Le système métrique de mesure est utilisé aux Etats-Unis et en Angleterre

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Contrairement à une idée reçue, les États-Unis et la Grande-Bretagne utilisent officiellement le système métrique de mesure. Ces deux états sont signataires de la convention du mètre de 1875 qui instaure la création du Système international d'unités (SI). A l'usage, le système impérial est toutefois préféré.

La grande majorité des unités américaines et britanniques du système impérial sont d'ailleurs définies scientifiquement à partir du mètre et du kilogramme.


Tous les commentaires (50)

a écrit : Toujours est-il que la différence entre 20, 21, 22 degrés est importante... Évidemment qu'il y a les décimales, ce n'est pas plus précis en terme de mesure scientifique mais pour parler du ressenti sur le temps qu'il fait la majorité de la population préfère utiliser des nombres entiers et les interprète mieux (tous niveaux d'éducation confondues).
C'est juste plus simple de comprendre la température au jour le jour en Fahrenheit.
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En réalité, la température seule ne veut pas dire grand chose. Il faut prendre en compte la température ressentie liée à la vitesse du vent et donc au flux thermique. Par grand vent un -10 peut paraitre ainsi un -20 sur peau nue.

En plus de ça, il faut prendre en compte les seuils de sensation. Si votre peau est "froide" entre 27 et 28°C par exemple, il faut minimum 1 degré Celsius supplémentaire pour ressentir du chaud mais il ne faudra que 0,2 degré Celsius pour ressentir du froid. Si votre peau est "chaude" vers 32°C, les seuils de chaud et froid seront de minimum 0,5 °C.

Si en plus de ça, la variation de température met plus d'une minute pour varier de 5°C alors il est même possible de ne rien ressentir du tout.

Et encore on a pas parlé des températures en fonction de l'exposition solaire, de l'humidité ou de la pression. Bref, toujours compliqué de savoir comment on s'habille le matin.

a écrit : Toujours est-il que la différence entre 20, 21, 22 degrés est importante... Évidemment qu'il y a les décimales, ce n'est pas plus précis en terme de mesure scientifique mais pour parler du ressenti sur le temps qu'il fait la majorité de la population préfère utiliser des nombres entiers et les interprète mieux (tous niveaux d'éducation confondues).
C'est juste plus simple de comprendre la température au jour le jour en Fahrenheit.
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N'importe quoi. L'écart est de toute façon de plus d'1 °C entre la température réelle locale à un instant donné et la température globale prévue par le bulletin météorologique, et l'imprécision des mesures qu'on fait couramment ou de la répartition de la température dans une pièce en fonction du réglage du thermostat est aussi de plus de 1 °C.

Le seul moment où on a besoin d'une précision supérieure à 1 °C dans la vie de tous les jours c'est quand on prend sa température pour savoir si on a de la fièvre et dans ce cas on utilise les dixièmes de °C, et la précision des °F ne serait pas suffisante non plus et avec les °F il faut donc aussi utiliser les dixièmes de °F et la différence entre deux dixièmes de °F n'est pas significative, la précision des dixièmes de °C est amplement suffisante d'un point de vue médical.

C'est plus simple de comprendre la température en °F si on est habitué aux °F, ce n'est pas lié au fait que l'échelle de mesure est presque 2 fois plus précise.

a écrit : Bizarrement, même si couramment ils utilisent la notion de livre pour le poids, la tonne est utilisée aussi dans le langage de tous les jours, en faisant référence à 1000 kg et non pas à son équivalent en livres (pounds) Les effets du commerce international. Quand t'es le seul pays au monde a utiliser un système archaïque, malgré les réticences, petit à petit tu t'adaptes par la force des choses. Dans les industries de pointes ils utilisent la plupart du temps le système métrique également. Et ils finiront par l'utiliser à 100% comme tout le monde même si ça freine des 4 fers.

