La drôle d'origine de certains mots commençant par un H

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C'est drôle de dire que l'orthographe des ces mots n'a pas d'étymologie, alors que finalement l'anecdote porte en quelques sorte sur leur étymologie. Non?

a écrit : Oulala je vois beaucoup de bêtise dans les commentaires que je voudrais corriger...

J'ai lu que si on ne distinguait pas le "u" du "v" c'était par exemple parce qu'il était dur de tailler des arrondis...
Alors la constatation n'est pas fausse mais elle n'a
rien à voir avec les faits.
Pour commencer les latins utilisaient une vingtaine de lettres.
Surtout qu'à l'époque on maîtrisait déjà la confection de papyrus depuis belle lurette mais bon...

Ce n'est pas parce que tailler ces lettres étaient compliqué qu'ils ne les utilisaient pas, sinon ils auraient pu inventer des formes rectilignes. Mais en langue latine on ne fait pas de distinction entre ces deux lettres vu qu'elles n'en forment qu'une!
Elle se pouvait se prononcer différemment selon leur place dans le mot...

Par exemple:
"VENI" : uéni
"CAIUS": ca-ius

(Alors merci aux puristes de ne pas me critiquer mais je veux vous rappeller que tout le monde ne maîtrise pas la phonétique et je veux rendre accessible mon exemple à tous.

Une autre personne disait qu'il y avait une histoire où les "scientifique se seraient rendu compte de la différence des lettres avec la citation de César.
Mais là encore c'est une erreur je vous rappelle que la langue latine n'a jamais été perdu au contraire de l'Égypte antique par exemple et que l'on a toujours su en Europe comment on parlait du temps de Ciceron.

D'ailleurs grosso merdo la langue latine s'étale sur 1100 ans et elle n'est pas uniforme.
(Essayez de vous imaginer discuter avec Hugues Capet.....)
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je me demande si les deux commentaires auxquels tu réponds n'était pas humoristiques ;-)

Aussi : u se prononce "ou" soit ca-ious. ;-)

D'ailleurs j'ai une question car je ne trouve pas de réponse, existe t il une règle qui permet de différencier si on est face à la prononciation en voyelle "u" ou en consonne "v"?

Dans VRBS (urbs "la ville") et VENI (veni de "venir") on a dans ces deux exemple la même lettre en début de mot qui tanto est voyelle et tanto consonne. Deux utilisations différentes et pourtant la même place dans le mot.

a écrit : Oulala je vois beaucoup de bêtise dans les commentaires que je voudrais corriger...

J'ai lu que si on ne distinguait pas le "u" du "v" c'était par exemple parce qu'il était dur de tailler des arrondis...
Alors la constatation n'est pas fausse mais elle n'a
rien à voir avec les faits.
Pour commencer les latins utilisaient une vingtaine de lettres.
Surtout qu'à l'époque on maîtrisait déjà la confection de papyrus depuis belle lurette mais bon...

Ce n'est pas parce que tailler ces lettres étaient compliqué qu'ils ne les utilisaient pas, sinon ils auraient pu inventer des formes rectilignes. Mais en langue latine on ne fait pas de distinction entre ces deux lettres vu qu'elles n'en forment qu'une!
Elle se pouvait se prononcer différemment selon leur place dans le mot...

Par exemple:
"VENI" : uéni
"CAIUS": ca-ius

(Alors merci aux puristes de ne pas me critiquer mais je veux vous rappeller que tout le monde ne maîtrise pas la phonétique et je veux rendre accessible mon exemple à tous.

Une autre personne disait qu'il y avait une histoire où les "scientifique se seraient rendu compte de la différence des lettres avec la citation de César.
Mais là encore c'est une erreur je vous rappelle que la langue latine n'a jamais été perdu au contraire de l'Égypte antique par exemple et que l'on a toujours su en Europe comment on parlait du temps de Ciceron.

D'ailleurs grosso merdo la langue latine s'étale sur 1100 ans et elle n'est pas uniforme.
(Essayez de vous imaginer discuter avec Hugues Capet.....)
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"on a toujours su en Europe comment on parlait du temps de Ciceron"

Oui, mais l'Église, sous l'influence de l'italien, en a modifié la prononciation; il a fallu la restituer d'après les assonances des poèmes et quelques règles d'évolution.
Par exemple, le premier mot que l'on apprend, "rosa", se prononçait dur, "rossa" (ce que le portugais a gardé).
"Jules César", c'était "youlious kessar".

