Contrairement à une croyance bien ancrée, l'urine n'est pas stérile : l'analyse par séquençage génétique révèle la présence de bactéries dans la vessie. Cependant, ces bactéries ne sont pas responsables des infections urinaires, et pourraient même jouer un rôle protecteur contre celles-ci.

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J'ai aussi souri au "pleine de bite" en me demandant si Primate considérait son sexe comme immatériel ou au contaire s'il était pourvu de plusieurs sexes ^^
C'est pourtant l'inverse qui entraîne les maladies nosocomiales.
Les personnels hospitaliers n'ont pas forcément le temps (ou ne le prenne pas. Les 2 affirmations etant vraies), de se laver les mains entre chaque patient, ne nettoient pas forcément bien ce qui est réutilisable entre 2 patients, toussent sans protéger les autres.... et de fait les bactéries ou virus passent de patient en patient.
Et bien sûr tu as aussi des malades qui "s'auto-infectent" avec leur propres bactéries.
solidarites-sante.gouv.fr/soins-et-maladies/prises-en-charge-specialisees/infections-osteo-articulaires/infections-nosocomiales-questions-reponses/#:~:text=Comment%20se%20transmettent%20les%20infections,exemple%20une%20%C3%A9pid%C3%A9mie%20de%20grippe).
Elle est bien sterile pour les personnes en bonne santé notamment au niveau de la vessie. C'est assez logique puisque c'est du sang filtré.
www.msdmanuals.com/fr/accueil/troubles-r%C3%A9naux-et-des-voies-urinaires/infections-des-voies-urinaires-ivu/pr%C3%A9sentation-des-infections-des-voies-urinaires-ivu#:~:text=Chez%20les%20personnes%20en%20bonne,quantit%C3%A9%20pour%20entra%C3%AEner%20une%20infection.
C'est un article sur les infections urinaires. Puisque tu penses savoir ce qui est assez logique, tu aurais dû comprendre que c'est assez logique qu'il ne s'intéresse pas aux microbes qui ne sont pas pathogènes, d'autant plus que ces microbes non pathogènes de la vessie sont une découverte récente dont le rôle dans une éventuelle prévention des infections urinaire n'a même pas été démontré.
C'est comme le microbiote intestinal. Dans le temps on l'appelait "les bactéries commensales", ce qui veut dire "qui mangent avec nous" car on croyait qu'elles profitaient de nous sans rien nous apporter, jusqu'à ce qu'on découvre le bénéfice qu'elles nous apportent qui est tout simplement que nous ne pouvons pas vivre sans elles.