Après les erreurs d'unités ça existe de partout, pas qu'entre les systèmes impérial et métrique. Il y a souvent des problèmes (qui font exploser des trucs et tuent des gens) entre le bar (barA/barG) et le Pascal par exemple. L'unité officielle est le Pascal mais dans l'industrie on utilise beaucoup le bar qui est fort pratique. Le problème est qu'1 bar c'est 100.000Pa (soit 0.1MPa) donc l'erreur ne saute pas toujours aux yeux. Alors qu'en PSI (autre unité de redneck) le chiffre n'a rien à voir donc moins de risques d'oublier la conversion.

a écrit : Les effets du commerce international. Quand t'es le seul pays au monde a utiliser un système archaïque, malgré les réticences, petit à petit tu t'adaptes par la force des choses. Dans les industries de pointes ils utilisent la plupart du temps le système métrique également. Et ils finiront par l'utiliser à 100% comme tout le monde même si ça freine des 4 fers.

Après les erreurs d'unités ça existe de partout, pas qu'entre les systèmes impérial et métrique. Il y a souvent des problèmes (qui font exploser des trucs et tuent des gens) entre le bar (barA/barG) et le Pascal par exemple. L'unité officielle est le Pascal mais dans l'industrie on utilise beaucoup le bar qui est fort pratique. Le problème est qu'1 bar c'est 100.000Pa (soit 0.1MPa) donc l'erreur ne saute pas toujours aux yeux. Alors qu'en PSI (autre unité de redneck) le chiffre n'a rien à voir donc moins de risques d'oublier la conversion.
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Les météorologues ont résolu le problème : ils avaient l'habitude d'exprimer la pression atmosphérique en millibars et ils l'expriment désormais en hectopascals pour respecter le système international, et ça donne exactement les mêmes nombres ! Par exemple une pression de 1013 mbar vaudra, si on l'exprime en hPa : 1013 hPa ! Pas de risque d'erreur d'unité pour ceux qui sont encore habitués aux mbar !

a écrit : Les météorologues ont résolu le problème : ils avaient l'habitude d'exprimer la pression atmosphérique en millibars et ils l'expriment désormais en hectopascals pour respecter le système international, et ça donne exactement les mêmes nombres ! Par exemple une pression de 1013 mbar vaudra, si on l'exprime en hPa : 1013 hPa ! Pas de risque d'erreur d'unité pour ceux qui sont encore habitués aux mbar ! Afficher tout Ils n'ont rien résolu du tout. Ils se sont contenté de remplacer mbar par hPa. Le problème est que "hecto" c'est 100, or on résonne en x1000. (milli, kilo, méga, giga..)

a écrit : Ils n'ont rien résolu du tout. Ils se sont contenté de remplacer mbar par hPa. Le problème est que "hecto" c'est 100, or on résonne en x1000. (milli, kilo, méga, giga..) Ben si ils ont résolu puisqu'ils ont trouvé une solution à un problème qui aurait été la confusion des unités. Quand on trouve une solution, ça donne le verbe résolu. Je te rappelle quand même que hecto- est un préfixe du système international, de même que centi- couramment utilisé pour les centimètres, déci- et déca-. Ce n'est pas gênant de mesurer une pression en hPa, les vignerons ont bien l'habitude de mesurer des volumes en hL... Et ça tombe bien car les pressions atmophériques sont de l'ordre de 1000 hPa alors avoir un précision de l'ordre du millième sans utiliser de décimale, c'est exactement le nombre de chiffres significatifs dont on a besoin et c'est très pratique. Mais bien sûr on peut toujours ronchonner sur tous les sujets.

a écrit : Ben si ils ont résolu puisqu'ils ont trouvé une solution à un problème qui aurait été la confusion des unités. Quand on trouve une solution, ça donne le verbe résolu. Je te rappelle quand même que hecto- est un préfixe du système international, de même que centi- couramment utilisé pour les centimètres, déci- et déca-. Ce n'est pas gênant de mesurer une pression en hPa, les vignerons ont bien l'habitude de mesurer des volumes en hL... Et ça tombe bien car les pressions atmophériques sont de l'ordre de 1000 hPa alors avoir un précision de l'ordre du millième sans utiliser de décimale, c'est exactement le nombre de chiffres significatifs dont on a besoin et c'est très pratique. Mais bien sûr on peut toujours ronchonner sur tous les sujets. Afficher tout Ils n'ont pas trouvé de solution puisque ce dont tu parles n'a jamais été un problème. Changer d'unités est une simple conversion, à aucun moment on s'est demandé comment faire.

