Les articles scientifiques affirmant qu’une dose modérée d’alcool aurait un effet protecteur sont faux. En effet, ils sont basés sur une étude scientifique obsolète et décriée, comportant plusieurs biais statistiques. Par exemple, on trouvait dans les groupes d’abstinents d’anciens buveurs en mauvaise santé, qui étaient donc plus susceptibles de mourir que des buveurs occasionnels sains.
Parmi les autres biais répertoriés figure aussi le fait que l’étude se focalisait sur les personnes âgées, et surtout le fait qu’elle excluait les personnes n’ayant jamais consommé d’alcool.
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Bonjour à tous.
Je voulais rajouter quelques informations importantes concernant la consommation d'alcool qui n'ont pas encore été évoqués.
Selon les personnes, cela leur apportera un plaisir qui restera raisonnable et ne changera pas leur personnalité, mais ce n'est pas le cas de tout le monde. Certaines personnes peuvent devenir violentes, déprimées, déconnectées de la réalité et ça n'est pas à prendre à la légère.
Boire de l'alcool de façon raisonnable n'est pas un problème mais lorsque tu passes au moment où tu ne peux pas t'en passer pour te sentir bien, il y a danger. Ma mère a profondément été changé et était complètement dans le déni face à la situation, ce qui fait aussi partie de la maladie qui est l'alcoolisme. Je ne bois pas par choix, mais je n'empêche pas pour autant mon conjoint de boire un verre ou même de commette des excès de façon occasionnelle, il faut aussi savoir lâcher prise, mais il faut garder en tête que cela peut faire des ravages au même titre que la drogue.
Il aborde encore un autre aspect lié à l'alcool: la violence qui ne se voit pas toujours au grand jour, ou les violences conjugales.
Jai vu très rarement ce cas , pour ainsi dire jamais.
Beaucoup de non-buveurs sont intransigeants voir intolérants sur l’acool, je ne leurs ferai pas de procès si ils se ruent sur le mcDo ou mangent des plats industriels toute l’année.
Chacun se démerde
La pression sociale sur quelqu'un qui ne veut pas boire existe et est véritablement un problème. Essaye de passer ta consommation à 0 (sans en parler ni juger ce que font les autres) et compte le nombre de remarques que tu auras de tes amis ou de ta famille ("t'es enceinte ou quoi ?", "on va pas trinquer à l'eau tout de même ?", "bah alors on fait son babtou fragile ?", etc....). Tu te rendras vite compte que l'intolérance peut aller dans les deux sens.
Un grand nombre d'abstinent le sont devenus suite à une expérience malheureuse avec quelqu'un qui buvait trop...ou des problèmes de santé personnels.
Compare le problème avec la cigarette. Il y a plusieurs dizaines d'années, on disait qu'on nous empêchait de vivre à nous interdire de fumer dans les restaurants et lieux publics. Pourtant aujourd'hui cela nous paraitrait insensé de fumer dans un avion, une salle de classe ou un restaurant...
"L'alcool, non !!! Mais l'eau ferrugineuse, oui !!!
Parce que le dire, c'est bien, mais le fer, c'est mieux !!!
Car dans l'eau ferrugineuse, le fer a dissout ! Et dix sous, c'est pas cher..."
Inoubliable Bourvil :)
Cela dit, j'ai trouvé une parade efficace:
-Je ne savais pas que cette soirée avait pour thème le championnat du monde de la connerie.
En général, ca calme, même si ca plombe un peu l'ambiance.^^
Sinon je rejoins presque tous les commentaires: un poison reste un poison, quelle que soit la quantité absorbée. On peut boire raisonnablement, ponctuellement, faire des beuveries quelques fois par an sans vraiment réduire son espérance de vie, mais c'est un pari sur l'avenir, nous ne sommes pas tous égaux avec l'alcool et la capacité à y résister biologiquement et mentalement.
C'est un alcoolique conscient de se détruire à petit feu qui parle.
Et il me semble que c'est un député qui avait récemment déclaré que "le vin n'est pas un alcool comme les autres" dans le but de dédramatiser...
Pour ma part, je trouve ça grave que des figures politiques se permettent de banaliser ce qui pourrait s'appeler un problème de société, pour les cas de dépendance addictive.
=>Perso je bois pour me mitrhidatiser...
