Un espion anglais s'est réellement appelé James (Albert) Bond. Né en 1928, il fut envoyé à Varsovie en 1964 afin de surveiller la Pologne, alors territoire communiste situé derrière le rideau de fer. Il travaillait officiellement comme archiviste à l'ambassade britannique.
Son départ se fit 2 ans après la sortie du premier film de 007.
Il fut rappelé en 1965 car ses résultats étaient jugés peu satisfaisant par ses supérieurs.
Commentaires préférés (3)
- il bute (devant de caméras) le gars qu'il devait simplement filer.
- se fait gauler en suivant Ellipsis
- il paume les 10 millions britanniques alors qu'il avait "repéré un tic lorsque le chiffre bluffait" lol...
- Il perd son sang froid et est meme a deux doigts d'essayer de tuer le chiffre (qui ne doit surtout pas mourir) avec un couteau a beurre :D
- il se fait empoisonner comme un bleu
- il crashe la bagnole au bout de 5km
- il se fait littéralement latter les couilles
- se fait trahir (encore) par sa belle et celle ci meurt.
Et je tais volontiers les dommages collatéraux inutiles (solange...) et autres tatonnements idiots de l'agent secret.
Mouais. Je préfere Johnny English ;)
Je préfère personnellement les Kingsmen.
Tous les commentaires (19)
Du coup, à part le nom et l'espionnage, pas grand chose en commun.
Au vu de ses résultats, il fut surnommé 000...
- il bute (devant de caméras) le gars qu'il devait simplement filer.
- se fait gauler en suivant Ellipsis
- il paume les 10 millions britanniques alors qu'il avait "repéré un tic lorsque le chiffre bluffait" lol...
- Il perd son sang froid et est meme a deux doigts d'essayer de tuer le chiffre (qui ne doit surtout pas mourir) avec un couteau a beurre :D
- il se fait empoisonner comme un bleu
- il crashe la bagnole au bout de 5km
- il se fait littéralement latter les couilles
- se fait trahir (encore) par sa belle et celle ci meurt.
Et je tais volontiers les dommages collatéraux inutiles (solange...) et autres tatonnements idiots de l'agent secret.
Mouais. Je préfere Johnny English ;)
Je préfère personnellement les Kingsmen.
Le personnage de James Bond, inventé par Ian Fleming, fut - en partie- inspiré des exploits réels de "Tommy" Yeo-Thomas, un espion Britannique de nom de code "lapin blanc"
Tout comme Ian Flemming travailla pour le Département d'Intelligence Britannique, durant la Seconde Guerre Mondiale, Yeo Thomas effectua également plusieurs missions en France Occupée.
Arrêté par la Gestapo, Yeo Thomas fut capturé et torturé, puis déporté à Buckenwald, d'où il s'échappera et réussira à rejoindre les lignes Alliées.
Des archives Britanniques déclassifiés, découvertes par l'Historienne Sophie Jackson, datées du 15 mai 1945, révèlent un bref passage écrit de la main de Ian Flemming, révélant sa relation avec "lapin blanc" et narrant sa fugue des nazis.
Bien que Flemming et Yeo-Thomas travaillèrent dans deux Services distincts, il semble que l'écrivain effectua un suivi assez assidu de "lapin blanc", et fit ultérieurement usage de bien des détails, pour agrémenter ses nouvelles.
Tout comme le personnage de fiction qu'est James Bond, Yeo-Thomas portait toujours un pistolet sur lui, faisait usage de fausses identités, sauta d'un train en marche, se cacha dans un corbillard, se déguisait, et dut même tuer de ses propres mains nues.
Selon l'Historienne Sophie Jackson, Flemming s'inspirera même de la vie tumultueuse amoureuse de "lapin blanc", pour décrire toutes les conquêtes féminines de l'espion cinématographique, ainsi que les problèmes psychologiques que développa Yeo-Thomas, après le conflit mondial.
Ce dernier trait du personnage de fiction apparaît dans les romans de Flemming, bien que cette facette ne fut pas retenue dans l'écriture des scénarios adaptés au cinéma.
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Bien que Ian Fleming ne fut jamais un agent (espion) de terrain et encore moins un "liquidateur", il participera à l'Operation Mincemeat ( ou "chair à pâté", en Français) ainsi qu'à l'Operation Goldeneye. Cette dernière, opérée depuis le Portugal, avait le propos de saboter toute tentative d'Alliance directe entre le Régime Franquiste Espagnol et les Nazis.
Que ce soit à Gibraltar, Lisbonne ou encore au casino d'Estoril, le célibataire Flemming cherchait à séduire des femmes (ainsi que se laisser séduire par elles), afin de nouer des relations et des contacts liés à son activité d'agent, ...tout en sirotant des Martini-vodka mélangés mais non agités.
Suite à la Seconde Guerre Mondiale, Ian Flemming achètera une propriété en Jamaïque, à laquelle il lui donnera le nom de Goldeneye.
C'est dans cette même propriété que se termine la première nouvelle littéraire de James Bond: Casino Royale.
Quant au choix du modèle de pistolet porté par son héros de fiction ( le Walther PPK) il ne s'agit pas plus d'un hasard. C'est avec ce même type de pistolet que se suicida Hitler.
John F. Kennedy, un des fans de l'écrivain, et Flemming se rencontrèrent. Flemming, à l'imagination débordante, lui élaborera même un "plan" pour tenter de renverser Fidel Castro: lancer sur l'île de Cuba, des prospectus informant à la population, comme quoi le "Comandante" était un impuissant sexuel.
J'ai bien l'impression que l'archiviste des amabassade# en est finalement souvent pas un. Doit on se méfier des archivistes étrangers sur notre sol ?
Faut se méfier de ces gens là!^^
J'ai un bon exemple pour appuyer mes dires, la dernière série Sherlock (l'anglaise), c'est magistralement dépoussiéré.
De même que la série "elementary" d'ailleurs.
J'ai personnellement, pas du tout compris le passage au James Bond "looser" incarné par Daniel Craig
Je sais que le pauvre n'y est pour rien et tire d'ailleurs tres bien les films vers le haut, j'imagine qu'avec d'autres acteurs cela aurait pu facilement se casser la figure vu le tournant tres dangereux pris par les scénaristes/prods etc
Casino Royale, la premiere fois que je l'ai vu, j'avais eu beaucoup de mal à le finir, tant je le trouvais mauvais.
Puis un jour, on l'a regardé avec des potes, pendant une soirée minimalement arrosée, et franchement on s'est bien fendu la poire (surtout la scene ou il s'enerve et saisi le couteau a beurre pour buter le chiffre : gagesque)
Pour le tournant des James Bond, je trouve la saga Craig comme des James Bond ratés, mais comme de bons films d'action à l'intrigue trop entremélée, compliquée pour rien et surtout completement anecdotique. Je met au défi quiconque de me résumer chaque James Bond avec Daniel Craig en faisant passer le scénario pour sérieux.
La saga Jason Bourne, tout aussi fouillée, est nettement mieux et fluide.