas attaquer un symbole, mais nous alerter des conséquences de notre mode de vie consumiste et prédateur sans modération contre Dame Nature, contre la Vie.
Par ce geste, Haldwin veut/voulait physiquement et métaphoriquement couper "l'Arbre qui cache la forêt", celui que l'on préserve et vénère pour sa particularité, alors que ses frères font l'objet d'une exploitation casi sans limite, pour assouvir nos nécessités (parfois éphémères) de meubles et autres biens finissant au mieux dans une déchetterie, au pire à côté des poubelles sur la voie publique.

Traité - à tort ! - "d'Ecoterroriste", Haldwin veut/voulait nous faire bien entendre que notre mode de gestion de notre entourage, -notre Environnement ! -, est une erreur, que les Ecoterroristes sont les technocrates, bureaucrates et consommateurs, qui ne recherchent que le profit des plus grands et vigoureux spécimens ( une minorité d'entre-eux), au prix de coupes franches destructrices.
Haldwin avait, avant l'heure, appliqué l'opposé : n'utiliser que les arbres en fin de vie, condamnés, dont la mort en tant qu'individu n'hypothequait pas l'espèce en soi. La construction de sa maison et de la création de SA scierie sont deux applications de son mode de pensée.
Dit d'une autre manière, Baldwin agissait comme les grands fauves qui chassent les herbivores âgés, malades ou blessés, - les moins résistants- préservant les plus robustes et aptes à perpétuer l'espèce, celle qui assurera l'alimentation future de la progéniture du fauve.

Je lisais hier soir un long article sur James Lovelock, l'homme qui défend depuis des décennies, le concept de Terre vivante (Gaïa), où tous les paramètres sont imbriqués et que les actions, positives ou néfastes de l'Humain ont une conséquence à court, moyen et long terme.
Si les deux hommes s'étaient rencontrés, ils auraient été d'accord sur bien plus d'un point de vue.
Malheureusement, le défaut des génies ( bien souvent des surdoués) dans leur spécialité, c'est d'avoir une longueur d'avance. Elles reste bien souvent incomprise aux yeux des autres, jusqu'à ce que...

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Tous les commentaires (29)

Il faut vraiment lire la source qui retrace la biographie de ce gars... Un véritable roman qui mériterait un film ! Vite, un scénariste sur ce forum ! :)
Ce geste désespéré d'un mec qui avait compris pas mal de choses avant tout le monde fait presque penser à un "crime passionnel".
Très belle histoire... Merci pour cette anecdote.

*après avoir lu les sources*
En fait, c'est Druss, tout simplement.


Gemmel a dû s'inspirer de ce gars !

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Je ne comprends pas trop la logique et le sens de cet acte : pour lutter contre la déforestation il a coupé un arbre ?

À mon sens cette méthode pour sensibiliser la cause est absurde, bien que je ne doute pas de la sincérité militante de cette homme.
En effet, cette absence de rationalité ne permet pas de convaincre, et le sentiment d’injustice et de frustration (voire de haine) que provoquent les conséquences de cet acte auprès des Amérindiens, des scientifiques et plus largement des informés de celui-ci ne permet pas de persuader.

En me mouillant un peu, je dirais que c’est cette même méthode qu’utilise les femens. Leurs actions peuvent choquer, on parle d’elles, mais je ne suis pas sûr que leurs protestations soient efficaces...

a écrit : Je ne comprends pas trop la logique et le sens de cet acte : pour lutter contre la déforestation il a coupé un arbre ?

À mon sens cette méthode pour sensibiliser la cause est absurde, bien que je ne doute pas de la sincérité militante de cette homme.
En effet, cette absence de rationalité ne permet
pas de convaincre, et le sentiment d’injustice et de frustration (voire de haine) que provoquent les conséquences de cet acte auprès des Amérindiens, des scientifiques et plus largement des informés de celui-ci ne permet pas de persuader.

