Le peintre du XVIIe siècle Claude Lorrain trouva un moyen original pour lutter contre les contrefaçons et contre les peintres qui signaient de son nom leurs oeuvres : il reproduisit tous ses tableaux en croquis dans un album nommé "Liber veritatis" (Livre de la vérité), indiquant également le nom de leur acheteur. Ce livre se trouve actuellement au British muséum de Londres.
Commentaires préférés (3)
Il y avait déjà des "fake"..!
Oui mais ce livret pouvais lui aussi être contrefait non ???
Je chipote encore avec les accents, mais "museum" n'en a pas ;).
Tous les commentaires (17)
Il y avait déjà des "fake"..!
Oui mais ce livret pouvais lui aussi être contrefait non ???
Je chipote encore avec les accents, mais "museum" n'en a pas ;).
muséum à bien un accent :-)
C'est Claude Gelée dit LE lorrain (oui je suis lorrain et pointilleux ^^) il aurai aussi inventer la pâte feuilleté lorsqu'il étai pâtissier sinon je ne savait pas pour le liber veriatis merci Foncat
Je ne connaissais pas ce peintre, ni l'idée du Liber veritatis, et apprécie les quelques peintures que j'ai vues. JMCMB.
Seul le mot "fiancé(e)", piqué par les anglais, possède un accent.
Sur ce, LA BISE !!!!!!
Concernant l'anecdote, je ne comprends pas bien le principe. Était-ce un livre privé ou bien public ? Comment le mettait-il à jour ? Les gens pouvaient-ils le consulter à leur gré ?
Le terme exact n'est pas contrefaçon mais "contrefaisant". En effet on ne dit pas "un produit contrefait" mais plutot "une produit contrefaisant". :-)
Source: une émission LCP sur la maroquinerie transalpine.