Le syndrome de la schtroumpfette décrit comment dans les arts et les médias, l'unique personnage féminin dans une communauté masculine tend à être stéréotypé et défini par son seul genre. Ce syndrome est récurrent dans le cinéma et la télévision.
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Le syndrome de la schtroumpfette décrit comment dans les arts et les médias, l'unique personnage féminin dans une communauté masculine tend à être stéréotypé et défini par son seul genre. Ce syndrome est récurrent dans le cinéma et la télévision.
Tous les commentaires (96)
A quand le syndrome du Grand Schtroumpf pour se plaindre que le seul vieux dans un groupe se limite dans son rôle à être vieux et à faire des trucs de vieux comme faire la leçon aux jeunes et être relativement sage ?
Fondez un village paumé dans la forêt avec 100 hommes et une femme et dites moi si la chose que les gens retiendront c'est sa passion pour les fléchettes
Toutes mes condoléances.
Pour faire taire ma belle mère je lui ai fait un boeuf Wellington qu'elle ratait tout le temps. Depuis j'ai la paix. Enfin sur la cuisine. Car sinon je reste un tas de muscle qui ne sait pas s'organiser ni ranger.
La prochaine fois je lui ferait un poulet au curare. Mouahahah
PS: avant de hurler au cliché et sexisme sur ma blague, sachez mes chères petits êtres sensibles que sinon tout de passe bien avec elle, mais que ces remarques c'est chiant. Mais je ne suis pas dans la compétition pour savoir qui subit le plus.
Brillant étudiant du MIT on ne retient de lui que sa capacité à être un bon bricoleur. Malgré toutes ses autres qualités.
Heureusement, c'est à ce moment que ta femme s'apercevra qu'en fait sa mere est chiante avec ses "mais moi je sais faire j'ai eu des enfants"...
En parlant de clichés sexistes, cela me fait passer à cette vidéo publiée récemment : www.youtube.com/watch?v=TVkjUMGezHU (particulièrement la fin).
J'ai lu les précédents commentaires et je suis globalement d'accord avec les avis donnés précédemment.
Maintenant je vais paraître radical et très critique mais je pense que, dans une société capitaliste où le corps devient une marchandise et où le matérialisme trône comme valeur suprême au détriment du spirituel — pour résumer où le paraître l'emporte sur l'esprit et le cœur —, les femmes sont elles-mêmes responsables de ces clichés car historiquement (je dirais même génétiquement) plus attachées à la condition matérielle que les hommes, elles ont tendance à ne tenir compte que des valeurs superficielles. Écoutez les femmes d'aujourd'hui parler, les trois quarts aspirent à trouver un homme qui ressemble à un acteur — qui sont d'ailleurs souvent des homosexuels —, avec de gros muscles, une grosse voiture et un gros compte bancaire. De ce fait, les hommes sont plus ou moins contraints de « répondre à cette demande » pour espérer trouver une partenaire. Et comme on est pas tous égaux à ce jeu, il y a beaucoup de perdants. Aussi, on voit aujourd'hui un fort taux de célibataires chez les jeunes, les raisons sont multiples mais c'est principalement lié aux femmes. Voilà quelques explications : libération sexuelle conduisant les femmes à plus de frivolité (augmentation de nombre de partenaires, couple qui dure moins longtemps, baisse du nombre de mariages pérennes, augmentation des pratiques marginales) et se plaçant elles-mêmes comme un produit pour lequel les hommes doivent entrer en concurrence ; mais aussi narcissisme (pour les deux sexes) ; numérique, porno, chômage et emplois précaires, etc.
Évidemment je n'englobe pas toutes femmes, fort heureusement, mais les femmes, dès lors qu'elles s'« affranchissent du patriarcat » et rompent avec leurs aînées, sombrent inévitablement dans le matérialisme consumériste. Et plus elles se prétendent libérées et épanouies et plus, objectivement, c'est le contraire qui paraît. Ainsi à 18 ans elles sont belles et jeunes, elles jouent de leurs charmes et les surestiment, elles multiplient les partenaires et ne s'imposent ni limite ni tabou, elles cherchent alors de gros biceps et un sexe dur. Quelques années après elles rajoutent à leurs conditions la richesse matérielle du partenaire. Puis chemin faisant, comme le fruit, le corps se flétrit et l'« adulescente » n'a plus le même pouvoir attractif et ses caprices sont moins acceptés. Elle se retrouve seul, parfois avec un enfant ou des chats. Et finit dépressive et aigrie. Ce sont là les vraies conséquences du féminisme.
