Connaissez-vous le syndrome de la schtroumpfette ?

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a écrit : Je pense que beaucoup d'entre vous font beaucoup d’interprétation erroné sur le sens de anecdote. Elle ne dit pas que les personnages de femmes fortes n'existent pas où que avoir des amis homme fait que l'on rejette les femmes. Elle met l'accent sur un cliché de narration très utilisé notamment dans les fictions pour enfant : le fait que "être juste une fille" est un stéréotype que l'on associe souvent à des personnage féminin, au point qu'elle ne se définissent que par ça quelque fois.
Prenons l’exemple des Schtroumpfs, comme anecdotes.

On nous présente toute une flopée de personnages au caractère et aux personnalité variés :
- Schtroumpfs farceur : un rigolo qui aime faire des blague.
- Schtroumpfs costaud : il est fort, aime faire de la gonflette et du sport
- Schtroumpfs à lunette : prétentieux et imbu de lui même
- le Grand Schtroumpfs : le vieux sage, réfléchit, chef des Schtroumpfs
- la Schtroumpfette : la fille

Et c'est LÀ qu'on met le doigt sur le problème ; "la fille du groupe". Là où tout les autres Schtroumpfs se caractérisent par un trait de personnalité, leur hobbie, leur rèves... la Schtroumpfette ne se définie juste par le fait que c'est une fille. Elle agit comme une fille et n'a que des hobbies lié aux genre féminin, genre s'occuper des fleurs, ou de bébé Schtroumpfs. Insinuant le fait qu'une fille ne peux pas avoir d'autre trait de personnalité (je ne dit pas que les auteurs le pense réellement, c'est juste une cliché très ancré dont il est dur de s'en détacher). Et des fictions utilisant ce stéréotype, on en trouve des dizaines, je suis sure que tout le monde ici peux m'en citer au moins 5 où 6 de tête, comme ça.
Évidement, aujourd'hui on tente de casser ses cliché, de rendre les personnage féminins plus profond. L'égalité des sexes, ce n'est pas qu'une histoire de lois et de droit, c'est aussi le représentation dans les fictions et la culture populaire.
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Mais ça vous surprend vraiment que le trait le plus particulier de la Schtroumpfette soit le fait qu'elle soit une fille ?

A quand le syndrome du Grand Schtroumpf pour se plaindre que le seul vieux dans un groupe se limite dans son rôle à être vieux et à faire des trucs de vieux comme faire la leçon aux jeunes et être relativement sage ?

Fondez un village paumé dans la forêt avec 100 hommes et une femme et dites moi si la chose que les gens retiendront c'est sa passion pour les fléchettes

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android

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a écrit : "chacun fait ce qui lui plaît" faudra se mettre à jour en sociologie, s'il existe un libre-arbitre individuel il y a aussi de nombreux déterminants sociaux.

"je connais énormément de femmes courageuses et d'hommes sensibles" votre vécu personnel n'a pas valeur d'argu
ment pour une démonstration générale.

"volonté de voir des problèmes partout ou justement il n'y en a pas" mettre en lumière la socialisation genrée c'est révéler comment la moitié de la population doit subir des mécanismes d'oppression, pourquoi la masculinité la plus répandue est toxique. Cela engendre de lourdes conséquences politiques, sociales et sociétales

En lisant votre dernier paragraphe j'espère que vous avez au moins soutenu votre femme.
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Ah oui, la fameuse oppression systémique des femmes, ça faisait longtemps que j'avais pas vu parler de ce genre de théorie de victimisation nombriliste.

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android

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a écrit : Mon dieu, mais ! Aurait on la meme belle mere ?

Plus serieusement, régulièrement, je me prends les éternels "ne s'occupe pas assez des enfants" (c'est moi qui travaille à 80% pour passer du temps avec les petites) "ne fait pas assez le ménage" (J'AI acheté avec MES sous u
n Dyson que j'aime comme un troisieme enfant) et d'autres et j'en passe.
Et est ce que tu as aussi la comparaison avec le mari de la cousine/soeur/tante à coups de "oui mais t'a vu grégory lui il a gnagnagna", qui lui passe son temps à se plaindre du gros cul de sa femme en regardant le foot dans le canap ?
C'est une sensation tellement mmmh...
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Non ça va je n'ai pas le coup avec la tante/cousine/soeur.