En me mouillant un peu, je dirais que c’est cette même méthode qu’utilise les femens. Leurs actions peuvent choquer, on parle d’elles, mais je ne suis pas sûr que leurs protestations soient efficaces...
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Rien n'est simple. La première source est passionnante et permet de "comprendre" cet acte (la toute dernière partie qui est un écrit qu'il a laissé).
C'était, semble t-il un être très spirituel. Il faut peut être se décaler d'un point de vu cartésien pour avoir un début de compréhension.
Il semble s'en être pris à un symbole (à la base une "anomalie de la nature) pour provoquer un choc et une prise de conscience. Je cite : « Lorsque la société accorde autant de valeur à un seul arbre mutant, tandis qu’elle ignore la destruction infligée au reste de la forêt, ce n’est pas la personne qui dénonce cet état de fait qui devrait être pointée du doigt. »

a écrit : Il faut vraiment lire la source qui retrace la biographie de ce gars... Un véritable roman qui mériterait un film ! Vite, un scénariste sur ce forum ! :)
Ce geste désespéré d'un mec qui avait compris pas mal de choses avant tout le monde fait presque penser à un "crime passionnel".
Très belle
histoire... Merci pour cette anecdote. Afficher tout
Attention. Aujourd'hui il ne faut plus dire "crime passionnel" mais "arbricide". C'est à cause de sa condition d'arbre qu'il a été tué.

Effectivement, l'anecdote, prise à part et sortie de son contexte, n'évoque rien de logique.

Les sources -passionnantes- quant à elles permettent une pleine compréhension de l'acte.

À titre strictement personnel, je trouve le personnage absolument fascinant.
Il donne l'impression d'avoir dépassé sa condition d'humain. C'est très... particulier.

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a écrit : Je ne comprends pas trop la logique et le sens de cet acte : pour lutter contre la déforestation il a coupé un arbre ?

À mon sens cette méthode pour sensibiliser la cause est absurde, bien que je ne doute pas de la sincérité militante de cette homme.
En effet, cette absence de rationalité ne permet
pas de convaincre, et le sentiment d’injustice et de frustration (voire de haine) que provoquent les conséquences de cet acte auprès des Amérindiens, des scientifiques et plus largement des informés de celui-ci ne permet pas de persuader.

En me mouillant un peu, je dirais que c’est cette même méthode qu’utilise les femens. Leurs actions peuvent choquer, on parle d’elles, mais je ne suis pas sûr que leurs protestations soient efficaces...
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J'avais moi aussi du mal à comprendre avant de lire la première source.

Ça met une gifle.

Sa manière de voir et d'expliquer les choses est cruelle de vérité

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A moindre échelle, cela me rappelle l’histoire du brésilien qui s’était fait une tombe gigantesque pour être enterré au volant de sa Bentley. Tout le monde était choqué. En fait il voulait dénoncer qu’il y a bien pire que de se faire enterrer avec une voiture de luxe, c’est se faire enterrer avec des organes pouvant sauver la vie d’autrui.

a écrit : Il faut vraiment lire la source qui retrace la biographie de ce gars... Un véritable roman qui mériterait un film ! Vite, un scénariste sur ce forum ! :)
Ce geste désespéré d'un mec qui avait compris pas mal de choses avant tout le monde fait presque penser à un "crime passionnel".
Très belle
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Juste pour te faire plaisir et parce que je me suis réveillé de bonne humeur :
www.onf.ca/film/jugement_dhadwin/

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il y a pourtant des milliers d'anecdotes sur SCMB, mais celle-ci est vraiment à part. Géant !

Pour bien la comprendre et mesurer la portée du geste, il est indispensable de lire les sources.

Haldwin ne veut/ voulait pas attaquer un symbole, mais nous alerter des conséquences de notre mode de vie consumiste et prédateur sans modération contre Dame Nature, contre la Vie.
Par ce geste, Haldwin veut/voulait physiquement et métaphoriquement couper "l'Arbre qui cache la forêt", celui que l'on préserve et vénère pour sa particularité, alors que ses frères font l'objet d'une exploitation casi sans limite, pour assouvir nos nécessités (parfois éphémères) de meubles et autres biens finissant au mieux dans une déchetterie, au pire à côté des poubelles sur la voie publique.