En somme, je suis convaincu que les clichés sexistes dont les femmes se plaignent et veulent s'affranchir sont inhérents à leur propre condition de femme. Elles sont elles-mêmes productrices de ces clichés qu'elles prétendent vouloir combattre. Plutôt que les combattre il serait plus judicieux que les femmes acceptent ces clichés. Je vais prendre l'exemple de ma sœur : pendant plusieurs années elle a occupé des postes à responsabilité car il aime jouer au chef comme toutes femmes modernes et émancipées sauf que son travail étant très harassant, elle partait tôt et rentrait tard, devait payer une nounou pour les enfants et consacrait ses quelques temps de repos aux tâches domestiques ou aux paperasses. Aujourd'hui elle a changé d'emploi, elle travaille à mi-temps (il est vrai pour un salaire avantageux), elle peut amener et récupérer les enfants à l'école, faire la cuisine, le ménage et avoir des temps pour divers loisirs. Ainsi elle coche presque tous les clichés que lui reprocheraient les féministes et pourtant elle n'a jamais été aussi heureuse. Elle est bien plus matérialiste que son homme, naviguant sur des sites de vente tandis que lui lit un livre, et pourtant elle gère le budget familial.
La meilleure façon de combattre les clichés c'est d'en accepter la grande part de vérité. Retour du refoulée, ça vous dit quelques choses ?
Bonus hilarant : www.youtube.com/watch?v=8aTICyHvrWQ
Pareil pour les Gays, Lesbiennes, trans, pour les minorités, le Chinois, le Black, l'Arabe, le Juif. Bref, c'est un effet de l'esprit de meute bien ancré dans notre cerveau reptilien je pense. A lire: Sapiens, de Yuval Noah Harari, passionnant.
Je suis presque sûr que tu vas réussir à berner quelques personnes et même à en convaincre.
Je sors les pop corn et attends le tsunami en réponse à ton commentaire.
Mes enfants ont regardé Robocar poli. Un petit dessin animé comme il y en a beaucoup.
J'avais été choqué par le générique qui ventait chaque robot masculin (untel est courageux ....) alors que le robot féminin était juste gentille.
Et avec une posture très caricaturale.
On se doutait bien que le sujet allait réveiller certaines ardeurs :) On n'est pas déçu, il y en a pour tout le monde !
Il est vrai, et c'est indéniable, que la condition féminine mériterait beaucoup plus d'attention que nous en donnons. C'est vrai dans nombre d'actes de tous les jours, partout, tout le temps : et la mysoginie fait "partie" de notre culture, et à quelques exeptions près, de toutes les cultures ; elle est en nous. On la combat avec plus ou moins de force et de conviction, mais elle est en nous... Nier cela serait être aveugle ou de très mauvaise foi, et ne pas vouloir le combattre serait une erreur sociale fondamentale ; ne pas le considérer ferait de nous (les hommes) les rois du "fauculisme".
Mais là, sincèrement : "le syndrome de la schtroumfette"... A mourrir de rire. De qui se moque t-on ? Qu'est-ce que c'est que cette connerie, inventée par une folle qui nous ferait regretter de vouloir défendre la cause féminine. Parce que ce genre d'ânerie a pour le coup le don de gentiment m'énerver :) C'est un boomerang que "la cause" se prend dans la gueule...
Comme l'a très bien dit @Nicomputer, il ne faut pas voir dans les schtroumfs une "bande", mais une entité propre ou à chaque élément correspond un trait de caractère "humain" ; mais même pas masculin ! Ce n'est qu'une gentille histoire pour gamins, et la schtroumfette est venue de l'imagination de Peyo qui devait être bien loin de ces considérations débiles d'un féminisme ridicule. Elle est gentille et mignone, elle fait tourner la tête des schtroumfs qui sont comme des cons devant elle ; c'est elle qui a le beau rôle ! :) Pourquoi aller chercher plus loin ? Ainsi, il aurait suffit de dire "la schtroumfette gentille" et il n'y aurait plus de problème, puisqu'il n'y avait plus le "genre" seul, mais un adjectif avec ? Ridicule...
C'est un vrai problème.