L’augmentation des volumes de vente de bières sans alcool permet de fabriquer du biocarburant. En effet, les bières sans alcool sont faites comme des bières classiques mais sont désalcoolisées. L’alcool issu de ce processus est maintenant récupéré : 85 canettes permettent ainsi de synthétiser un litre de biocarburant.

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Les différences peuvent être subtiles en effet... Ajouté à ça que le principe physique de l'osmose n'est pas forcément connu du grand publique et que ces différents procédés sont souvent couplés pour être plus efficaces, on obtient logiquement des confusions. Rien de dramatique, mais c'était l'occasion de préciser les choses :)
Le problème de tous ces procédés est d'ailleurs le même : ils sont très énergivores. D'où le lien de plus en plus étroit entre accès à l'eau potable et production/consommation d'énergie.
Les pressions sont de la taille que tu demandes, si tu demandes une 50 cl, tu auras une 50.
Mais une chose que j'apprécie en Belgique, c'est qu'ils te servent systématiquement dans le bon verre. Je me souviens une fois qu'un cafetier avait refusé de me servir une 50 car il n'avait que des verres en 33cl pour la marque de bière commandée. Je lui ai proposé de prendre un autre verre (d'une autre marque) en 50 et il m'a regardé comme si j'avais insulté sa mère.
Le pouvoir des marques...
Je prendrais mon Champagne dans un verre à moutarde.
"CLIC"
-CA VA je plaisantais! ^^
Pour continuer dans le hors sujet, savez vous pourquoi on boit "traditionnellement" le champagne dans une flûte?
Toi je sais que tu sais pourquoi, mais ceux qui ne savent pas pourquoi, devinez...
Y a pas de Jup’ où je vais, ça doit être pour ça lol
Le setier fut surtout une unité romaine de volume pour les liquides, donc également pour les boissons. Valant environ 54 centilitres, il équivalait à la chopine. Le demi-setier est à l'origine du « demi » en France, un verre de bière d'environ 25 cl (Wikipédia)
Merci pour ce complément d’info très bien détaillé.
Le "faux-gras" pâle copie infâme, le vin ou la bière sans alcool, les steaks de soja,etc... au final, quel intérêt ont les gens qui n’aiment pas l’alcool, qui trouvent que la consommation de viande est un crime, à recréer, très souvent, voir tout le temps raté, la saveur d’un produit qui ne correspond absolument pas a leurs idées de base ??
Si je pouvais faire rouler ma bagnole avec les fonds de bouteilles non consommées en les mettant directement dans mon réservoir.. pourquoi pas?
Mais c’est (a mon avis, bien sûr) totalement utopique.
Quand tout le monde roulera avec des voitures électriques, on se verra reprocher d’avoir détruit, pollué, et massacrer des animaux.. on ne saura plus comment gérer les déchets, sans parler des nucléaires.
L’idée est séduisante pour certains, moi perso, je reprends un petit Saint-Estephe et son alcool me servira de carburant propre pour mon bien être, sans consommer des pilules de m**de et leur contenant ultra polluants !
Santé ;-)
C’est pour une demie pinte il me semble
Ton commentaire est très bon, car tu abordes un sujet qui va permettre de dépoussiérer un peu le sujet sur les agrocarburants.
Les excédents de production d'alcool de l'UE, ne sont pas du tout suffisants pour alimenter l'intégralité du parc automobile Européen.
De fait, le vin ou la bière, uniquement produits à partir de grains et de fruit (grappe) ont un très faible rendement de production d'alcool à l'hectare.
Il y a des cultures permettant d'obtenir des quantités d'agrocarburant bien plus élevés. C'est le cas des miscanthus (herbes à éléphants), des bambous ou des cannes de Provence, par exemple.
Quant à penser pouvoir alimenter le parc automobile avec des huiles végétales... Ben non, l'UE n'en a pas plus la possibilité physique.
Alors, il ne reste que la possibilité d'utiliser les résidus du type de celui de l'anecdote, ou encore des huiles usagées de cuisine, au lieu de devoir les détruire en pure perte.
Néanmoins, ceci ne peut absolument pas peser lourd, face à la quantité de pétrole raffiné consommé quotidiennement en Europe.
Quant à un parc automobile à grande majorité électrique à l'issue 2050, les faits se précisent tous les jours.
... Et une belle partie de cette électricité proviendra des champs d'éoliennes et de parc photovoltaïques d'Espagne.