Toutes mes condoléances.

Pour faire taire ma belle mère je lui ai fait un boeuf Wellington qu'elle ratait tout le temps. Depuis j'ai la paix. Enfin sur la cuisine. Car sinon je reste un tas de muscle qui ne sait pas s'organiser ni ranger.

La prochaine fois je lui ferait un poulet au curare. Mouahahah

PS: avant de hurler au cliché et sexisme sur ma blague, sachez mes chères petits êtres sensibles que sinon tout de passe bien avec elle, mais que ces remarques c'est chiant. Mais je ne suis pas dans la compétition pour savoir qui subit le plus.

a écrit : Non ça va je n'ai pas le coup avec la tante/cousine/soeur.

Toutes mes condoléances.

Pour faire taire ma belle mère je lui ai fait un boeuf Wellington qu'elle ratait tout le temps. Depuis j'ai la paix. Enfin sur la cuisine. Car sinon je reste un tas de muscle qui ne sait pa
s s'organiser ni ranger.

La prochaine fois je lui ferait un poulet au curare. Mouahahah

PS: avant de hurler au cliché et sexisme sur ma blague, sachez mes chères petits êtres sensibles que sinon tout de passe bien avec elle, mais que ces remarques c'est chiant. Mais je ne suis pas dans la compétition pour savoir qui subit le plus.
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Tu devrais inventer un syndrome pour le coup.

a écrit : Tu devrais inventer un syndrome pour le coup. Syndrome du boeuf wellington

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android

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a écrit : Tu devrais inventer un syndrome pour le coup. Le syndrome de MacGyver.

Brillant étudiant du MIT on ne retient de lui que sa capacité à être un bon bricoleur. Malgré toutes ses autres qualités.

a écrit : Non ça va je n'ai pas le coup avec la tante/cousine/soeur.

Toutes mes condoléances.

Pour faire taire ma belle mère je lui ai fait un boeuf Wellington qu'elle ratait tout le temps. Depuis j'ai la paix. Enfin sur la cuisine. Car sinon je reste un tas de muscle qui ne sait pa
s s'organiser ni ranger.

La prochaine fois je lui ferait un poulet au curare. Mouahahah

PS: avant de hurler au cliché et sexisme sur ma blague, sachez mes chères petits êtres sensibles que sinon tout de passe bien avec elle, mais que ces remarques c'est chiant. Mais je ne suis pas dans la compétition pour savoir qui subit le plus.
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Et attend d'avoir des enfants, là c'est festival !!!
Heureusement, c'est à ce moment que ta femme s'apercevra qu'en fait sa mere est chiante avec ses "mais moi je sais faire j'ai eu des enfants"...

a écrit : Moi ce qui me gene c'est le "aujourd'hui on tente de casser ces clichés"

Les auteurs, artistes, imaginatifs et autres créateurs n'ont pas attendus les "chiennes de garde 2.0" (puisqu'elles se nomment elle meme ainsi) pour venir casser l'image de la femme au fo
yer.
Des traces on en trouve dans toutes les cultures, à toutes les époques.

Moi ce qui m'attriste et je l'ai mis dans mes deux commentaires, c'est qu'en fait quand on gratte un peu c'est juste la carotte pour faire acheter par des pseudos adhérent.e.s à des pseudos causes, des pseudos objets de médias militant.e.s (films, revues, mode...)

Et j'utilise volontairement l'écriture inclusive qui résume à elle seule toute la débilité des actions contemporaines pour défendre ces causes.
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D'ailleurs, cela a un nom : le "women washing" au même titre que le "green washing" ou "écoblanchiment" en français.

En parlant de clichés sexistes, cela me fait passer à cette vidéo publiée récemment : www.youtube.com/watch?v=TVkjUMGezHU (particulièrement la fin).

J'ai lu les précédents commentaires et je suis globalement d'accord avec les avis donnés précédemment.