Ce dont je parle, ce sur quoi tu as réagit, c'est du risque d'erreur induit par l'usage simultané du bar et du Pascal dans l'industrie. Risque induit par le fait que les chiffres se ressemblent lorsque ramener à des ordres de grandeurs similaires, mais sont séparés par un x10.

a écrit : Ils n'ont pas trouvé de solution puisque ce dont tu parles n'a jamais été un problème. Changer d'unités est une simple conversion, à aucun moment on s'est demandé comment faire.

Ce dont je parle, ce sur quoi tu as réagit, c'est du risque d'erreur induit par l'usage simult
ané du bar et du Pascal dans l'industrie. Risque induit par le fait que les chiffres se ressemblent lorsque ramener à des ordres de grandeurs similaires, mais sont séparés par un x10. Afficher tout
Ben si ça aurait aussi été un problème si les météorologues s'étaient mis à exprimer des valeurs en Pa ou en kPa quand on leur a demandé d'utiliser les unités du S.I., il y aurait eu une période de flottement, l'usage simultané de deux unités qui donnent des nombres différents séparés par un facteur 10, et des risques d'erreurs, exactement comme ce que tu décris dans l'industrie. D'où la solution de passer des mbar aux hPa, et de n'utiliser que les hPa, qui est une unité du S.I. contrairement à ce que tu prétends, et ça a évité tous les problèmes !

a écrit : Avec une échelle plus courte , les mesures sont plus précises . Il suffit de mettre les chiffres significatifs qui vont bien pour avoir la précision souhaitée...

a écrit : Toujours est-il que la différence entre 20, 21, 22 degrés est importante... Évidemment qu'il y a les décimales, ce n'est pas plus précis en terme de mesure scientifique mais pour parler du ressenti sur le temps qu'il fait la majorité de la population préfère utiliser des nombres entiers et les interprète mieux (tous niveaux d'éducation confondues).
C'est juste plus simple de comprendre la température au jour le jour en Fahrenheit.
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En fait les degrés celsius étant construit sur une échelle observable et expérimentale par n'importe qui a peut près n'importe où, on peut avoir une idée assez parlante et très simple de ce que représente 0 degré et 100 degrés immédiate, tout le monde ayant fait l'expérience de ce que c'est que de l'eau qui bout et de la glace qui fond. L'échelle Fahrenheit ne repose sur rien de facilement observable ou expérimentable. Pour avoir une idée il faut passer par la conversion. Et effectivement il suffit d'utiliser les décimales pour avoir toute la précision possible.

a écrit : En fait les degrés celsius étant construit sur une échelle observable et expérimentale par n'importe qui a peut près n'importe où, on peut avoir une idée assez parlante et très simple de ce que représente 0 degré et 100 degrés immédiate, tout le monde ayant fait l'expérience de ce que c'est que de l'eau qui bout et de la glace qui fond. L'échelle Fahrenheit ne repose sur rien de facilement observable ou expérimentable. Pour avoir une idée il faut passer par la conversion. Et effectivement il suffit d'utiliser les décimales pour avoir toute la précision possible. Afficher tout Je ne suis pas tellement d'accord. L'échelle des Fahrenheit a été faite pour être simple à utiliser au contraire et en passant très rarement dans les négatifs (principal avantage pour une population nulle en maths à l'époque).

-18 °C = 0 °F (température des congélateurs)
0°C = 32 °F (suffit de savoir que l'eau gèle à 32°F, c'est observable)
4,5°C= 40°F (température des réfrigérateurs)
21°C = 70°F (température d'une maison)
38°C = 100°F (suffit de savoir que la température normal du corps humain est environ 100°F)
100°C = 212°F (suffit de savoir que l'eau bout à 212°F, c'est observable)

Cela nous parait compliqué car on ne l'utilise pas mais c'est très simple pour ceux qui l'utilisent. Et si on a fait un peu de physique, on peut aussi se dire qu'il n'est pas très judicieux d'avoir des températures négatives que ce soit en °C ou en °F. L'augmentation de température résultant d'une augmentation d'énergie thermique, une température négative peut paraître même stupide. Un jour peut-être, nous mesurerons tout en Kelvin.