Il y a actuellement une "course" entre régions, dont principalement celles n'ayant que peu d'industrie, afin d'avoir sa part du gâteau productif.
Donc, t'inquiètes pas, ton Saint-Estèphe n'est pas en danger.
Au pif, pour une histoire de bulles??
Pour les bulles, pas sûr vu qu’elles émanent des aspérités du verre..
Pour le nez, la forme du verre et très importante puique le goût n’est rien sans.
C’est pourquoi il est préférable de boire ce type de produits dans un verre adapté qui permet de "capter" les odeurs du breuvage
Une expérience amusante :
Buvez un Wisky (de bonne qualité) avec une longue paille puis dans un verre large ou le nez capte les "essences" ... la différence est sans appel
Même si le but final n’est très probablement pas l’écologie et bien ..viva España !
Bon, pas pour les fraises ou les olives bas de gammes mais pour l’excellent pinard qui n’as rien a envier à certains grands cru bordelais et les huiles d’olive haut de gamme que l’on peut y trouver !
Avec certaines des huiles produites la bas, on ferait mieux de faire du carburant qui pourrait largement être en compétition avec la récupération de l’alcool extrait de bière imbuvables issues d’une lubie d’anti-alcool bobo qui souhaitent..? Qui souhaitent quoi au juste ??
Demi en France signifie demi pinte. Une bière étant traditionnellement servie à la pinte, une pinte équivalant à 50 cl.
Pour te répondre, Takamine, par rapport à la bière sans alcool c'est bien pour les femmes enceintes comme moi qui tournent à la tourtel :,)
Bien évidemment que non. Le but est de produire une Énergie Européenne compétitive, faisant fi de la dépendance du pétrole.
Les fraises Espagnoles ? Autant manger du navet cru. Ça a l'apparence d'une fraise, la couleur d'une fraise... Mais sans goût ni parfum. À jeter !
Cela fait plus de 10 ans que je n'en ai d'ailleurs pas goûté...
Quant à l'huile d'olive et de celles à croquer, là tu en as pour tous les goûts et toutes les bourses.
Il y a par exemple les huiles de la Sierra Mágina, qui sont excellentes. Mais ceci est comme tout: il y a le type d'huile d'olive que tu recherches, d'un point de vue de parfum et de goût et de l'usage que tu veux lui donner (cuisiner ou assaisonner).
De plus la variété a une très grande influence, et il n'est pas toujours possible de savoir s'il s'agit de Picual, d'Arbequina, Hojiblanca, etc... Car la mention n'est pas obligatoire sur l'emballage.
Et enfin, il y a aussi le budget que tout un chacun possède... Les huiles écologiques de la Sierra Mágina, c'est plus de 20€/ litre, par exemple. Sauf que, plus de 90% de la population ne peut pas se le permettre en usage quotidien.
En France on utilise "demi" qui signifie "demi pinte". Une pinte représente 50cl, donc c'est en demandant un demi qu'on commande une bière de 25cl ;)
Mais ceci étant, un demi litre de Chimay bleue, ça s'accepte très bien aussi...
Le « demi » de bière, en France, ne fait pas référence au litre, mais est bien antérieur.
Il s’agit du la moitié d’un « setier », unité de réalités multiples en réalité, mais qui, dans l’une de ses acceptions, correspondait à un peu moins d’un demi-litre.
Appliqué à la bière, le terme de « demi - setier » fut finalement raccourci en « demi » et normalisé à 25cl.
Pour plus d’informations : fr.wikipedia.org/wiki/Setier
EDIT : du faut d’une connexion misérable, j’ai commenté sans avoir vu les nombreux commentaires précédent, rendant le mien superflu, sorry !
J'adore quand je lis le fil des commentaires où c'est parti dans tous les sens, comme aujourd'hui en parlant du nom des différents quantités, et que d'un coup quelqu'un commente l'anecdote de base...je me dis toujours pendant 5 secondes, mais de quoi il parle celui là ^^. Sur ce, Santé !
C'est une déformation de demiard, le nom d'une unité de volume utilisée en France au Moyen-Âge, égale à environ 25 cl.
C'est le côté positif de SCMB, où quand ça part dans tous les sens... Ça donne des idées de nouvelles anecdotes à quelques-uns.
En veut pour preuve, celle à propos du champagne, publiée aujourd'hui.
C'est pas faux