Et il a des confusions: j'ai été très surpris d'entendre dans un film dirigé par Pagnol, pourtant provençal et latiniste, le "Ite, missa est" "traduit" par "allez, la messe est finie" alors que c'est "allez, vous êtes envoyés en mission".

De même, bien des Parisiens croient que leur devise "Fluctuat nec mergitur" signifie "elle [la nef] flotte mais ne sombre pas", lapalissade absurde; le vrai sens est "elle est secouée [cf "fluctuer"], mais ne sombre pas"

a écrit : Ce n'est une liaison ! C'est juste le "n" de "une". Je ne vois pas pourquoi on ne le prononcerait pas.
Pitié : dis-moi que ton post est un troll ...
;) ;)

a écrit : je me demande si les deux commentaires auxquels tu réponds n'était pas humoristiques ;-)

Aussi : u se prononce "ou" soit ca-ious. ;-)

D'ailleurs j'ai une question car je ne trouve pas de réponse, existe t il une règle qui permet de différencier si on est face à la pro
nonciation en voyelle "u" ou en consonne "v"?

Dans VRBS (urbs "la ville") et VENI (veni de "venir") on a dans ces deux exemple la même lettre en début de mot qui tanto est voyelle et tanto consonne. Deux utilisations différentes et pourtant la même place dans le mot.
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Ma vieille prof' de latin nous avait dit que le V se prononçait U quand il etait situé entre deux consonnes ou en début de mot, et qu'on le prononçait V dans les autres cas. En esperant t'avoir aidé :)

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windowsphone

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a écrit : Pas facile de tailler des arrondis dans la pierre Oui les Romains écrivait sur des pierres mais le Français de l'epoque moderne s'écrivait sur parchemin donc c'est juste que le U et V se confondait

a écrit : Pas facile de tailler des arrondis dans la pierre Donc les "O" on les faisait comment ?

a écrit : Ce n'est une liaison ! C'est juste le "n" de "une". Je ne vois pas pourquoi on ne le prononcerait pas.
Pitié : dis-moi que ton post est un troll ...
Son exemple marche mieux avec l'article défini. On dit les zuitres et non pas lé huîtres alors que l'on dit lé haricots et non pas les zaricots

Et en plus les mots comme Homme, Huîtres et Huiles ont un H mais l'ont fait aussi la liaison!! Alors que l'ont dit aux enfants que pour les mots commençant par un H on ne fait pas la liaison!! (Comme haricots par exemple!)

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android

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a écrit : "on a toujours su en Europe comment on parlait du temps de Ciceron"

Oui, mais l'Église, sous l'influence de l'italien, en a modifié la prononciation; il a fallu la restituer d'après les assonances des poèmes et quelques règles d'évolution.
Par exemple, le premier mo
t que l'on apprend, "rosa", se prononçait dur, "rossa" (ce que le portugais a gardé).
"Jules César", c'était "youlious kessar".

Et il a des confusions: j'ai été très surpris d'entendre dans un film dirigé par Pagnol, pourtant provençal et latiniste, le "Ite, missa est" "traduit" par "allez, la messe est finie" alors que c'est "allez, vous êtes envoyés en mission".

De même, bien des Parisiens croient que leur devise "Fluctuat nec mergitur" signifie "elle [la nef] flotte mais ne sombre pas", lapalissade absurde; le vrai sens est "elle est secouée [cf "fluctuer"], mais ne sombre pas"
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"Nec" signifie "et ne pas", c'est une licence de traducteur de donner "mais" pour son équivalent.

a écrit : Ce n'est une liaison ! C'est juste le "n" de "une". Je ne vois pas pourquoi on ne le prononcerait pas.
Pitié : dis-moi que ton post est un troll ...
Lol. L'exemple était mal choisi mais c'est vrai qu'on fait la laison comme dans des-z'huitres par exemple.

Est-ce que c'est pour cette raison que l'on accorde à l'oral, des "zhuitres" et des "zhuiles" ou rien à voir ?