Anecdote : Le livre Fahrenheit 451 s'appelle ainsi car c'est la température du point d'auto-inflammation du papier (en théorie car cela dépend beaucoup du type de papier et cette valeur est fortement remise en question). Et cela tombe bien car le héros doit faire l'autodafé des livres contraires aux idées du régime en place.

Essayez de parler de notre mesure au peuple américain... Ils vous regarderont avec des énormes yeux (je sais qu'ils ont appris à l école !).

En météorologie, on utilise des codes pour envoyer les rapports météo dans le monde entier. Ces codes varient selon le destinataire. Soit c'est une observation pour l'aviation (code METAR), soit elle est purement météo (code SYNOP). Ces codes existent depuis de très nombreuses années et sont les mêmes pour tous les pays.

Le code METAR qui est le plus simple à décoder pour un non météo utilise des degrés entiers pour la température et le point de rosée (dewpoint en anglais) car il n'y a pas besoin de plus de précision. La pression est en hPa est donne le QNH (pression ramenée au niveau de la mer suivant l'atmosphère standard) de la station, et au besoin peut être donnée en pouce de mercure. A ce moment, la pression dans le code sera précédée d'un A et non d'n Q. Il est très facile à retrouver les informations météo des aérodromes sur internet.
fr.wikipedia.org/wiki/METAR

Le code SYNOP (pour synoptique) est un code formé uniquement de groupe de 5 chiffre. C'est la place du groupe et son premier chiffre qui indique la donnée du groupe (température, pression, nuages, ...) Ici la température est donnée avec une décimale. L'OMM recommande une précision de 0.2°C pour que l'observation soit valide, ce qui date de l'époque des thermomètres à mercure et à alcool. Cette valeur est restée inchangée, bien que les senseurs soient plus précis maintenant. La pression qui était notée en millibar est maintenant en hectopascal, ce qui ne change rien pour le code. Ainsi pas besoin de changer la notation du groupe de pression, ni la différence de pression sur 3 heures. Dans le code synop on n'utilise que les degrés celcius et le hPa, ainsi que le mètre pour la visibilité horizontale et le pied pour la visibilité verticale (hauteur des nuages). La seule valeur qui peut varier c'est la force du vent qui peut être en noeuds ou en mètres par secondes, et le code indique quelle valeur est utilisée.
En prévision, il est déjà très difficile de prévoir à un degré près la température qu'il fera dans un futur proche, et bien souvent on donne pour les valeur minimum et maximum une fourchette de 2 degré (exemple temp max de 27-28°C). Donc si on utilisait les degrés Fahrenheit on aurait une fourchette plus grande car la précision de la prévision ne changerait pas, elle. De plus ce n'est que aux alentours de zéro degrés celcius que la précision est la plus utile pour la formation de verglas et c'est à ces températures que l'on prend le plus de temps pour affiner sa prévision.

a écrit : Et un «Quarter Pounder» pour la 12 Et comment appelle-t-on un Big Mac?

a écrit : Je ne suis pas tellement d'accord. L'échelle des Fahrenheit a été faite pour être simple à utiliser au contraire et en passant très rarement dans les négatifs (principal avantage pour une population nulle en maths à l'époque).

-18 °C = 0 °F (température des congélateurs)
0°C = 32 °F
(suffit de savoir que l'eau gèle à 32°F, c'est observable)
4,5°C= 40°F (température des réfrigérateurs)
21°C = 70°F (température d'une maison)
38°C = 100°F (suffit de savoir que la température normal du corps humain est environ 100°F)
100°C = 212°F (suffit de savoir que l'eau bout à 212°F, c'est observable)

Cela nous parait compliqué car on ne l'utilise pas mais c'est très simple pour ceux qui l'utilisent. Et si on a fait un peu de physique, on peut aussi se dire qu'il n'est pas très judicieux d'avoir des températures négatives que ce soit en °C ou en °F. L'augmentation de température résultant d'une augmentation d'énergie thermique, une température négative peut paraître même stupide. Un jour peut-être, nous mesurerons tout en Kelvin.