Maintenant je vais paraître radical et très critique mais je pense que, dans une société capitaliste où le corps devient une marchandise et où le matérialisme trône comme valeur suprême au détriment du spirituel — pour résumer où le paraître l'emporte sur l'esprit et le cœur —, les femmes sont elles-mêmes responsables de ces clichés car historiquement (je dirais même génétiquement) plus attachées à la condition matérielle que les hommes, elles ont tendance à ne tenir compte que des valeurs superficielles. Écoutez les femmes d'aujourd'hui parler, les trois quarts aspirent à trouver un homme qui ressemble à un acteur — qui sont d'ailleurs souvent des homosexuels —, avec de gros muscles, une grosse voiture et un gros compte bancaire. De ce fait, les hommes sont plus ou moins contraints de « répondre à cette demande » pour espérer trouver une partenaire. Et comme on est pas tous égaux à ce jeu, il y a beaucoup de perdants. Aussi, on voit aujourd'hui un fort taux de célibataires chez les jeunes, les raisons sont multiples mais c'est principalement lié aux femmes. Voilà quelques explications : libération sexuelle conduisant les femmes à plus de frivolité (augmentation de nombre de partenaires, couple qui dure moins longtemps, baisse du nombre de mariages pérennes, augmentation des pratiques marginales) et se plaçant elles-mêmes comme un produit pour lequel les hommes doivent entrer en concurrence ; mais aussi narcissisme (pour les deux sexes) ; numérique, porno, chômage et emplois précaires, etc.

Évidemment je n'englobe pas toutes femmes, fort heureusement, mais les femmes, dès lors qu'elles s'« affranchissent du patriarcat » et rompent avec leurs aînées, sombrent inévitablement dans le matérialisme consumériste. Et plus elles se prétendent libérées et épanouies et plus, objectivement, c'est le contraire qui paraît. Ainsi à 18 ans elles sont belles et jeunes, elles jouent de leurs charmes et les surestiment, elles multiplient les partenaires et ne s'imposent ni limite ni tabou, elles cherchent alors de gros biceps et un sexe dur. Quelques années après elles rajoutent à leurs conditions la richesse matérielle du partenaire. Puis chemin faisant, comme le fruit, le corps se flétrit et l'« adulescente » n'a plus le même pouvoir attractif et ses caprices sont moins acceptés. Elle se retrouve seul, parfois avec un enfant ou des chats. Et finit dépressive et aigrie. Ce sont là les vraies conséquences du féminisme.

En somme, je suis convaincu que les clichés sexistes dont les femmes se plaignent et veulent s'affranchir sont inhérents à leur propre condition de femme. Elles sont elles-mêmes productrices de ces clichés qu'elles prétendent vouloir combattre. Plutôt que les combattre il serait plus judicieux que les femmes acceptent ces clichés. Je vais prendre l'exemple de ma sœur : pendant plusieurs années elle a occupé des postes à responsabilité car il aime jouer au chef comme toutes femmes modernes et émancipées sauf que son travail étant très harassant, elle partait tôt et rentrait tard, devait payer une nounou pour les enfants et consacrait ses quelques temps de repos aux tâches domestiques ou aux paperasses. Aujourd'hui elle a changé d'emploi, elle travaille à mi-temps (il est vrai pour un salaire avantageux), elle peut amener et récupérer les enfants à l'école, faire la cuisine, le ménage et avoir des temps pour divers loisirs. Ainsi elle coche presque tous les clichés que lui reprocheraient les féministes et pourtant elle n'a jamais été aussi heureuse. Elle est bien plus matérialiste que son homme, naviguant sur des sites de vente tandis que lui lit un livre, et pourtant elle gère le budget familial.

La meilleure façon de combattre les clichés c'est d'en accepter la grande part de vérité. Retour du refoulée, ça vous dit quelques choses ?

Bonus hilarant : www.youtube.com/watch?v=8aTICyHvrWQ

Pareil pour les Gays, Lesbiennes, trans, pour les minorités, le Chinois, le Black, l'Arabe, le Juif. Bref, c'est un effet de l'esprit de meute bien ancré dans notre cerveau reptilien je pense. A lire: Sapiens, de Yuval Noah Harari, passionnant.

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a écrit : En parlant de clichés sexistes, cela me fait passer à cette vidéo publiée récemment : www.youtube.com/watch?v=TVkjUMGezHU (particulièrement la fin).

J'ai lu les précédents commentaires et je suis globalement d'accord avec les avis donnés précédemment.

