En 1954, le match de football entre la Fiorentina et Pistoiese fut arrêté à cause d'une flopée d'ovnis visibles au-dessus du stade Artemio-Franchi de Florence. L’arbitre et les joueurs restèrent médusés et les spectateurs cédèrent à la panique. Le phénomène reste inexpliqué.
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C'est peut être un phénomène d'hallucination (soleil perturbant) mais il y avait quand même 10 000 personnes ! Le phénomène de fils d'ange (toile d'araignée) est bien connu. La soie ne se désintègre pas au contacte de la peau humaine. Ça reste mystérieux ...
1) Force est de constater que, dans la culture populaire, il est assez associé à des soucoupes volantes ou au moins à une origine extra-terrestre (je ne dis pas que c'est ce que dis le mot, juste que ca en devient le sens).
2) Le mot parle d'un Objet Volant, ce qui biaise déjà beaucoup. En effet, il existe plusieurs expérience qui ont pu être expliqué comme des phares de voitures et autre lumière vue de loin, qui donnaient des impressions étranges. On peut aussi penser à des conditions climatiques rares. Bref, il peut y avoir de nombreux phénomène qui soient responsable des expériences rapporter et qui ne sont pas du tout liés à des objets volants, c'est pourquoi le terme de "phénomène aérospatial non identifié" ou "PAN" me semble généralement préférable. Là, on ne sous entend vraiment rien sur l'origine de l'expérience.
Certes pas une vie humanoïde comme celle que nos chers scientifiques s'évertuent à trouver, mais une vie, tout court.
Pourquoi cette assurance quant à la présence de vie extraterrestre ?
Un simple constat : des milliards de galaxies, de planètes, d'étoiles, sans compter tout ce que l'on ne voit pas, tout ce que l'on ne sait pas... Et nous serions la seule vie dans tout celà ? Niveau probabilités, rien n'est moins sûr ?
Et puis cette recherche d une planète pouvant abriter la vie humanoïde... Ne serait-ce ni plus ni moins que la recherche d'une planète où nous, l'espèce humaine, pourrions "déménager"?
Nous avons ruiné la Terre, "poubellisé" et saccagé notre planète. La marche arrière est impossible, la réparation non plus... Alors, allons vivre ailleurs !
Pour preuve, on fabrique de l'oxygène sur la Lune !
Quand la réalité rattrape la science-fiction.
Je ne connais pas les chiffres de probabilité mais je sais que l’ordre de grandeur est plutôt très faible et que nous sommes une exception dans ce monde. De là à affirmer que la quantité de planètes existantes dans l’univers permet de compenser cette infime probabilité d’apparition de la vie, je ne sais pas trop mais cela me paraît compliqué.
De toute façon, nous n’avons pas encore fini de définir exactement ce que nous appelons « vie »...
Si nous prenons dans l'univers connu les possibilités d'apparation de la vie telle que la terre l'a connue, on sait aujourd'hui que des dizaines de milliers de cas sont possibles : même soleil, même éloignement de ce soleil, même taille, même gravitation, etc... tout cela existe ailleurs. Dès lors on peut se poser la question de pourquoi la vie (même seule la forme que nous connaissons) ne serait apparue que sur notre terre.
En étudiant la planète, les scientifiques peuvent démontrer aujourd'hui que notre bonne vieille terre a connu en 500 millions d'années 5 destructions de masse de la bio diversité ; et qu'à chaque fois la vie est réapparue sous d'autres formes, adaptées aux nouvelles conditions... De nouveaux animaux, de nouvelles plantes, ont à chaque fois pris ou repris vie pour développer un autre éco-système ; sur des dizaines de millions d'années bien sûr.
Tout ce qui vit sur la terre n'est que "survivance" de chaos exterminateurs. Mais la vie reprend toujours :) Alors je pense que @yannmath a raison : elle si forte cette "vie", si imaginative, si survivante, qu'il est plus facile d'imaginer qu'elle existe ailleurs que l'inverse.
Son approche particulière est peut être due à une volonté de démontrer le manque de fondement scientifique de plusieurs théories ?
Quand on met OVNI et inexpliqué ensemble on sait très bien sur quelle corde on joue... Ça coûte quoi de rajouter une ligne faisant état de l’hypothèse scientifique, celle des toiles d’araignées ? C’est pour éviter les ufologues ?
En plus de ça, il y a aussi le gros problème des distances dans l'Univers. Il est très grand, et le parcourir met très, très longtemps. On parle ici de milliers d'années pour la lumière pour voyager dans la galaxie. Même si une civilisation existe, rien ne garantie qu'elle puisse nous voir ou nous rejoindre aisément, voir tout court. En tout cas, pas si la physique de ces 100 dernières années est correcte. Ca n'est donc pas complètement impossible bien sûr, mais ça limite sacrément les chances.
Concernant les faibles probabilités d'avoir une vie qui puisse apparaitre sur une planète dans l'absolue, n'oublions pas que nous sommes très mauvais pour estimer les petites probabilité (c'est pour ça qu'en science on utilise régulièrement des échelle logarithmique qui permettent d'avoir une meilleure idée). Quand on voit le nombre de planète qu'il y a, je pense que c'est plus que notre capacité d'intégration, et qu'on est incapable d'estimé l'inverse tellement il serait petit, ce qui explique notre facilité à ce dire que "c'est forcément assez grand pour qu'il y ait de la vie", mais justement : on ne sait pas. Tout ce qu'on sait, c'est que la probabilité n'est pas nulle et qu'elle n'est pas de 1.
Le paradoxe de Fermi propose justement des réponses pour expliquer l'absence de visites d'extraterrestres sur terre. Notamment que si la vitesse de la lumière est un maximum indépassable, les extraterrestres lointains ne pourront jamais nous atteindre. Sauf à coloniser l'Univers petit à petit, mais il faudrait que cette civilisation survive très longtemps. A la vitesse de la lumière, il faudrait déjà 150 000 ans pour traverser notre galaxie (qui n'est qu'une minuscule partie de l'univers).
Y a des milliers de gens qui ont vu quelque chose, il y a forcément quelque chose derrière effectivement, certainement quelque chose de très rationnel mais quelque chose. Que vient faire le discours sur la crédulité dans tout ça ?
Le contexte nous pousse à l’inverse mais cela suscite pourtant la RÉFLEXION personnelle. Je pense donc je suis.