Arthur John Priest fut un dur à cuire, ou plutôt à couler. Ce machiniste anglais travailla dans les chaudières de plusieurs navires, dont 4 firent naufrage : le Titanic, l'Alcantara, le Britannic et le Donegal. Il survécut à chaque fois, ce qui lui valut le sobriquet de "chauffeur insubmersible".
Commentaires préférés (3)
Ou autre option, il leur portait la poisse, la sccoumoune!
On pouvait aussi lui adapter la devise de Paris "fluctuât et mergitur " au lieu de fluctuât nec mergitur...!
C’est l’occasion de rappeler que le mot chauffeur vient à l’origine de celui qui s’occupe de la chaudière d’un véhicule. 
Dans une moindre mesure, lors de la 2ème guerre mondiale, en Allemagne, mon grand-père français s'est fait trancher la gorge puis placer à la morgue. Heureusement un jeune allemand travaillant là s'est aperçu qu'il n'était pas mort: il l'a soigné, nourri et aidé à s'enfuir. Honorable. Juste après la guerre, mon grand-père s'est marié avec ma grand-mère, une allemande :)
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Ou autre option, il leur portait la poisse, la sccoumoune!
On pouvait aussi lui adapter la devise de Paris "fluctuât et mergitur " au lieu de fluctuât nec mergitur...!
C’est l’occasion de rappeler que le mot chauffeur vient à l’origine de celui qui s’occupe de la chaudière d’un véhicule. 
"le chat noir" aurait tout aussi pu convenir
Je mets un lien vers sa page wikipédia pour les curieux : fr.m.wikipedia.org/wiki/Sam_l'insubmersible
Va savoir... ça se trouve à chaque fois il a du "sacrifier" un collègue pour se sortir de ces situations. Mais les autres ne pourront à l évidence le balancé.
Je sais comment sortir d ici.... a vous trois vous pouvez me hisser jusque la poutre. Ensuite je fais le tour et j ouvre la porte de l auuuutre côté.
En vrai ce n est pas bien ça se trouve il est sortis comme un grand tout seul.
- C'est bon on peut appareiller ? Tiens au fait, on nous a mis qui comme chauffeur ?
- Arthur.
- et merde...
secouchermoinsbete.fr/27990-la-miraculee-des-naufrages
Quand c'est pas l'heure , c'est pas l'heure,! j'ai lu quand j'étais gamine ( j'ai 60 ans ) l'histoire d'un soldat français en Indochine qui a été décapité avec d'autres soldats au bord d'une fosse, et qu'on a raté, (comme nick quasi sans tête), sauf que se soldat à survécu , et à fuit la nuit tombée en retenant sa tête ,
www.souvenir-francais-92.org/2017/01/le-decapite-de-dong-dang.html
Impressionnant, en effet
Faut changer la règle: les femmes, les enfants et les machinistes d’abord !
Dans une moindre mesure, lors de la 2ème guerre mondiale, en Allemagne, mon grand-père français s'est fait trancher la gorge puis placer à la morgue. Heureusement un jeune allemand travaillant là s'est aperçu qu'il n'était pas mort: il l'a soigné, nourri et aidé à s'enfuir. Honorable. Juste après la guerre, mon grand-père s'est marié avec ma grand-mère, une allemande :)
Quant au soldat à moitié decapité de l'histoire, il a non seulement été chanceux mais surtout très adroit pour éviter le coup mortel (en observant comment les précédents avaient été décapités) et très courageux pour retenir ses cris sous les coups suivants puis réussir à se trainer jusqu'à un village. Ceux qui étaient aussi chanceux mais moins adroits ou moins courageux n'ont pas pu raconter leur histoire...
Moi j'arrive à éviter les balles de fusil attaché à un poteau d'exécution aussi, c'est pas évident, il faut beaucoup s'entrainer et éviter autant que possible les heures de pointe. ^^
Il a eu de la chance, c'est tout, et ca serait pas la première fois qu'un bourreau rate son coup parce qu'il est beurré et déteste son travail, parce que rater son coup avec une lame de 70 centimètres affutée comme un rasoir, soit on le fait exprès, soit on a les yeux qui se touchent. Et tu devinera jamais pourquoi je le sais. :)
Personne ne trouve ça louche que les navires sur lesquels il a pu travailler aient tous coulé ?