En Chine, lorsqu'un individu est condamné à mort, il peut se voir prélever ses organes afin d'en faire "don" aux personnes en attente d'une greffe. Une estimation fait état qu'en 2009, au moins 65% des greffons viennent de prisonniers exécutés. Les autorités chinoises ont annoncé vouloir mettre fin à cette pratique d'ici 2014.
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Tous les commentaires (93)
Les chinois sont très attacher a leurs traditions a ta places je parlerai pas trop vite
C'est effectivement pratique courante, d'où la proximité des lieux exécution par rapport aux hôpitaux ainsi que le mode d'exécution (une balle dans la nuque) qui évite de détruire les organes...
Je sais bien qu'ils sont très attacher à leur tradition ( je vis dans ce pays et je suis marié à une chinoise ) , malgré cela, ils sont aussi objectif que nous(les occidentaux) sur la valeur de la vie humaine par rapport à une tradition.
Entre mourir et vivre avec le cœur d'un condamner a mort.. Il faut choisir
Pourquoi arréter ? Selon moi le condamné a mort ne devrait pas avoir le choix, vu qu'il est mort. La famille du condamné pourra etre fier de leur enfant
Pas mal, tout en subtilité!
D'ailleurs les corps utilisés dans l'exposition Bodies a New York sont principalement des chinois condamnés a mort.
Sauf si il est innocent et qu'il prend la place d'un autre !
C est vrai que quand quelque chose marche il vaut mieux l arrête de suite on sait jamais au cas ou a pourrait sauver des vies !!!
Cela me rappelle une exposition: "our body - a corps ouvert" ou de vrai corps de prisonniers chinois avaient été utilisés et exposés. Une exposition assez impressionnante quoiqu'il en soit.
@SpliffItUp, Ce qui n'a rien d'étonnant dans la mesure où c'est le pays le plus peuplé. Même si il est vrai que le taux d'exécutions est beaucoup trop élevé.
De plus le prix de la balle est facturée a la famille du condamner
Ils ont peut-être mérité d'être en prison, mais leur gestes n'en est pas moins beau, ça sauve des vies.
Heu ... Je sais pas si t'es au courant ms en Chine , y'a pas que les méchants en prison ....
A vrais dire, la "politique" chinoise est assez spéciale.
C'est pour ça qu'on vient de retrouver à Shanghai un gamin vivant à qui on avait prélevé les yeux après l'avoir drogué!
Certes j en convient comme dans la casi totalité des pays il y a de malheureux innocents injustement condamnés par une justice beaucoup trop laxiste ou corrompue comme bon vous semble.
Seulement la le prisonnier est un condamné a mort donc comme son titre l indique : il est condamné a mourir quoi qu il arrive---> autant qu on lui prenne ses organes c est tout.
"Pas une gentille personne" -> rien de plus faux, beaucoup de condamnés à mort sont des opposant au régime, qui sont donc bien plus héroïques que vous ou moi, et qui finalement se seront battus au nom de la liberté pour sauver la vie d'un autre (qui est peut-être un riche partisan pro-muselière, si je puis dire).
Prisonnier, pas prisonnier, ne me semble pas être le fond du débat ; cela devrait être un choix personnel, quelle que soit sa condition ; sinon, où est la limite ? La vraie question à mon sens est comment organiser globalement et autrement le don d'organe. Pourquoi ne pas commencer par faire l'inverse de ce qui se passe aujourd'hui ? C'est à dire qu'on deviendrait tous donneurs systématiques d'organes, sauf ceux qui en ont fait expressément une interdiction de leur vivant. Ça éviterait les couillons comme moi qui sont donneurs potentiels (dans l'esprit et sous réserve qu'il y ait quelque chose de bon à prélever) mais qui n'ont jamais fait la démarche de l'écrire. Et m'est avis que je ne dois pas être le seul...
C'est con, c'est le seul truc de bien qu'ils font ...