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android

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a écrit : On aurait pu manger uit uîtres bien fraîches assaisonnées d'une pointe d'uile d'olive :D Je ne sais pas si cela se mange... une vit vitre avec une pointe de vile d'olive a essayé :p

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android

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a écrit : "Nec" signifie "et ne pas", c'est une licence de traducteur de donner "mais" pour son équivalent. « Nec », d’après le dictionnaire (Henri Gœlzer, et le Gaffiot abonde d’exemples), peut être traduit selon le contexte par :
a) Ne
b) Et…ne…pas
c) Mais…ne…pas
d) Or…ne…pas
e) Et cependant…ne…pas
f) Ne pas même
g) Ni

La seule chose discutable, et j'en étais conscient, est que je n’imitais pas la concision propre au latin en ne traduisant pas « …mais ne sombre. », car le « pas » n’est qu’un augmentatif comme « point, mie, guère », la négation étant entièrement portée par le "ne". J'aurais préféré, mais certains auraient cru à une distraction.

On les appelle consonnes diacritiques. Source : mes cours d'histoire de la langue.

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android

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a écrit : On aurait pu manger uit uîtres bien fraîches assaisonnées d'une pointe d'uile d'olive :D Au moins ça évite les fautes d'orthographes :D.

a écrit : Pas facile de tailler des arrondis dans la pierre Ca vient de là ??

a écrit : Pas facile de tailler des arrondis dans la pierre Pour toi, construire une cathédrale est plus simple que de tailler un arrondi ?

Et le O, le Q....

a écrit : "on a toujours su en Europe comment on parlait du temps de Ciceron"

Oui, mais l'Église, sous l'influence de l'italien, en a modifié la prononciation; il a fallu la restituer d'après les assonances des poèmes et quelques règles d'évolution.
Par exemple, le premier mo
t que l'on apprend, "rosa", se prononçait dur, "rossa" (ce que le portugais a gardé).
"Jules César", c'était "youlious kessar".

Et il a des confusions: j'ai été très surpris d'entendre dans un film dirigé par Pagnol, pourtant provençal et latiniste, le "Ite, missa est" "traduit" par "allez, la messe est finie" alors que c'est "allez, vous êtes envoyés en mission".

De même, bien des Parisiens croient que leur devise "Fluctuat nec mergitur" signifie "elle [la nef] flotte mais ne sombre pas", lapalissade absurde; le vrai sens est "elle est secouée [cf "fluctuer"], mais ne sombre pas"
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Pour la prononciation de César, rien d'étonnant puisqu'il s'agit d'un æ. Ce signe à été remplacé par un é en français mais il a été conservé dans la graphie moderne d'autres langues, comme le grec, où aujourd'hui on écrit Kaisaras pour César ( qui a donné Kaiser en allemand) c'est aussi la raison pour laquelle les allemands écrivent Ägyptien pour l'Egypte et les grecs Aiyiptos :)

a écrit : Oulala je vois beaucoup de bêtise dans les commentaires que je voudrais corriger...

J'ai lu que si on ne distinguait pas le "u" du "v" c'était par exemple parce qu'il était dur de tailler des arrondis...
Alors la constatation n'est pas fausse mais elle n'a
rien à voir avec les faits.
Pour commencer les latins utilisaient une vingtaine de lettres.
Surtout qu'à l'époque on maîtrisait déjà la confection de papyrus depuis belle lurette mais bon...

Ce n'est pas parce que tailler ces lettres étaient compliqué qu'ils ne les utilisaient pas, sinon ils auraient pu inventer des formes rectilignes. Mais en langue latine on ne fait pas de distinction entre ces deux lettres vu qu'elles n'en forment qu'une!
Elle se pouvait se prononcer différemment selon leur place dans le mot...

Par exemple:
"VENI" : uéni
"CAIUS": ca-ius

(Alors merci aux puristes de ne pas me critiquer mais je veux vous rappeller que tout le monde ne maîtrise pas la phonétique et je veux rendre accessible mon exemple à tous.

Une autre personne disait qu'il y avait une histoire où les "scientifique se seraient rendu compte de la différence des lettres avec la citation de César.
Mais là encore c'est une erreur je vous rappelle que la langue latine n'a jamais été perdu au contraire de l'Égypte antique par exemple et que l'on a toujours su en Europe comment on parlait du temps de Ciceron.

D'ailleurs grosso merdo la langue latine s'étale sur 1100 ans et elle n'est pas uniforme.
(Essayez de vous imaginer discuter avec Hugues Capet.....)
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Il faut quand même réussir à faire la différence entre une ineptie et une blague... Pour le coup des arrondis difficiles à tailler dans la pierre, c'est une blague, du moins je l'espère.