Traité - à tort ! - "d'Ecoterroriste", Haldwin veut/voulait nous faire bien entendre que notre mode de gestion de notre entourage, -notre Environnement ! -, est une erreur, que les Ecoterroristes sont les technocrates, bureaucrates et consommateurs, qui ne recherchent que le profit des plus grands et vigoureux spécimens ( une minorité d'entre-eux), au prix de coupes franches destructrices.
Haldwin avait, avant l'heure, appliqué l'opposé : n'utiliser que les arbres en fin de vie, condamnés, dont la mort en tant qu'individu n'hypothequait pas l'espèce en soi. La construction de sa maison et de la création de SA scierie sont deux applications de son mode de pensée.
Dit d'une autre manière, Baldwin agissait comme les grands fauves qui chassent les herbivores âgés, malades ou blessés, - les moins résistants- préservant les plus robustes et aptes à perpétuer l'espèce, celle qui assurera l'alimentation future de la progéniture du fauve.

Je lisais hier soir un long article sur James Lovelock, l'homme qui défend depuis des décennies, le concept de Terre vivante (Gaïa), où tous les paramètres sont imbriqués et que les actions, positives ou néfastes de l'Humain ont une conséquence à court, moyen et long terme.
Si les deux hommes s'étaient rencontrés, ils auraient été d'accord sur bien plus d'un point de vue.
Malheureusement, le défaut des génies ( bien souvent des surdoués) dans leur spécialité, c'est d'avoir une longueur d'avance. Elles reste bien souvent incomprise aux yeux des autres, jusqu'à ce que...

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a écrit : Il faut vraiment lire la source qui retrace la biographie de ce gars... Un véritable roman qui mériterait un film ! Vite, un scénariste sur ce forum ! :)
Ce geste désespéré d'un mec qui avait compris pas mal de choses avant tout le monde fait presque penser à un "crime passionnel".
Très belle
histoire... Merci pour cette anecdote. Afficher tout
Apparemment, le film est déjà sorti :-)
www.hadwinsjudgement.com

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Emmerder les gens qui vénèrent la nature au lieu de la détruire pour se plaindre de ceux qui détruisent la nature ? Je ne saisis pas la logique.

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a écrit : Je ne comprends pas trop la logique et le sens de cet acte : pour lutter contre la déforestation il a coupé un arbre ?

À mon sens cette méthode pour sensibiliser la cause est absurde, bien que je ne doute pas de la sincérité militante de cette homme.
En effet, cette absence de rationalité ne permet
pas de convaincre, et le sentiment d’injustice et de frustration (voire de haine) que provoquent les conséquences de cet acte auprès des Amérindiens, des scientifiques et plus largement des informés de celui-ci ne permet pas de persuader.

En me mouillant un peu, je dirais que c’est cette même méthode qu’utilise les femens. Leurs actions peuvent choquer, on parle d’elles, mais je ne suis pas sûr que leurs protestations soient efficaces...
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Parfaitement logique voir même une haubaine pour lui qui se fou d'un seul arbre une anomalie en plus et qui en plus représente baucoup pour les autres. Peut être s'est il dit que ca valait le change, pour lui, qui a une forêt a sauver.

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a écrit : Il faut vraiment lire la source qui retrace la biographie de ce gars... Un véritable roman qui mériterait un film ! Vite, un scénariste sur ce forum ! :)
Ce geste désespéré d'un mec qui avait compris pas mal de choses avant tout le monde fait presque penser à un "crime passionnel".
Très belle
histoire... Merci pour cette anecdote. Afficher tout
Un film existe sur cette Histoire. Il s'agit du film Hadwin's judgement sortie en 2015, lui même tiré du best seller Golden spruce qui raconte aussi cette histoire.
Bon visionnage !