Anecdote : Le livre Fahrenheit 451 s'appelle ainsi car c'est la température du point d'auto-inflammation du papier (en théorie car cela dépend beaucoup du type de papier et cette valeur est fortement remise en question). Et cela tombe bien car le héros doit faire l'autodafé des livres contraires aux idées du régime en place.
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Il y a d’ailleurs une anecdote sur les températures et pourquoi ce n’est pas forcément pertinent de compter en négatif ici. Par exemple, 2x plus chaud que 0° (celcius, fahrenheit) n’est intuitif que dans peu d’échelles

Le Kelvin paraît peu utilisable dans la vie de tous les jours, ce sera toujours plus simple d’utiliser une variation entre -30 et 50 °C alors qu’en Kelvin on a tout de même les premiers 200° K qui ne seront pas utilisés.

Et ça prendrait de la place sur les cartes météo ;)

a écrit : Il y a d’ailleurs une anecdote sur les températures et pourquoi ce n’est pas forcément pertinent de compter en négatif ici. Par exemple, 2x plus chaud que 0° (celcius, fahrenheit) n’est intuitif que dans peu d’échelles

Le Kelvin paraît peu utilisable dans la vie de tous les jours, ce sera toujours plus sim
ple d’utiliser une variation entre -30 et 50 °C alors qu’en Kelvin on a tout de même les premiers 200° K qui ne seront pas utilisés.

Et ça prendrait de la place sur les cartes météo ;)
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Si on commence à faire de l'exploration spatiale et à coloniser la galaxie (oui je rêve un peu), il faudra passer en Kelvin pour savoir quelle combinaison enfiler ^^. La nuit il fait 130 Kelvin sur Mars et 210 Kelvin en moyenne. ^^

a écrit : Ben si ça aurait aussi été un problème si les météorologues s'étaient mis à exprimer des valeurs en Pa ou en kPa quand on leur a demandé d'utiliser les unités du S.I., il y aurait eu une période de flottement, l'usage simultané de deux unités qui donnent des nombres différents séparés par un facteur 10, et des risques d'erreurs, exactement comme ce que tu décris dans l'industrie. D'où la solution de passer des mbar aux hPa, et de n'utiliser que les hPa, qui est une unité du S.I. contrairement à ce que tu prétends, et ça a évité tous les problèmes ! Afficher tout Non.. quoique t'en penses, les météorologues n'ont pas résolu de problème en adoptant l'unité qui les arrangeait. Ils ont fait ce qui s'imposait naturellement. Le fait qu'ils ne soient pas concernés par le problème ne résout en rien ledit problème.

Parler d'hPa est intéressant lorsqu'on parle de météo, peut-être dans d'autres secteurs, mais pas dans l'industrie. Si on parle d'un réservoir à 200bars on ne parlera pas de 200.000hPa, ni 20.000.000Pa, mais de 20MPa.

a écrit : Non.. quoique t'en penses, les météorologues n'ont pas résolu de problème en adoptant l'unité qui les arrangeait. Ils ont fait ce qui s'imposait naturellement. Le fait qu'ils ne soient pas concernés par le problème ne résout en rien ledit problème.

Parler d'hPa est intéressant
lorsqu'on parle de météo, peut-être dans d'autres secteurs, mais pas dans l'industrie. Si on parle d'un réservoir à 200bars on ne parlera pas de 200.000hPa, ni 20.000.000Pa, mais de 20MPa. Afficher tout
Tant pis pour toi si l'élégance de cette solution te dépasse complètement.

a écrit : Tant pis pour toi si l'élégance de cette solution te dépasse complètement. Y a rien d'élégants là-dedans.. c'est comme se féliciter d'avoir converti des euros en centimes ! Lol

a écrit : Y a rien d'élégants là-dedans.. c'est comme se féliciter d'avoir converti des euros en centimes ! Lol Non, ça n'a rien à voir, et tu aurais compris que c'est même exactement le contraire si tu avais perçu l'intérêt de ce choix d'unités en météorologie.