Maintenant je vais p
araître radical et très critique mais je pense que, dans une société capitaliste où le corps devient une marchandise et où le matérialisme trône comme valeur suprême au détriment du spirituel — pour résumer où le paraître l'emporte sur l'esprit et le cœur —, les femmes sont elles-mêmes responsables de ces clichés car historiquement (je dirais même génétiquement) plus attachées à la condition matérielle que les hommes, elles ont tendance à ne tenir compte que des valeurs superficielles. Écoutez les femmes d'aujourd'hui parler, les trois quarts aspirent à trouver un homme qui ressemble à un acteur — qui sont d'ailleurs souvent des homosexuels —, avec de gros muscles, une grosse voiture et un gros compte bancaire. De ce fait, les hommes sont plus ou moins contraints de « répondre à cette demande » pour espérer trouver une partenaire. Et comme on est pas tous égaux à ce jeu, il y a beaucoup de perdants. Aussi, on voit aujourd'hui un fort taux de célibataires chez les jeunes, les raisons sont multiples mais c'est principalement lié aux femmes. Voilà quelques explications : libération sexuelle conduisant les femmes à plus de frivolité (augmentation de nombre de partenaires, couple qui dure moins longtemps, baisse du nombre de mariages pérennes, augmentation des pratiques marginales) et se plaçant elles-mêmes comme un produit pour lequel les hommes doivent entrer en concurrence ; mais aussi narcissisme (pour les deux sexes) ; numérique, porno, chômage et emplois précaires, etc.

Évidemment je n'englobe pas toutes femmes, fort heureusement, mais les femmes, dès lors qu'elles s'« affranchissent du patriarcat » et rompent avec leurs aînées, sombrent inévitablement dans le matérialisme consumériste. Et plus elles se prétendent libérées et épanouies et plus, objectivement, c'est le contraire qui paraît. Ainsi à 18 ans elles sont belles et jeunes, elles jouent de leurs charmes et les surestiment, elles multiplient les partenaires et ne s'imposent ni limite ni tabou, elles cherchent alors de gros biceps et un sexe dur. Quelques années après elles rajoutent à leurs conditions la richesse matérielle du partenaire. Puis chemin faisant, comme le fruit, le corps se flétrit et l'« adulescente » n'a plus le même pouvoir attractif et ses caprices sont moins acceptés. Elle se retrouve seul, parfois avec un enfant ou des chats. Et finit dépressive et aigrie. Ce sont là les vraies conséquences du féminisme.

En somme, je suis convaincu que les clichés sexistes dont les femmes se plaignent et veulent s'affranchir sont inhérents à leur propre condition de femme. Elles sont elles-mêmes productrices de ces clichés qu'elles prétendent vouloir combattre. Plutôt que les combattre il serait plus judicieux que les femmes acceptent ces clichés. Je vais prendre l'exemple de ma sœur : pendant plusieurs années elle a occupé des postes à responsabilité car il aime jouer au chef comme toutes femmes modernes et émancipées sauf que son travail étant très harassant, elle partait tôt et rentrait tard, devait payer une nounou pour les enfants et consacrait ses quelques temps de repos aux tâches domestiques ou aux paperasses. Aujourd'hui elle a changé d'emploi, elle travaille à mi-temps (il est vrai pour un salaire avantageux), elle peut amener et récupérer les enfants à l'école, faire la cuisine, le ménage et avoir des temps pour divers loisirs. Ainsi elle coche presque tous les clichés que lui reprocheraient les féministes et pourtant elle n'a jamais été aussi heureuse. Elle est bien plus matérialiste que son homme, naviguant sur des sites de vente tandis que lui lit un livre, et pourtant elle gère le budget familial.

La meilleure façon de combattre les clichés c'est d'en accepter la grande part de vérité. Retour du refoulée, ça vous dit quelques choses ?

Bonus hilarant : www.youtube.com/watch?v=8aTICyHvrWQ
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Les hommes sont autant matérialistes. A partir de là, tout le reste de ton discours est biaisé. Dans ton exemple, ce qui la rend heureuse, c'est d'être plus souvent avec ses enfants, pas de faire des trucs de femme. N'importe quel père serait heureux de passer du temps avec ses enfants.

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a écrit : Les hommes sont autant matérialistes. A partir de là, tout le reste de ton discours est biaisé. Dans ton exemple, ce qui la rend heureuse, c'est d'être plus souvent avec ses enfants, pas de faire des trucs de femme. N'importe quel père serait heureux de passer du temps avec ses enfants. C'est quoi "faire des trucs de femme" ?

a écrit : Autant je trouve tes interventions habituellement judicieuses et réfléchies, autant sur ce débat je suis consterné que tu sois si naïf sur la condition de la femme dans notre société.
Ton agressivité et ton absence de remise en question sur tes quelques commentaires, qui dénotent clairement de tes habitudes, mont
rent que ta réflexion sur le sujet n'est que partielle, et/ou de mauvaise foi.

