Avant les tests ADN, on pouvait utiliser le test PTC en cas de doute sur la paternité. La capacité à percevoir l'amertume de la phénylthiocarbamide est en effet d'origine génétique : si le père la percevait, l'enfant devait aussi la percevoir.
Le test était toutefois imprécis car réellement utile qu'en cas de résultat différent : père et enfant ayant le même résultat ne voulait pas forcément dire qu'ils étaient parents.
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Et même si je surveille mon corps et que je sais quels jours, ça reste ma responsabilité si je me plante…
Comme d'habitude, les femmes ces grandes manipulatrices, font des enfants dans le dos à ces pauvres hommes qui n'ont rien demandé. Il serait temps de sortir des clichés et comprendre vraiment ce qu'on inflige aux femmes qui se retrouvent obligées de gérer la contraception des hommes depuis des siècles.
Non, on ne sera jamais égaux sur la question de la procréation, pour autant, tout le monde peut gérer sa contraception lui-même ou elle-même. La pillule pour homme existe mais n'a pas été commercialisée à cause des effets secondaires que ces messieurs trouvaient désagréables. Spoiler alert, ce sont les effets que les femmes se mangent depuis des décennies (et même des effets bien plus lourds) sans rien dire, parce que si elles tombent enceinte c'est elles qui trinquent, monsieur pourra gentiment disparaître comme il veut. Ça suffit d'accuser les femmes.
Conscientiser les femmes sur la prise en charge d'un enfant seule ? Je rêve. Conscientiser les hommes sur la prise en charge d'un enfant oui ! On a pas voulu du préservatif parce que c'est désagréable ? Bah tiens, va t'en occuper pour les 18 prochaines années. On a plus de capotes mais c'est pas grave ? Bah va te faire poser des électrodes pour simuler les douleurs d'une ivg, et on en reparle, de si c'est pas grave.
Non si tu te plantes ça n'est pas entièrement de ta responsabilité, le mec en face il s'est posé la question ? T'es pas sûre de tes jours ? Il peut choisir d'agir de son côté. Il ne veut pas d'enfant, il se débrouille avec les contraceptions qui sont à sa portée.
Ou sinon dans les relations humaines sensées et réfléchies, on discute avec son partenaire du meilleur moyen de contraception (et de protection contre les IST) par rapport à la situation et au besoin.
Si c’est rapide et juste pour un soir : préservatif (masculin ou féminin).
Si c’est une relation longue : test IST + pilule (homme ou femme) ou stérilet ou implant ou préservatif.
Si c’est une relation établie avec enfants : vasectomie, ligature, pilule, stérilet, implant.
Les choix sont tout de même suffisamment variés pour trouver ce dont on a besoin.
On a tous une langue, il faudrait l’utiliser (pour discuter ou pour autre chose d’ailleurs).
Ça fait bien longtemps que je n'ai pas utilisé ma langue pour coller un timbre ;)