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a écrit : il y a pourtant des milliers d'anecdotes sur SCMB, mais celle-ci est vraiment à part. Géant !

Pour bien la comprendre et mesurer la portée du geste, il est indispensable de lire les sources.

Haldwin ne veut/ voulait pas attaquer un symbole, mais nous alerter des conséquences de notr
e mode de vie consumiste et prédateur sans modération contre Dame Nature, contre la Vie.
Par ce geste, Haldwin veut/voulait physiquement et métaphoriquement couper "l'Arbre qui cache la forêt", celui que l'on préserve et vénère pour sa particularité, alors que ses frères font l'objet d'une exploitation casi sans limite, pour assouvir nos nécessités (parfois éphémères) de meubles et autres biens finissant au mieux dans une déchetterie, au pire à côté des poubelles sur la voie publique.

Traité - à tort ! - "d'Ecoterroriste", Haldwin veut/voulait nous faire bien entendre que notre mode de gestion de notre entourage, -notre Environnement ! -, est une erreur, que les Ecoterroristes sont les technocrates, bureaucrates et consommateurs, qui ne recherchent que le profit des plus grands et vigoureux spécimens ( une minorité d'entre-eux), au prix de coupes franches destructrices.
Haldwin avait, avant l'heure, appliqué l'opposé : n'utiliser que les arbres en fin de vie, condamnés, dont la mort en tant qu'individu n'hypothequait pas l'espèce en soi. La construction de sa maison et de la création de SA scierie sont deux applications de son mode de pensée.
Dit d'une autre manière, Baldwin agissait comme les grands fauves qui chassent les herbivores âgés, malades ou blessés, - les moins résistants- préservant les plus robustes et aptes à perpétuer l'espèce, celle qui assurera l'alimentation future de la progéniture du fauve.

Je lisais hier soir un long article sur James Lovelock, l'homme qui défend depuis des décennies, le concept de Terre vivante (Gaïa), où tous les paramètres sont imbriqués et que les actions, positives ou néfastes de l'Humain ont une conséquence à court, moyen et long terme.
Si les deux hommes s'étaient rencontrés, ils auraient été d'accord sur bien plus d'un point de vue.
Malheureusement, le défaut des génies ( bien souvent des surdoués) dans leur spécialité, c'est d'avoir une longueur d'avance. Elles reste bien souvent incomprise aux yeux des autres, jusqu'à ce que...
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Comme je dis souvent « La frontière est mince entre se tromper et être visionnaire. Malheureusement, il faut être visionnaire pour la voir. »

a écrit : Emmerder les gens qui vénèrent la nature au lieu de la détruire pour se plaindre de ceux qui détruisent la nature ? Je ne saisis pas la logique. Regarde les choses autrement, le mec a fait ça pour protester contre la destruction des forêts primaires du Canada, et on en entend parler jusque sur SCMB...

On peut contester la méthode, mais pas son efficacité!^^

Ça reste un geste purement idéologique, moralisateur et méprisant envers les Amérindiens. Mais bon, vu que cette appli est de gauche, cet homme était forcément un génie éveillé. :)

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a écrit : Emmerder les gens qui vénèrent la nature au lieu de la détruire pour se plaindre de ceux qui détruisent la nature ? Je ne saisis pas la logique. Ce n'est pas de la "logique" qu'il faut chercher ici. Sinon celle du gars... Comme je le dis plus haut on est très proche du "crime passionnel" : il détruit ce qu'il aime le plus au monde. Un crime passionnel n'est pas "logique", c'est un acte désespéré.

a écrit : Ça reste un geste purement idéologique, moralisateur et méprisant envers les Amérindiens. Mais bon, vu que cette appli est de gauche, cet homme était forcément un génie éveillé. :) J’ai pourtant lu sur cette appli pas mal de commentaire de droite voire très très à droite ;)
Sinon je ne crois pas que l’anecdote ait quoi que ce soit à voir avec le spectre politique français.