M'enfin, c'est une évidence que la femme est cantonnée à son statut de femme dans énormément de cas dans notre société ! Et je ne parle pas du reste du monde...
Et attention, si elle cherche le dépassement de fonction, y'a une flopée de beaux penseurs, hommes et femmes d'ailleurs, qui seront là pour la lyncher en place publique, la traitant de "femen" ou autres qualificatifs stigmatisants.
Dès lors, l'effet de masse et la méconnaissance du problème par les tiers prend la relève.
Alors qu'au départ, c'est juste une femme qui veut faire un truc, comme tout le monde...
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Pour le coup, tu réponds à son commentaire « agressif » par plus d’agression + lieu commun + absence de faits

a écrit : En fait, c’est un problème relatif aux femmes, aux hommes et à la représentation qu’on en fait dans les médias, dans les jouets, dans le cinéma, dans la pub, etc. Je ne comprends pas trop pourquoi on devrait faire la différence.
Quand on me dit : « Regarde les jouets pour filles, ils sont stéréotypés. Les barbi
es donnent une image totalement clichée de la femme… » Je vous répondrais d’aller donc voir les jouets pour garçons : avec un batman ultramusclé ou un action man viril qui n’a jamais mal.
On s’offusque des filles super sexy dans les pubs, mais jamais des mecs ultras musclés dans les pubs pour parfum. C’est exactement la même chose.

Bref, c’est un faux problème. Si les personnages au cinéma sont stéréotypés, c’est dans les deux sens et cela permet au public de s’identifier facilement avec des traits de caractère grossiers : je veux être sexy comme elle, je veux être musclé comme lui, je veux être intelligente comme elle, je veux être malin comme lui, etc.
Si vous voulez des personnages complexes non stéréotypés, allez donc voir des films d’auteur suédois.
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Et moi qui voulait ressembler à Columbo... XD

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a écrit : En parlant de clichés sexistes, cela me fait passer à cette vidéo publiée récemment : www.youtube.com/watch?v=TVkjUMGezHU (particulièrement la fin).

J'ai lu les précédents commentaires et je suis globalement d'accord avec les avis donnés précédemment.

Maintenant je vais p
araître radical et très critique mais je pense que, dans une société capitaliste où le corps devient une marchandise et où le matérialisme trône comme valeur suprême au détriment du spirituel — pour résumer où le paraître l'emporte sur l'esprit et le cœur —, les femmes sont elles-mêmes responsables de ces clichés car historiquement (je dirais même génétiquement) plus attachées à la condition matérielle que les hommes, elles ont tendance à ne tenir compte que des valeurs superficielles. Écoutez les femmes d'aujourd'hui parler, les trois quarts aspirent à trouver un homme qui ressemble à un acteur — qui sont d'ailleurs souvent des homosexuels —, avec de gros muscles, une grosse voiture et un gros compte bancaire. De ce fait, les hommes sont plus ou moins contraints de « répondre à cette demande » pour espérer trouver une partenaire. Et comme on est pas tous égaux à ce jeu, il y a beaucoup de perdants. Aussi, on voit aujourd'hui un fort taux de célibataires chez les jeunes, les raisons sont multiples mais c'est principalement lié aux femmes. Voilà quelques explications : libération sexuelle conduisant les femmes à plus de frivolité (augmentation de nombre de partenaires, couple qui dure moins longtemps, baisse du nombre de mariages pérennes, augmentation des pratiques marginales) et se plaçant elles-mêmes comme un produit pour lequel les hommes doivent entrer en concurrence ; mais aussi narcissisme (pour les deux sexes) ; numérique, porno, chômage et emplois précaires, etc.