Le temps que beaucoup aillent voir la définition dans le dico, j aurai le temps de descendre mon godet ^^
(Et perso suis jaloux des gens qui arrivent a arrêter un "problème" notamment la clope, les drogues -sans compter le sucre- ou l alcool car, comme dit, contrairement aux autres qui sont MAINTENANT reconnus comme des problèmes, l alcool reste un élément social qui favorise les interactions)
D ailleurs je vous conseille de chercher des vidéos de girafes saoules (en mangeant des fruits fermentés) on voit bien que l'alcool est une drogue comme les autres... Un animal dans la nature consommera pas de drogue, ou du tabac... Mais il se saoulera... Si c est pas une preuve ?;)
Reste un avantage que je vois pour l'alcool: la beauté est une question de distance... Et l alcool perturbe fortement les notions de distance !(je sais plus qui mais perso ça m'arrange)
Désolé pour le troll, c était une goutte d humour le weekend.
Bref, à force, j'ai fini par comprendre que la bière, qu'on aime ou qu'on n'aime pas (ce qui n'est pas mon cas en plus, il yen a pleinque j'aime bien, mais bon, la kronembourg, y'a des circonstances ou t'as plus envie de przndre un jus de tomate...) et bien il faut la prendre, c'est une institution, c'est pas négociable. Et je trouve cette convention sociale très conne, mais j'ai plus ou moins fini par m'y plier (ah, et aussi j'oubliais le coup où tout le monde prznd une pinte et toi tu prends un demi, les regards de travers du genre "bah alors ça va pas, t'es pas un bonhomme pu quoi !?)
En début de soirée je suis persuadé d’accrocher la reine de beauté de la soirée, le lendemain je me réveille avec Jackie Sardou :-(
Et il y aussi les généreux, qui paient leur tournée. Dans l'absolu, c'est sympa, mais il y a des tas de fois où on ne te demande pas ton avis avant, mais par contre le refus de la bière qu'on t'a payée est mal vécu...
Bref, je te garantis que je n'ai jamais commenté les choix de plats ou de boissons de mes amis, en revanche, des reflexions sur le fait que je prenne ou non de l'alcool, même sur la base de petites allusions semblant anodines, si. Donc oui, il y a une pression pour boire de l'acool, qui passe pour un facilitateur de convivialité, permettant de désinhiber (ce qui, dans une certaine mesure, est le cas), est cool, traditionnel etc, quand le gars qui n'en consomme pas passe pour un hygiéniste terne qui ne sait pas s'amuser (pour exagérer le trait)
Bref, que chacun fasse ce qu'il veut du moment que ça ne dérange pas les autres
Je suis étonné et très rassuré de voir tous les experts et conseillers en consommation d’alcool sur l’application. Merci à tous vraiment très pertinents vos conseils.
Il n’y a pas de mauvais alcool, il y a que de mauvais alcooliques.
L'anecdote fait suite à l'excellent Cash investigation dont vous trouverez le replay ici.
www.france.tv/france-2/cash-investigation/2344391-alcool-les-strategies-pour-nous-faire-boire.html
De façon général, il met en lumière à quel point les pressions économiques nous poussent à consommer de l'alcool : contournement frauduleux de la règlementation sur la publicité de l'alcool (loi Evin) par l'entreprise Pernod Ricard, puissance des lobbys auprès de l'assemblée nationale pour empêcher toutes taxes sur le vin et de manière particulièrement perturbante promotion par de nombreux scientifiques et médecins financés par l'industrie de l'alcool des prétendus bienfaits de l'alcool pour la santé.
Si vous souhaitez approfondir le lien entre le financement de la recherche par les industriels et la difficulté d'établir des consensus scientifiques, je vous conseille un autre excellent documentaire intitulé "La fabrique de l'ignorance".
www.youtube.com/watch?v=6IGVqsnxCE0&t=3264s
Ce documentaire montre comment les industriels (tabac, pesticides) financent massivement des recherches de diversion afin de brouiller les pistes quant à la dangerosité de leurs produits.
Je regrette de n'avoir pas fait d'autres abus
Tellement t'es belle quand je bois.
Les gens qui s'occupaient de la santé publique
Ont crié au scandale quand je leur ai dit ça.
Je les invitais donc, à venir très vite
Participer à cette expérience avec moi :
www.youtube.com/watch?v=ZDkHdTcoAmM
Quand j'étais étudiant je ne buvais pas d'alcool (j'aimais pas ça), les soirées étudiantes pour moi consisté à refuser des verres et à me justifier en permanence. Résultat : je n'y suis plus aller très rapidement.
Du point de vue de la personne proposant un verre ce n'est pas mettre la pression mais lorsque tout le monde fait ça et te demande pourquoi t'en prends pas c'est presque du harcèlement.
Je n'ai jamais eu le cas de non buveur mettant la pression sur des buveurs (à part pour les empêcher de se mettre par terre)