Évidemment je n'englobe pas toutes femmes, fort heureusement, mais les femmes, dès lors qu'elles s'« affranchissent du patriarcat » et rompent avec leurs aînées, sombrent inévitablement dans le matérialisme consumériste. Et plus elles se prétendent libérées et épanouies et plus, objectivement, c'est le contraire qui paraît. Ainsi à 18 ans elles sont belles et jeunes, elles jouent de leurs charmes et les surestiment, elles multiplient les partenaires et ne s'imposent ni limite ni tabou, elles cherchent alors de gros biceps et un sexe dur. Quelques années après elles rajoutent à leurs conditions la richesse matérielle du partenaire. Puis chemin faisant, comme le fruit, le corps se flétrit et l'« adulescente » n'a plus le même pouvoir attractif et ses caprices sont moins acceptés. Elle se retrouve seul, parfois avec un enfant ou des chats. Et finit dépressive et aigrie. Ce sont là les vraies conséquences du féminisme.

En somme, je suis convaincu que les clichés sexistes dont les femmes se plaignent et veulent s'affranchir sont inhérents à leur propre condition de femme. Elles sont elles-mêmes productrices de ces clichés qu'elles prétendent vouloir combattre. Plutôt que les combattre il serait plus judicieux que les femmes acceptent ces clichés. Je vais prendre l'exemple de ma sœur : pendant plusieurs années elle a occupé des postes à responsabilité car il aime jouer au chef comme toutes femmes modernes et émancipées sauf que son travail étant très harassant, elle partait tôt et rentrait tard, devait payer une nounou pour les enfants et consacrait ses quelques temps de repos aux tâches domestiques ou aux paperasses. Aujourd'hui elle a changé d'emploi, elle travaille à mi-temps (il est vrai pour un salaire avantageux), elle peut amener et récupérer les enfants à l'école, faire la cuisine, le ménage et avoir des temps pour divers loisirs. Ainsi elle coche presque tous les clichés que lui reprocheraient les féministes et pourtant elle n'a jamais été aussi heureuse. Elle est bien plus matérialiste que son homme, naviguant sur des sites de vente tandis que lui lit un livre, et pourtant elle gère le budget familial.

La meilleure façon de combattre les clichés c'est d'en accepter la grande part de vérité. Retour du refoulée, ça vous dit quelques choses ?

Bonus hilarant : www.youtube.com/watch?v=8aTICyHvrWQ
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Tout ce que tu dis est très drôle, tu es un maître du troll bravo ! Et tout ça dans un style superbe : formulation, vocabulaire, tout y est.
Je suis presque sûr que tu vas réussir à berner quelques personnes et même à en convaincre.
Je sors les pop corn et attends le tsunami en réponse à ton commentaire.

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a écrit : C'est quoi "faire des trucs de femme" ? Ta question n'est pas innocente. Si tu cherches à avoir raison de cette façon, tu perds ton temps. Le commentaire que je critique est pourrait d'arguments biaisés. Son exemple est bancale. Avoir du temps libre pour être avec enfants, avoir des loisirs rend plus heureux que faire le ménage ou la cuisine (sauf si elle aime ça). Une femme qui choisir de rester mère au foyer n'est pas plus ou moins respectable qu'une autre qui avoir une carrière. Vu qu'il part du principe que les femmes sont matérialistes sans argument, ça part mal.

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a écrit : Je pense que beaucoup d'entre vous font beaucoup d’interprétation erroné sur le sens de anecdote. Elle ne dit pas que les personnages de femmes fortes n'existent pas où que avoir des amis homme fait que l'on rejette les femmes. Elle met l'accent sur un cliché de narration très utilisé notamment dans les fictions pour enfant : le fait que "être juste une fille" est un stéréotype que l'on associe souvent à des personnage féminin, au point qu'elle ne se définissent que par ça quelque fois.
Prenons l’exemple des Schtroumpfs, comme anecdotes.

On nous présente toute une flopée de personnages au caractère et aux personnalité variés :
- Schtroumpfs farceur : un rigolo qui aime faire des blague.
- Schtroumpfs costaud : il est fort, aime faire de la gonflette et du sport
- Schtroumpfs à lunette : prétentieux et imbu de lui même
- le Grand Schtroumpfs : le vieux sage, réfléchit, chef des Schtroumpfs
- la Schtroumpfette : la fille

Et c'est LÀ qu'on met le doigt sur le problème ; "la fille du groupe". Là où tout les autres Schtroumpfs se caractérisent par un trait de personnalité, leur hobbie, leur rèves... la Schtroumpfette ne se définie juste par le fait que c'est une fille. Elle agit comme une fille et n'a que des hobbies lié aux genre féminin, genre s'occuper des fleurs, ou de bébé Schtroumpfs. Insinuant le fait qu'une fille ne peux pas avoir d'autre trait de personnalité (je ne dit pas que les auteurs le pense réellement, c'est juste une cliché très ancré dont il est dur de s'en détacher). Et des fictions utilisant ce stéréotype, on en trouve des dizaines, je suis sure que tout le monde ici peux m'en citer au moins 5 où 6 de tête, comme ça.
Évidement, aujourd'hui on tente de casser ses cliché, de rendre les personnage féminins plus profond. L'égalité des sexes, ce n'est pas qu'une histoire de lois et de droit, c'est aussi le représentation dans les fictions et la culture populaire.
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Merci pour ces précisions, cela complète très bien l'anecdote.

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Mes enfants ont regardé Robocar poli. Un petit dessin animé comme il y en a beaucoup.

J'avais été choqué par le générique qui ventait chaque robot masculin (untel est courageux ....) alors que le robot féminin était juste gentille.
Et avec une posture très caricaturale.

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On se doutait bien que le sujet allait réveiller certaines ardeurs :) On n'est pas déçu, il y en a pour tout le monde !
Il est vrai, et c'est indéniable, que la condition féminine mériterait beaucoup plus d'attention que nous en donnons. C'est vrai dans nombre d'actes de tous les jours, partout, tout le temps : et la mysoginie fait "partie" de notre culture, et à quelques exeptions près, de toutes les cultures ; elle est en nous. On la combat avec plus ou moins de force et de conviction, mais elle est en nous... Nier cela serait être aveugle ou de très mauvaise foi, et ne pas vouloir le combattre serait une erreur sociale fondamentale ; ne pas le considérer ferait de nous (les hommes) les rois du "fauculisme".
Mais là, sincèrement : "le syndrome de la schtroumfette"... A mourrir de rire. De qui se moque t-on ? Qu'est-ce que c'est que cette connerie, inventée par une folle qui nous ferait regretter de vouloir défendre la cause féminine. Parce que ce genre d'ânerie a pour le coup le don de gentiment m'énerver :) C'est un boomerang que "la cause" se prend dans la gueule...
Comme l'a très bien dit @Nicomputer, il ne faut pas voir dans les schtroumfs une "bande", mais une entité propre ou à chaque élément correspond un trait de caractère "humain" ; mais même pas masculin ! Ce n'est qu'une gentille histoire pour gamins, et la schtroumfette est venue de l'imagination de Peyo qui devait être bien loin de ces considérations débiles d'un féminisme ridicule. Elle est gentille et mignone, elle fait tourner la tête des schtroumfs qui sont comme des cons devant elle ; c'est elle qui a le beau rôle ! :) Pourquoi aller chercher plus loin ? Ainsi, il aurait suffit de dire "la schtroumfette gentille" et il n'y aurait plus de problème, puisqu'il n'y avait plus le "genre" seul, mais un adjectif avec ? Ridicule...

a écrit : En fait, c’est un problème relatif aux femmes, aux hommes et à la représentation qu’on en fait dans les médias, dans les jouets, dans le cinéma, dans la pub, etc. Je ne comprends pas trop pourquoi on devrait faire la différence.
Quand on me dit : « Regarde les jouets pour filles, ils sont stéréotypés. Les barbi
es donnent une image totalement clichée de la femme… » Je vous répondrais d’aller donc voir les jouets pour garçons : avec un batman ultramusclé ou un action man viril qui n’a jamais mal.
On s’offusque des filles super sexy dans les pubs, mais jamais des mecs ultras musclés dans les pubs pour parfum. C’est exactement la même chose.

Bref, c’est un faux problème. Si les personnages au cinéma sont stéréotypés, c’est dans les deux sens et cela permet au public de s’identifier facilement avec des traits de caractère grossiers : je veux être sexy comme elle, je veux être musclé comme lui, je veux être intelligente comme elle, je veux être malin comme lui, etc.
Si vous voulez des personnages complexes non stéréotypés, allez donc voir des films d’auteur suédois.
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Sauf qu'offrir un pistolet mitrailleur en jouet à un garçon, symbole de pouvoir, ce n'est pas la même chose que d'offrir un aspirateur en jouet à une fille, symbole de soumission.

C'est un vrai problème.